Salut, je m'appelle Olivier et je vais vous raconter comment je me suis fait dépuceler pendant mes vacances d'été alors que j'étais au camping dans le sud de la France avec mes parents.
C'était il y a maintenant 7 ans. J'avais 18 ans à l'époque et je passais des vacances avec mes parents dans le sud. Depuis de nombreuses années nous avions l'habitude d'aller au camping l'été parce que c'était pratique pour se faire des amis notamment pour moi. Mes parents avaient leur tente et j'avais la mienne. Je pouvais donc circuler comme je l'entendais le soir et profiter des soirées organisées par les animateurs.
Depuis que j'avais 13 ans, je savais que j'étais attiré par les mecs et je me branlais souvent en pensant aux gars de ma classe, à mes potes et à la façon dont je pourrais baiser avec des mecs, jouer avec des bites, les sucer, les faire gicler...
Au camping, je me suis vite fait des copains comme tous les ans. Il y avait notamment Florian, Remy, Martin et Albin. Ils n’étaient pas tous bogoss mais on se parlait bien et on passait nos journées à faire les cons autour de la piscine, à "draguer" des miss et à faire la fête. Il faisait chaud. On passait le plus clair de notre temps juste avec notre maillot de bain et torse nu.
En fait, j'ai très vite remarqué autour de la piscine un mec plus âgé que moi et mes copains, il devait avoir 24 ans, qui me regardait avec insistance. Il avait quelques potes aussi du coup, il ne me regardait pas parce qu'il voulait rejoindre notre groupe. C'était autre chose.
Il était mignon assez grand, bien bronzé parce qu'il devait déjà être au camping depuis 2 semaines au moins et puis il avait le corps dessiné et une masse corporel qui le rendait vraiment mec. Il semblait très sûr de lui.
Il se posait près de la piscine et regarder les gens passait dont moi avec insistance. En fait, ce n'était pas le seul moment où il me regardait. Je me rappelle lorsque je me déplaçais dans le camping, il semblait toujours à l'affut.
3 jours après ma découverte, il a tenté une approche. Un soir, on était en train de boire à la soirée du camping. Je commandais des boissons au bar et il s'est posté à côté de moi et il m'a dit sans doute ivre "Salut, moi c'est Régis. J'ai compris que je te plaisais alors je compte bien en profiter et te fourrer ma bite et mes grosses couilles dans la bouche!". Abasourdi par sa phrase, je ne m'étais pas rendu compte qu'il avait agrippé mon paquet avec une bonne poigne. Je bandais et ma tige était dure dans sa main. "Je savais bien que t'étais intéressé mec, à demain" m'a-t-il dit puis il a filé. Je n'ai pas compris à ce moment-là son allusion au lendemain...
J'étais choqué et en même temps très excité. J'ai mis fin à ma soirée et je suis rentré me coucher. Dans ma tente je me suis branlé comme rarement je l'avais fait et j'ai giclé partout sur mon ventre, mon visage, derrière ma tête... C'était trop bon. Après cette masturbation intense, je me suis endormi comme une pierre.
Le lendemain matin, je me suis levé assez tôt comme d'habitude. J'ai attendu mes parents pour le petit-déjeuner... Puis j'ai préparé mes affaires pour aller prendre ma douche.
En me dirigeant vers les cabines, j'ai vu que Régis, mon allumeur de la veille, s'empressait en m'ayant vu, de prendre lui aussi ses affaires à la volée pour se dépêcher de venir vers les douches. J’ai commencé à sentir que quelque chose était en train de se passer mais je n'ai pas voulu laisser transparaitre mon stress alors que mon cœur commençait à taper la chamade dans ma poitrine. J'ai donc continué mon chemin comme si de rien n'était et je me suis engouffré dans la première cabine que je voyais.
Les cabines des douches étaient disposées dans un bâtiment spécifique dans ce camping. Elles étaient toutes alignées. Il y avait juste une paroi qui séparé chaque cabine et elles possédaient toute une porte pour s'enfermer.
Enfermé dans ma douche, j'étais un peu moins stressé et je commençais déjà à bander de cette nouvelle situation inattendue. Je me suis déshabillé rapidement. Il faut dire que je n'avais pas grand-chose sur moi... Et je me suis retrouvé nu avec la bite au garde à vous dans ma cabine. J'ai commencé à m'astiquer doucement en faisant de longs va-et-vient avec ma main sur mon sexe et en jouant avec mon long prépuce.
