J'ai 36 ans et je suis veuf depuis 3 ans. Père d'un fils de 18 ans, oui j'étais très jeune quand Gaspard est né, je ne me suis pas remarié, n'ai ni copine, ni copain et côté sexe, sans réels besoins, je vis comme un moine.
A 17 ans, pour fêter mon bac j'ai sauté sans conviction trois fois en deux mois, une fille de ma classe qui en septembre se retrouva enceinte. Issus tous les deux d'un milieu ultra conservateur et catho, il n'était évidemment pas question d'avortement.
Nous nous sommes donc mariés sans amour et notre fils est né en juillet de l'année suivante. Même sans amour notre union a été très heureuse. Élevé par nos deux parents pendant que nous terminions nos études, nous nous installâmes chez nous avec notre fils, quand il eut cinq ans. Ni ma femme ni moi n’avions le moindre goût pour la baise et n'avions des rapports qu'une dizaine de fois par an ; et encore était-ce pour mon épouse un véritable calvaire, que je lui épargnais au maximum car elle souffrait d'un rétrécissement vaginal, qui rendait les rapports douloureux. Ces rapports qui vidaient mes couilles suffisaient à mon absence de tempérament, quant à me branler, il fallait que je sois plein de foutre jusqu’aux yeux, pour recourir à cette pratique, qui ne m'apportait pas la moindre satisfaction.
A 33 ans ma femme mourut d'un cancer du foie. Peu porté sur le cul, je ne cherchai pas à refaire ma vie! J'étais très ami avec un collègue, dingue de moi, qui me faisait une cour indécente. Il souhaitait une relation avec moi, mais le fait même de l'envisager m'était insupportable. Pourtant il insistait jusqu'au jour où m'ayant mis la main au paquet, il reçut un coup de genou dans les couilles qui le fit rouler à mes pieds en se tordant de douleur. J'ai tout de suite regretté cet accès de violence, tellement contraire à mon sens de l'amitié. Il ne m'en n'a jamais voulu, nous sommes demeurés potes et il m'a invité à la pendaison de sa crémaillère quand il s'est mis en couple avec son mec. Pourtant c'est cet événement qui m'a fait découvrir que, quelque part, j’étais attiré par les mecs, depuis longtemps sans doute. Ce soir-là, je me suis branlé en pensant à lui, j'ai joui en prononçant son nom en haletant à chaque jet de sperme que j'évacuais de mes couilles en feu :
- Ouiiiiiiiiii c'est bon Philippe, tire moi dessus mec, oui tire moi dessus ! Oh la vache que c'est bon!!! Et j'ai recommencé le lendemain soir et les soirs suivants.
Mes comportements sexuels se mirent à changer, Je bandais davantage, je me branlais souvent et prenais plaisir à le faire. Pour autant il ne me serait pas venu à l'idée de chercher un mec pour me faire jouir et me vider les burnes. Je restais malgré tout peu porté sur la bite. Les années passèrent sans que je ne fasse la moindre rencontre et je continuai à m'astiquer la bite en découvrant seul un certain nombre de techniques de branle qui me donnaient satisfaction. Cependant Gaspard était devenu un homme, un bel homme même ! Éduqué comme moi dans une ligne très catho, il restait très discret sur ses amitiés comme sur ses amours. Je ne saurais dire s'il avait des aventures! Mais ce dont j'étais certain c'est qu’il avait des besoins sexuels bien plus importants que les miens. Pour preuves les goûtes de sperme qui flottaient parfois dans la cuvette des WC, ou que je découvrais dans ses sous-vêtements, dans ses draps où sur les murs des douches. Trop prude pour aborder ce sujet avec lui je le laissais lâchement se débrouiller avec ses problèmes de sexe. Mais ses gémissements nocturnes ou le bruit de son matelas que j'entendais parfois, et dois-je l'avouer que j’espionnais en les espérant, me faisaient bander et je me branlais avec jouissance après m'être longuement caressé en pensant à mon copain Philippe.
Quand il eut son bac, il n'avait pas de copines, à ma connaissance tout au moins. Je ne savais pas s'il avait eu des relations sexuelles avec quiconque, mais depuis quelques mois le prénom de Georges revenait assez souvent dans ses conversations. Début juillet, il me demanda de le recevoir chez nous pour trois semaines J'acceptai immédiatement cette alternative qui romprait notre vie de vieux couple morne et solitaire. A l'opposé de Gaspard, grand blond du genre Aryen, Georges était le type même du méditerranéen. Trapu, bien pris, ouvert et souriant, il me plut sur le champ tant pour son physique que pour sa culture.
