Sodo entre mecs

Salut, c’est Gaétan ! Je vous ai raconté mes vacances avec Raphaël en Floride. Mais je m’aperçois que j’ai oublié de vous parler de comment nous en étions arrivés à cette relation de franche camaraderie sexuelle. Je vais donc vous en parler.

 

Vous vous souvenez que tout a commencé lors de la partouze faite entre deux cours il y a maintenant quelques temps. C’était en effet chez Benjamin que je l’avais rencontré et on avait passé un excellent moment. Je le connaissais déjà de vue lors des cours de muscu pris à la fac. Impensable de ne pas le remarquer ! De tels abdos, de tels pecs et un si joli cul rebondi, ça ne s’oublie pas ! Je savais qu’il était en fac de géographie et c’est à peu près tout ce que je connaissais de ce beau brun aux yeux verts. Depuis on se fréquente un peu plus, mais rien qui puisse satisfaire mes envies.

 

Une fois qu’on avait baisé, j’avais beaucoup de mal à me l’enlever de l’esprit. Comme s’il m’avait hypnotisé. Je ne sais pas trop ce qui m’a le plus séduit chez Raphaël : son corps évidemment, son visage aussi avec son air coquin, sa barbe de trois jours mais je pense que sa virilité est son atout principal. Virilité qu’il sait parfaitement utiliser, que ce soit quand on baise ou dans la vie de tous les jours.

 

Toujours est-il que je ne pouvais pas m’empêcher de penser à lui sans avoir une folle envie de lui et une érection. Comme on faisait de la muscu ensemble, je le voyais au moins une fois par semaine, quand on ne déjeunait pas ensemble. 

 

Un soir à la fin de l’entraînement, je lui demande ses plans pour la soirée. Il me confie qu’il a une dissertation à rendre le surlendemain et qu’il n’a même pas commencé à y réfléchir. Etant en licence de sciences-po, et lui en Master 2 de géographie, je ne voyais malheureusement pas où je pouvais lui être utile pour l’aider dans sa dissertation. Je lui demande néanmoins le sujet. Il me répond : « les enjeux de la redéfinition des espaces urbains pour la vie en société dans les villes moyennes françaises ». OK, c’est super technique, j’y connais pas grand-chose, mais je lui propose malgré tout, après un charabia dont je me suis étonné moi-même de pouvoir sortir, un coup de main sur l’aspect « vie en société », aidé par mes cours de sciences po.

 

A mon grand plaisir il accepte et me propose de l’accompagner directement chez lui. Nous avons donc marché jusqu’à chez lui, à quelques encablures de la salle de muscu de la fac. Une fois arrivés chez lui, on s’est mis à table et on a commencé à discuter du sujet. Il m’a expliqué les grandes lignes de ce qu’il comptait aborder dans sa dissert. De mon côté, je lui expliquais rapidement les grands principes que je retirais de mes cours. 

 

A la fin du repas, il me propose un dessert. Mes yeux se tournent vers lui avec un regard légèrement épris de pensées sexuelles, et mes yeux font l’aller-retour entre lui et la porte de sa chambre. Et là, il explose de rire et me répond : « non Gaétan, je ne parle pas de ce dessert-là ». Grillé. Je me lève alors de table et me dirige vers la cuisine. Je le vois alors penché, la tête devant le frigo. Son t-shirt un peu étroit laissait voir le bas de son dos et l’élastique de son sous-vêt. J’ai les hormones en ébullition. J’en peux plus. 

 

Il me propose une crème dessert à la vanille. Mon esprit me pousse à accepter et de retour à table, je me suis mis de la crème au bord des lèvres et je l’ai regardé avec insistance. Mes yeux devaient clairement sentir le cul si ça ne s’était pas encore deviné !

 

Soudain, je sens un pied se poser sur mon entrejambe déjà bien gonflé par les idées qui me passaient par la tête et le souvenir de la dernière partie de jambe en l’air à ses côtés. Il redresse la tête et me regarde avec des yeux remplis d’envie. Son pied presse mon entrejambe et frotte mes cuisses. Ça y est, je bande !

 

Il se lève de table, se dirige vers sa chambre en déboutonnant son jean, le poids de sa grosse ceinture fait négligemment et doucement tomber son jean à chaque pas dévoilant son sous-vêt petit à petit. Il arrive sur le pas de sa porte de chambre, se retourne et me fixe d’un regard de braise et me dit : « alors, tu comptes rester assis là à t’astiquer ou tu vas me montrer en quoi consiste la vie en société ? »

 

Je me lève de table, je me masse le paquet bien bandé dont la bosse se voyait clairement et je lui réponds : « oh, t’inquiète pas pour ça ! Je compte bien te montrer les bonnes manières ». 

