Je m’appelle Hugo, j’ai 24 ans et je vais vous raconter une histoire qui m’est arrivé, il y a quelques années. J’avais 19 ans et j’étais encore au lycée. Cette année-là, mes parents ont décidé de déménager à la campagne et je me suis retrouvé en internat parce que je voulais rester dans le même lycée pour finir ma terminale. Dans la chambre d’internat, il y avait deux lits mais on ne pouvait pas choisir son collègue. Je me suis retrouvé avec Thomas, un gars du même âge que moi.
Je me rappelle lorsque je me suis rendu compte que je n’aurais pas ma chambre en solo, m’être senti très con. J’avais oublié que les internats étaient plutôt collectifs. Je me suis dit alors que ça allait me poser des problèmes parce que j’étais un gros branleur hétéro de base.
L’année a donc commencé. J’ai sympathisé avec Thomas qui s’est révélé être un mec cool, avec qui j’avais de bons délires. On se marrait à mater des vidéos sur le web, on écoutait de la musique dans la chambre et on matait des DVD le soir grâce à son PC portable.
J’ai plus ou moins résolu mon problème de masturbation en me vidant les couilles dans ma douche le matin, mais une fois par jour, ce n’était pas forcément suffisant. Je me suis souvent branlé dans les chiottes du lycée où la possibilité de me faire griller avait tendance à m’exciter encore plus. J’aimais bien gicler partout : sur les chiottes, les murs de la douche, par terre…
A force de dormir dans la même chambre que Thomas, j’ai fini par imaginer des trucs avec lui. Le soir en me couchant, j’avais toujours la gaule sous ma couette. Je me branlais tranquillement, style de rien et jamais jusque l’éjaculation. Je me disais que Thomas devait faire la même chose, et ça m’excitait. Je me demandais comment il était lorsqu’il se branlait, et un soir, je me suis donné comme objectif qu’avant la fin de l’année, je le materais en train de se masturber.
Avec mon défi en tête, j’ai donc commencé à parler de cul pendant nos soirées dans la chambre. Je voulais voir si Thomas avait du répondant. Je lui parlais des nanas qui étaient en Term, de stars, de vidéos vu sur le net. Putain, le bougre, il répondait bien. Il avait l’air de kiffer ça. Il a commencé aussi à me parler de ce qu’il aimait comme fille, de celles qu’il s’était tapé… J’étais sur la bonne voie.
Un soir, on a commencé à sacrément parler de cul. On s’est raconté notre première fois, on a parlé des positions qu’on aimait bien, des films de cul qu’on matait. On était tous les deux dans notre lit. D’un coup, je lui ai balancé « putain, avec notre conversation, je bande comme un âne ». Thomas s’est marré en me disant « moi aussi je bande, je ne pourrais pas dormir dans cet état ». La perche était tendue. Je lui ai proposé de se branler et il m’a dit ok.
J’ai soulevé ma couette et j’ai commencé à me branler. C’était super bon d’avoir ma main à faire des va-et-vient sur ma bite de 18cm. Je sentais Thomas qui me regardait du coin de l’œil. Ça me faisait de l’effet. Je mouillais et ça lubrifiait bien mon gland.
De son côté, Thomas avait également soulevé son drap. Il se paluchait d’une main et se tenait les couilles de l’autre. Il était bien foutu avec une touffe de poils noirs à la bite et un filet qui remontait sur son ventre et jusqu’à son torse. On voyait aussi que s’était un sportif avec un corps assez dessiné. Je voyais enfin mon coloc d’internat en train de se branler. Il avait la tête légèrement en arrière. Il poussait des soupirs assez rauques et s’astiquait bien la bite.