Nous passions tous nos étés à Noirmoutier dans notre maison familiale, où nous partîmes dans les premiers jours du mois.
Baignades, balades, sorties en mer, restos mais aussi musées, expos et lectures, nous en étions friands tous les trois, étaient inscrits à nos menus quotidiens. Je me sentais bien entre ces deux jeunes mâles dont je partageais les loisirs. Je m'épanouissais en leur compagnie. Tout allait bien, rien dans le comportement des deux garçons ne me paraissait suspect, jusqu'au jour où je les surpris se roulant une pelle, à poil dans la douche, queue contre queue de la branlant mutuellement. Je sortis en silence en espérant n'avoir pas été remarqué et allai me réfugier dans ma chambre poussé par un étrange sentiment de jalousie. Je venais de découvrir que j'étais amoureux de Georges, que je devenais le rival de mon propre fils, et que surtout j'avais envie de me faire un mec. Cela me fis bander, je sortis alors ma trique de mon froc et me l'astiquai violemment à travers mon boxer. Il était loin le temps où l'acte sexuel et la masturbation me laissaient indifférent. Ce jeune mâle me faisait découvrir les plaisirs et les attentes de la baise entre mecs. Je me dégouttais mais je ne continuais pas moins à avoir envie de son cul.
Georges qui sentait beaucoup mieux ces choses que mon fils, me fit rapidement comprendre par des allusions successives et quotidiennes, qu'il avait capté les messages que ma bite, qui gonflait mon froc plusieurs fois par jour, lui envoyaient comme des signaux lumineux.
Georges devait rentrer chez lui fin juillet. C'est Gaspard qui me fournit l’occasion de découvrir les caresses et le cul de son copain. Mon fils venait d'atteindre sa majorité et devait passer chez le notaire de ses grands-parents, pour percevoir la part d'héritage de sa mère. Son absence ne devant être que de vingt-quatre heures, il avait été convenu que Georges resterait à Noirmoutier pendant l'absence de son ami et que je les conduirai ensuite tous les deux chez les parents du jeune homme, où mon fils passerait deux semaines. Vingt-quatre heures, où un petit jeune homme de dix-huit ans tout juste, allait me faire découvrir le sexe, la douceur d'une caresse d'homme, la fellation, la masturbation entre mecs, le bonheur d’être dans les bras d'un bel étalon qui vous a fait jouir.
Cela démarra vite et très fort. Dès que la personne que j'avais engagée pour les vacances eut terminé son service, que j'avais volontairement écourté, elle rentra chez elle en me laissant, un peu inquiet je l'avoue, à la merci de ce petit mec qui allait enfin me faire découvrir le plaisir des sens !
Depuis le départ de ma femme de ménage, j'avais conservé le silence le plus absolu. Mon cœur battait à se rompre dans ma poitrine. Ma bite en érection mouillait dans mon box et me faisait mal. Je n'osais pas la toucher et bien que j'eusse une folle envie de me caresser, je ne bougeai toujours pas. De son côté mon compagnon n'avait pas bougé non plus, mais dans la nuit qui était maintenant venue, je le sentais, se tripoter les couilles dans sa braguette largement ouverte en poussant des petits gémissements significatifs de plus en plus rapprochés.
Georges se leva le premier, s'approcha de moi et posant ses mains sur mes cuisses juste au-dessous de mon paquet en déroute, il se pencha
Vers moi, m’introduisit sa langue chaude dans la bouche, et me donna, tout doucement pour ne pas m'effaroucher, un baiser au goût de mouille qu'il venait de recueillir dans son box trempé; puis il me dit,
- Tu viens ?
- Où veux-tu aller ?
- Là où tu attends que je te conduise depuis quinze jours et où tu vas prendre pour la première fois le pied de ta vie, et avec un jeunot en plus, c'est bandant ça non?
Puis il ouvrit avec difficulté ma braguette tendue, en sortit ma bite turgescente et trempée, la lécha avec application afin d'en récupérer toute la substance, l'enfonça dans sa bouche et commença à me sucer avec une lenteur calculée qui m'arracha bientôt des hurlements sourds. Après une minute environ il s'arrêta, me remit sa langue dans la bouche, me roula une énorme pelle et dit,
- Rentrons, tu fais trop de bruit ! On va croire que je te viole !!! On va dans ta chambre ou dans la mienne ?
- Comme tu voudras répondis-je en essayant de refermer mon froc sur mon sexe en érection !
- Si la forte odeur de mec et de bite qui y règne, si les slips tachés et les draps souillés par une dizaine de jours d'éjac ne te dérangent pas, alors allons-y !