 

On se rapproche l'un de l'autre, et nous commençons à nous embrasser fougueusement. Nos deux mains se baladent sur les vêtements et sous-vêtements de l'autre. Nous continuons à nous embrasser, et je commence à mettre mes mains dans son boxer Armani, il a la peau d'une chaleur intense. Nous enlevons le haut, et nous nous embrassons de nouveau bien goulument, c'est du roulage de pelle de compétition, il emballe divinement bien. Je le regarde, torse nu, et j’admire ce corps qui m’a tant fait éjaculer : des muscles saillants, quelques poils bien placés et une odeur chaude et méditerranéenne de mâle dominant ; il n'y a rien à dire, c'est un vrai mâle, bandant à souhait. Nous faisons sauter définitivement nos jeans, nous voilà quasi nus tous les deux, lui en boxer, moi en slip, avec de belles bosses à l'intérieur. Nous commençons à nous caresser ces bosses. Je passe ma main sur son boxer et lui caresse au niveau de la bite. Sa bite grossit vite, je mets ma main dans son boxer pour la sentir grossir. Je commence à la masturber un peu, mais je veux regoûter à ce chibre.

 

Je me lance. Je me mets à genoux, face à son boxer que je lèche. Je commence à le sucer à travers le boxer. Rien que ça il est déjà heureux. Je le regarde d'une façon ultra coquine. J'enlève son boxer, pour voir apparaître devant mes yeux, son magnifique braquemard bien proportionné (20cm sur 5), d'une belle couleur et à l'odeur du mâle chaud prêt à posséder sa conquête. Je la mets dans la bouche, elle est bien chaude. Je commence mes mouvements de vas-et-viens sur son pieu. Il gémit de façon très masculine, ce qui m’excite aussi.

 

J'ai mes 18cm encore emprisonnés dans mon slip. Je relève la partie frontale et la passe sous mes couilles pour libérer tout ça. Ma queue est parfaitement dressée grâce à ces bruits de mâle en rut.  Je mouille même un peu déjà. Je lui lance des regards encore plus coquin. Il pose sa main sur ma tête et commence à guider les mouvements avec sa main et son corps. Il accélère ses coups de rein dans ma bouche et enfonce entièrement son mat dans ma gorge. Je manque de m'étouffer mais il recommence, toujours avec ses bruits virils et mon regard excessivement chaud. Ses manœuvres durent longuement, il garde le contrôle de lui. Raphaël continu encore quelques minutes à m'enfoncer sa bite dans ma bouche gourmande, puis il presse ma tête contre son corps bouillant, sa bite dans ma bouche et je sens plusieurs jets de sperme chauds dans ma gorge. 

 

Je le regarde droit dans les yeux, je m’approche de lui et lui rend son jus dans la bouche. Il a l’air surpris mais prend son pied. On s’échange ce foutre avec nos langues. Au bout d’un moment, on en avale chacun une partie. Et je retourne le sucer pour nettoyer son bel instrument.

Je me redresse face à lui, je lui roule une pelle, je l’allonge sur son lit, m’installe à califourchon sur lui et avec ma bite, que je tape contre ses pecs,  je lui fais comprendre que c'est à son tour de faire jaillir ma fontaine de sperme.

Je m’approche de son visage, et il enfourne ma bite dans sa bouche. Il commence tout de suite des va-et-vient rapide avec sa bouche, c'est encore lui qui dirige l'opération malgré sa position. Il suce parfaitement, il prend tout en bouche, une bouche bien chaude. Il me lèche le gland savamment, il suce mes boules aussi. C'est le nirvana, il suce magnifiquement bien, avec le rythme idéal et dès qu'il sent que je commence à me raidir pour éjaculer, il s'arrête pour être plus tendre et faire baisser la pression. Aucun doute c'est un expert et il aime la bite. 

 

Il a à présent un regard de conquérant emplit d'assurance. Il sait ce qu'il fait, et il le fait magnifiquement bien, et il sait qu'il le fait magnifiquement bien. Ses lèvres charnues sur ma bite m'offrent une sensation égale à nulle autre, ses va-et-vient de sa bouche sur mon sexe raidi et prêt à exploser sont une forme de bonheur que je ne connaissais pas encore. Il fait durer ce puissant plaisir de bonnes et longues minutes. 

 

On change alors de position, j’enlève complètement mon slip. Il m’allonge sur son lit et se met devant moi. Il me lèche les couilles, la hampe, remonte vers mes tétons qu’il mordille, je tressaillis de plaisir. Puis, il reprend ma bite en bouche. D’une main, il me pince légèrement les tétons, alors que je me raidis de nouveau, près à éjaculer, il accélère alors son rythme. Sa main vient de me titiller les couilles. Il enfonce bien ma bite jusqu’au bout et une fois au bout, il tire la langue pour m’humidifier les couilles. A chaque va et vient la même chose. Pas de doute, il veut en finir. Il comprend que je ne vais plus tenir plus que quelques secondes, il redouble d’effort, se retire et là je balance plusieurs gros jets de foutre. Mon sperme atteint bien un mètre à la sortie de ma bite et retombe sur mon torse, sur le dessus de lit, sur l’oreiller, un peu partout !