La tension et l’excitation étaient fortes. On se masturbait à fond et on entendait le claquement de nos mains contre nos couilles. Les miennes se sont d’ailleurs rétractées et j’ai éjaculé 5 beaux jets de sperme sur mon torse. Thomas m’a suivi et a éjaculé sur son ventre et son torse. Il a laissé échapper un râle en jouissant. J’ai beaucoup aimé le regarder jouir. Ça puait le mec et la bite dans la chambre. On était content de nous, et on s’est dit qu’on recommencerait les autres soirs.
C’est d’ailleurs ce que nous avons fait. Tous les soirs, on se branlait comme deux bons potes bien complices avant de dormir. Ça m’allait parfaitement, je pouvais enfin me vider les couilles quand je voulais.
Deux semaines plus tard, Thomas m’a dit en arrivant le lundi qu’il avait téléchargé un film de cul sur son PC et qu’on pourrait le mater pour se branler. Le soir venu, on s’est donc installé sur son lit et on a lancé le film.
C’était un bon film de cul bien chaud. On s’est mis à bander direct tous les deux. On était juste en jogging, du coup, je voyais la bosse se former par l’érection de Thomas dans son jog. Ma bite dessinait également une belle bosse. On n’a pas trainé et on a sorti nos paquets. C’était la première fois qu’on se branlait aussi près l’un de l’autre. Je pouvais voir son prépuce recouvrir et se retirer de son gland. Je sentais l’odeur de sa bite. Je voyais les détails de ses poils bruns et de ses couilles bien remplies.
Thomas s’est mis à mouiller et une perle de liquide a pointé au bout de son gland. Il l’a récupéré avec un doigt et c’est caressé le gland. Je lui ai sorti que moi aussi j’aimais bien utiliser ma mouille pour me caressé et faire glisser mes doigts sur mon teub. Il m’a regardé avec un sourire complice et m’a dit en rigolant, que ca main pourrait me faire un sacré effet si elle me branlait. Je l’ai regardé dans les yeux et je lui ai balancé un chiche. Il a alors pris ma bite avec sa main droite et a commencé à me branler. C’était génial.
J’ai posé mes mains derrière ma tête contre le mur, et je me suis laissé branler. J’avais un film de cul sous les yeux et mon pote de chambre qui me masturbait, c’était le pied. Je me suis décidé à le branler aussi, histoire de lui rendre la pareille. J’ai pris sa bite en main, ça faisait une drôle de sensation de tenir la bite d’un autre mec mais s’était aussi super cool. Je me suis mis à le branler et vu les soupirs que Thomas faisait, je pense que je m’y prenais bien.
On était côte à côte en train de nous astiquer l’un et l’autre. Le film X avait perdu de son intérêt. On était plutôt absorbé à mater ce que l’on faisait de la bite de l’autre. Ma bite est devenu super sensible, et je sentais que le jus était prêt à sortir. Chaque mouvement de main de Thomas était une merveille. En plus, il avait pris avec son notre main, mes couilles et il les massait virilement. Moi, j’utilisais sa mouille pour le branler en glissant mes doigts. Tous ses muscles se contractaient lorsque je remontais le long de sa hampe.
Bientôt, on s’est mis à faire un max de bruit. On grognait et soupirait. J’ai senti que Thomas allait pas tarder à éjaculer, je me suis donc laissé aller. J’ai accéléré les mouvements et il a fait de même. Nous avons éjaculé en même temps, chacun la bite de l’autre dans la main. Notre jouissance était extrêmement forte. Il y avait du sperme partout. Totalement rassasié, on est resté quelques minutes comme ça, en tenant la bite de l’autre.
On s’est ensuite nettoyé avec nos sousvets et on s’est couché content de notre amitié et de notre fabuleuse branlette entre potes.
L’année a été joyeuse. Nous nous sommes branlés tous les soirs, en essayant de nombreuses techniques et en faisant régulièrement des masturbations mutuelles. Je garde de cette dernière année de lycée, un souvenir mémorable et ça m’arrive encore de voir Thomas. On trouve toujours une occasion de se faire une branlette à deux, même si on est tous les deux maqués.