D'un coup, j'ai entendu un petit rire au-dessus de moi ! J'ai relevé la tête et Régis était là. Il s'était placé dans la cabine voisine de la mienne et il s'était hissé en silence sur la paroi pour faire son voyeur et me mater dans la douche. Quand il a vu que je l'avais repéré, il ne s'est pas démonté, il est carrément passé par-dessus la paroi pour me rejoindre.
Une fois qu'il a atterri sur le sol de ma cabine, il m'a intimé de rester silencieux d'un geste autoritaire. Il s'est approché de moi tout en glissant une main dans son pantalon
Jogging pour se frotter la bite.
J'étais nu je ne pouvais rien faire et en même temps ce grand gars imposant m'excitait beaucoup je me sentais transporté.
Il a attrapé ma queue de sa main libre et la branlait un peu. Il m'a alors balancé "Sympa mais tu vas voir ce que c'est une vraie bite!". Il a alors baissé son jogging pour laisser sortir son gros engin. C'était un énorme morceau, une bite magnifique et très appétissante avec un beau gland bien rouge parfaitement dessiné dans le prolongement de sa tige ciselé de veine plein de sang.
Il m'a mis à genou de force en appuyant fermement avec sa main sur mon épaule droite en me susurrant à l'oreille "allez, suce moi maintenant".
Je me suis retrouvé nez-à-nez avec cette grosse teub d'au moins 20cm et bien large. Elle sentait assez fort la bite. Je me suis approché doucement et j'ai ouvert la bouche pour laisser le gland se glisser contre ma langue. Elle était vraiment énorme, j'avais du mal à la prendre dans ma bouche.
J'ai entendu Régis pousser un soupir de plaisir. Pour ma part, j'avais la queue qui était déjà au bord de l'explosion. Elle mouillait et perlait sur le carrelage de la douche.
Prenant un peu d'assurance, j'ai agrippé la bite de régis d'une main pour bien la tenir et accompagner le mouvement de ma bouche avec un mouvement de masturbation. Je sentais le gland turgescent de cette belle queue se glisser contre ma langue jusqu'au fond de ma gorge. J'étais en plein délire.
J'ai arrêté de lui sucer la bite pour lui lécher un peu les couilles. Il avait gardé pas mal de poils sur le pubis ce qui était très excitant et en même temps il avait les couilles rasées et lisses. Je les ai donc léché avec délectation ce qui semblait lui procurer un grand plaisir.
Lorsque j'ai lâché ses couilles pour me consacrer à nouveau à sa bite qui dégoulinait pas mal de mouille elle aussi, Régis semblait être au bord de la jouissance, il m'a placé une main derrière la tête et il m'a enfoncé sa queue au fond de la gorge. J'ai dû me contrôler pour ne pas avoir une remontée malencontreuse...
Régis me limait littéralement la bouche en me tenant la tête d'une main et faisant de grand mouvement de bassin. Je sentais toute la longueur de sa bite passer dans ma bouche. Mon nez se retrouvait à chaque coup de rein dans la touffe de poils pubiens de mon assaillant très viril.
C'est à ce moment-là que ma bite, sans même l'avoir touché, a lâché sa purée sur le carrelage de la douche. 5 grosses giclées sont sorties de mon gland gonflé. Ma jouissance a été tellement forte que je me suis retrouvé dans un état second complètement shooté.
Régis pouvait faire ce qu'il voulait de moi mais il n'a pas tardé à jouir non plus. Il a fait une dizaine de mouvements puis il a sorti son sexe de ma bouche, m'a tiré par les cheveux pour que je lève le visage vers le sien en ouvrant grand la bouche, et il s'est mis à astiquer violemment sa bite au-dessus de ma gueule béante. Au bout de quelques secondes et de soupirs rauques de Régis, j'ai vu le sperme jaillir de son gland comme une véritable fontaine à foutre. Les giclées de son éjaculation m'ont semblé interminables. Le sperme dégoulinait dans ma gorge, les jets s'éclataient contre mon visage... J'avais le visage couvert du délicieux liquide blanc de Régis. C’était une magnifique éjaculation faciale.
Son corps a été parcouru d'un dernier spasme et sa bite a lâché la dernière goutte de sperme qu'elle avait.
"Putain, c'était trop bon ! Va falloir qu'on remette ça mon gars " s'est exclamé Régis.
Épuise et la bouche encore plein, j'ai simplement fait un geste positif de la tête. Il est repassé dans sa cabine de l'autre côté de la paroi en me laissant comme ça. Je n'avais plus qu'à me laver pour ne laisser aucune trace de cette aventure intense.
Je n'ai pas seulement réalisé ma première fellation avec Régis durant ces vacances. Malgré son énorme sexe, c'est lui qui a dépuceler mon petit cul. Cette histoire est disponible en cliquant ici.
Olivier