Je vis dans la région de Nancy et je me déplace deux fois par mois sur Dijon, où je couche une ou deux nuits. Je suis fidèle au même hôtel dont j'apprécie le personnel depuis des années. En janvier dernier, le vieux réceptionniste, qui était devenu au fil des ans presqu'un ami, a pris sa retraite et a été remplacé par un jeune homme d'une trentaine d'années, Marco, tout aussi professionnel que son prédécesseur et avec lequel j'ai rapidement tissé des liens de sympathie. Il m’a d’ailleurs révélé une face complètement cachée de ma personnalité et de ma sexualité.
J'ai 46 ans, je suis marié et père de deux garçons de 24 et 22 ans. Je n'ai jamais couché avec un homme. Cela m’a longtemps dégouté ... et pourtant !
En juillet dernier, lors de ma dernière tournée avant des vacances bien méritées, le réceptionniste m'a demandé si cela me ferait plaisir de passer chez lui après vingt et une heure (la fin de son service) pour boire un verre de Chablis. Un peu surpris, j'ai néanmoins accepté tout en ressentant un étrange petit déclic électrique au niveau des couilles. Ce dernier précède toujours chez moi la montée du plaisir, c’était donc surprenant de l’avoir en cet instant. La chambre du jeune homme était située juste au-dessous de la mienne. Lorsque je l’ai entendu rentrer dans celle-ci, j'ai attendu dix minutes avant de m'y rendre. J'ai frappé et c'est un Marco torse nu en survêtement blanc très moulant, qui m'a ouvert avec un sourire ravageur.
Mon regard a tout de suite été attiré par le beau paquet que son vêtement mettait en évidence entre ses jambes mais aussi ses tétons aussi gros que ceux d'une femme. Il avait l'air de bander sous son jogging ce qui me mit extrêmement mal à l’aise. J’ai également remarqué tout de suite ses larges épaules, sa peau très blanche et son absence totale de pilosité. Je n'avais jamais eu de rapports avec des mecs, l'idée ne m’avait même jamais effleuré l’esprit, mais je ne sais pas pourquoi, ce mec avec sa peau de jeune fille, au beau visage complètement imberbe m’a donné envie. Sans pouvoir me contrôler, je me suis mis à bander et mouiller mon boxer de suite tout en espérant que ça ne se voyait pas.
Il m’a prié d'entrer, m’a fait m’asseoir sur son lit, sa chambre se limitant au minimum, a ouvert la bouteille de Chablis, m’a servi un verre qu'il m’a tendu gentiment et il est venu s'asseoir auprès de moi sur le bord de son lit. Nous avons discuté un peu et j’ai très vite senti qu'il se rapprochait de moi insensiblement jusqu'à ce que nos cuisses se touchent. Et là, sans gêne aucune, il m’a mis la main aux paquets. En sentant que je bandais, il a commencé à me caresser adroitement s'insinuant bientôt dans l’ouverture de ma braguette qu'il avait réussi, je ne sais comment, à ouvrir. Je flottais entre honte et plaisir. Pourquoi moi, l’hétéro qui n’avait jamais connu de mecs, me laissais-je ainsi caresser par ce mec à la peau si douce ? Je suis soudain revenu à la réalité, et j’ai écarté sa main avec brutalité alors qu’il avait déjà décalotté mon gland mouillé. Je me suis levé d'un bond en renversant mon verre sur le lit et je l’ai bousculé pour me dégager et sortir de la chambre.
- Pardon me dit-il, j'avais cru comprendre que t'étais homo et que tu étais sympa avec moi pour me draguer, je te fais mes sincères excuses si je t’ai mis dans une situation compromettante ! Trinquons quand même et passons l’éponge.
J'allais partir quand, par une réaction complètement incontrôlée de ma part, comme si un mur était tombé, j’ai retraversé la chambre et je l’ai poussé sur le lit, je me suis jeté sur lui en lui roulant une pelle magistrale. Je bandais comme un âne, je mouillais comme une femme en sentant le gros paquet en érection sous ma bite que j’ai commencé à branler furieusement à travers son pantalon. Nos corps se sont activés à l'unisson l'un sur l'autre pendant de longues minutes au cours desquelles il a réussi à m’ôter ma chemise. Quand il s'est aperçu que j’étais poilu du torse jusqu'à la bite, il a lâché ma bouche, et a commencé à me caresser méthodiquement et avec lenteur en se concentrant bientôt sur mon pubis, mes couilles et ma bite qu'il s’est mis à masturber violemment m'arrachant quelques cris de douleur pour le faire arrêter. Aucun de nous deux n’a parlé, nos regards ne se sont pas croisés, jusqu’au moment où il s’est levé pour aller à sa table de nuit d'où il a sorti une capote, qu’il m’a mis sur la queue avant de commencer à me chevaucher en s’empalant profondément sur ma bite avec frénésie. Je ne savais plus où j'en étais, j’ai pris mon pied comme jamais je ne l’avais pris avec une femme, je me suis laissé faire comme une petite pute de PD. Ma bite l’a pénétré vigoureusement sans difficulté, il poussait des râles puissants à chaque coup de queue que je lui donnais. Je recevais ses cris comme des caresses et des appels à continuer. Je me sentais bien, j’étais en train de baiser un mec et j'y prenais du plaisir. Je n'en revenais pas et j’ai soudainement pensé à mes fils. S'ils savaient...
Lorsqu’il a senti que j'allais juter, Marco a accéléré la cadence, me faisant de plus en plus mal en se laissant tomber lourdement sur mes couilles prêtes à décharger, quand tout à coup, j’ai senti un grand jet de foutre monter en moi et se perdre en giclées rapides dans le réservoir de la capote. J’ai alors poussé un hurlement de plaisir, et sans même que je m'en sois rendu compte, Marco s’était retiré pour arracher la capote de ma bite afin de la suces goulûment en avalant une partie de ma semence tout en me nettoyant méthodiquement la queue douloureuse d’excitation. Après avoir terminé ce travail, il s'est allongé sur moi, a léché les poils mouillée de ma poitrine et est venu me faire don de mon propre foutre qu'il avait bien conservé au chaud dans sa bouche.
C'était la première fois que j'en bouffais, ça m’a tout d'abord dégoutté, mais comme ma bouche était complètement prisonnière de la sienne, il m'a obligé à tout avaler en recommençant à me branler. J’étais anéanti de fatigue et de douleur, mais tellement heureux.
Mon histoire ne s'arrête pas là bien évidemment, si vous le souhaitez vous pouvez lire la suite en cliquant ici.
Jean René.