 

La vue de ce sperme partout n’en finit pas de m’exciter. Lui aussi est d’ailleurs encore en forme. Son gros chibre bave encore un peu malgré le nettoyage en règle que je lui ai prodigué. Il mouille de plaisir encore. Il s’allonge à côté de moi et m’embrasse. Je le remercie de ce bonheur immense qu’il m’a donné. Et là il me dit : « Ne me dis pas que tu en as eu assez ! ». Je lui réponds alors : « oh non, donne-moi encore ce que tu voudras, je prends ! » Et il me répond : « non, c’est moi qui vais te prendre ! ».

 

Je sentais en effet sa queue dure comme du métal dans le bas de mon dos et effectivement, j’avais encore très envie de lui. Il recommence à me tâter les boules, la bite puis le cul. Il me fait mettre à 4 pattes et me prodigue alors un anulingus de folie. Sa langue humidifie ma raie et mon trou. Il insinue sa langue dedans. C’est immensément bon. Il me met un doigt puis deux et enfin trois. Il les retire, remet sa langue puis les remet. Je commence à prendre un pied d’enfer. 

 

Il décide alors de mettre une capote et un peu de gel. Même s’il m’a bien préparé, le gel reste nécessaire vu son chibre. Il place son gland face à mon trou et commence à m’enfoncer son pieu. Sa bite à moitié rentrée, il la ressort lentement, puis me la renfonce un peu plus rapidement. Et il recommence en s’enfonçant toujours un peu plus et en intensifiant le rythme. Une fois dedans jusqu’à la garde, il commence ses va-et-vient lents, mais puissants. Je dois avouer que cette lenteur est plus qu'excitante, je bande comme un dingue. Il commence à augmenter le régime, et ses coups restent puissants. Il me laboure bien à fond. Il arrive à allier puissance et rapidité. Chaque coup est ponctué d’un son de mâle grave de sa part. 

 

Il alterne rapidité et lenteur, mais comme seule constante la puissance de ses coups de reins dans mon corps. Je suis totalement excité, lui aussi, nos deux corps suent, nous dégageons une odeur de mâle chaud. Il continue d'œuvrer en moi pour mon plus grand plaisir, plaisir qui se manifeste par une bite bien tendue et grossie par l'excitation, et de la mouille qui s’en dégage. Cette excitation grandit à chaque coups de bite que Raphaël m'enfonce dans le cul. Il me branle en même temps. Et l'inévitable arrive, je lâche ce qui me reste de foutre sur son lit. 

 

Excité de m’avoir fait éjaculer de nouveau, il commence alors une énième phase d'accélération de ses coups, mais cette fois-ci il ne s'arrête pas, il continue. J'ai le cul en feu. Je sens qu'il ralentit les coups, et que son corps brulant se raidit. Il sort complètement de moi, enlève sa capote en un éclair, juste le temps de me retourner et de balancer la purée sur mon torse en sueur !

 

Il est minuit, nous sommes totalement vidés, épuisés, exténués par ce moment de baise intense et fusionnelle. Nous nous embrassons de nouveau, il s’étale sur moi. Nous restons un long moment ensemble. Je suis aux anges. Comblé ! Heureux ! Satisfait !

 

On a filé rapidement sous la douche et il m’a proposé de dormir chez lui. J’ai accepté avec grand plaisir. On s’est rapidement endormi. Le lendemain matin, on s’est réveillé vers 8h00 pour aller en cours. Il a fallu qu’il me prête quelques vêtements. Mon t-shirt avait malencontreusement reçu une giclée de sperme. Il m’a prêté un joli t-shirt, une paire de chaussettes et un boxer. Il m’a dit de passer les lui rendre dans la semaine ou au cours de muscu de la semaine prochaine. Mais je sens que je ne vais pas attendre le cours de muscu !

 

Voilà comment nous avons remis le couvert tous les deux. Depuis cette soirée, on s’est revu assez souvent pour baiser et des liens se sont tissés entre nous. Mais ce ne sont pas des liens d’amour, ce sont des liens amicaux fusionnels qui dérapent de temps en temps pour satisfaire nos (fréquentes et intenses) pulsions sexuelles. Et, oui, on est tous les deux de gros chauds de la bite et du cul !


 

Retrouvez les aventures de Gaétan:

Le tournoi vire à la partouze

Sexe party en club

Sexe au club de gym de Miami

Entre mec entre les cours

 

FabDS

Publié dans : Lieux et mises en scène - Communauté : Gay infos
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