Docilement je suivis ce beau jeune homme, dont j'enviais la belle toison déjà fournie pour son âge et qui bandait grave dans son froc, sans savoir ce qui allait m'arriver. A peine entré dans la pièce, pris de panique j'en ressortis immédiatement et me retrouvai sur le palier, la sueur au front, la peur au ventre, complètement angoissé et la bite en berne. Il me rattrapa, me pris dans ses bras, me colla contre lui et m'embrassa tendrement avant de m'enfoncer sa langue chaude dans la bouche, qu'il travailla savamment en me déshabillant. Au contact de son corps chaud et souple qu'il dévêtait lentement, je me sentis bander à nouveau et quand il commença à me branler avec sa bite à travers nos sous-vêtements tachés de mouille, je me sentis défaillir de plaisir en adaptant le rythme de mes reins au sien. Jamais je n'avais pas connu un tel plaisir physique, jamais je n'avais bandé aussi dur, jamais je pense ma bite ne m'avait paru aussi grosse. Education, pudeur, conformisme venaient d'être balayés en quelques minutes et par un tout jeune homme de surcroît ! Je geignais sans discontinuer ne pensant qu’à mon seul plaisir sans me soucier de Georges, qui sans que je ne m'en sois rendu compte, m'avait dirigé vers son lit où il me jeta soudain sans ménagement. Après m'avoir littéralement arraché mon boxer, il s'arrêta net et en poussant un petit sifflet me dit
- Putain mec, quel engin tu fais combien ?
- Combien quoi, dis-je sans comprendre ?
- Ta bite mesure combien quoi ?
- Ben... je ne sais pas !
- Tu l'as jamais mesurée, à vue d’œil je dirais 19, 20 cm, tiens attends.
Il fouilla dans son sac, la bite au garde-à-vous et en sortit un mètre de couturière qu'il appliqua sur mon membre mouillé sans que j'aie pu dire ouf !
- 21 merde alors, quel morceau laisse-moi caresser cette belle bête, et il commença à me branler violemment, à me la caresser et à me sucer. Il cessa bientôt sa manœuvre et me dit,
- Non réserve toi pour tout à l'heure, car je compte bien recevoir une bonne giclée de ce membre superbe dans le ventre.
- Quoi tu veux que je te sodomise ? Mais je ne pourrai jamais !
- Y'a combien de temps que t'as baisé ?
- Je ne sais pas quatre à cinq ans peut-être !
- Putain tu dois avoir un de ces stocks de foutre, ça va être grandiose dit-il en riant.
Entre temps il s'était mis à poil et il exhibait devant moi un beau gros sexe un peu noyé dans une épaisse toison pubienne et qu'il me présenta un peu piteux sur le ton de la plaisanterie,
- Il ne fait que 16 LUI, mais il a surement déjà beaucoup plus servi que cette grosse bite qui me nargue entre tes cuisses ! Puis s'allongeant sur moi il me fit connaître en un quart d'heure une foule de plaisirs dont j'ignorais jusqu'à l’existence !
Après quoi, il s'allongea sur le lit, prit ma main, la porta à sa bite et me commanda de le branler,
- Je te demande ça car je pense que tu n'es pas encore prêt à te faire sauter, je me trompe ?
Il ne se trompait pas, l’idée même de me faire enculer par lui ne m'avait même pas effleuré.
Je me mis à masturber ce beau mec musclé avec application, sans la moindre fantaisie qui ne tarda pas à sortir en hurlant et en se tordant sur le lit, une puissante giclée de foutre, que je reçue dans le visage. Il la lécha immédiatement et m'en fit l'offrande dans une pelle dégoûtant. Je me dégageai très vite de cette étreinte fétide et courus au lavabo pour en recracher le contenu. Surpris, il éclata de rire et tandis qu’il s'essuyait la bite avec mon boxer, il s'approcha de moi, colla son pieu entre mes fesses et me dit en m'embrassant dans le cou et en me malaxant les tétons, il se saisit de ma bite et de mes couilles, qu'il caressa dans tous les sens,
- Maintenant mon petit bonhomme, c'est bien gentil tout cela, mais une petite branlette bien mignonne comme celle que tu viens de me faire, ne me suffit pas, et comme en plus t'as un bel engin qui n'a pas beaucoup servi, tu vas me le mettre et me faire monter au rideau !
Après m'avoir coiffé le membre d'une belle capote verte, il s'allongea sur le lit, m'attira à lui et après un baiser dont il avait le secret me dit,
- T'en fais pas mec, je vais te guider, je suis sûr que tu vas aimer !
La suite prouva en effet qu'il avait raison.
Dorian.