Au début des années 2000, j’étais étudiant à Paris à Jussieu précisément en première année de licence. J’avais à peine 18 ans et je débarquais de ma Seine et Marne profonde (Fontenay Trésigny). J’étais toujours puceau mais avec un gros appétit sexuel.
Pendant tout le premier semestre, j’avais été un étudiant modèle, j’assistais à tous les cours et travaux dirigés en
matant tous les beaux mecs de l’amphi mais aucune perspective sexuelle ne s’est offerte à moi durant cette période.
Le second semestre allait être bien différent. J’avais cours dans l’amphi de la tour 22 le mardi et c’est à ce moment-là que j’ai réalisé ma première expérience. Durant une pause, je suis allé pour la première fois dans des toilettes proches de l’amphi. Ces toilettes étaient composées de 6 urinoirs et 7 WC fermés.
Ce n’était surement pas les plus visibles car il y avait peu de monde. Lorsque je suis entré, il y avait seulement un mec d’une trentaine d’années en train de pisser à un urinoir. Ça m’a d’a étonné de voir un mec de cet âge-là ici. Etant assez timide, j’ai décidé de prendre un WC fermé.
En pissant, j’observais les murs. Ils étaient recouverts d’inscription porno : « recherche jeune mec pour sucer bite bien juteuse », « JH cherche arabe actif » etc. Je lisais tranquillement les inscriptions lorsque j’ai aperçu sur la porte une flèche qui indiquait un trou.
Après avoir fini d’uriner et avoir refermé ma braguette, Je me suis accroupi et j’ai regardé par le trou. J’avais une vue directe sur les urinoirs. Le mec de trente ans était toujours devant son urinoir. Il ne pissait plus mais il se caressait la bite. C’était une belle bite non circoncise avec un long prépuce. Il se décalottait lentement et faisait monter sa bite petit à petit.
Le mec devait connaître les lieux, en tout cas, il a dû comprendre que je le regardais car il s’est un peu décalé de son urinoir pour se branler franchement dans ma direction… Sa bite avait nettement pris du volume. Cette situation m’excitait un maximum. Je bandais dans mon jean. Ma bite était écrasée contre ma cuisse et ne demandait qu’à être libérée. Sans se préoccuper de ma bite, le mec se branlait de plus en plus vite dans son coin, tout en faisant en sorte que j’ai une vue privilégiée de son exploit. Au bout de quelques minutes de masturbation intense, il s’est retourné vers l’urinoir et a envoyé 4 à 5 jets de sperme s’écraser contre sa paroi. Après s’être vidé, il s’est bien pressé la bite quelques instants afin de faire sortir les dernières gouttes.
Je me suis alors décidé à sortir du WC et à me diriger vers un lavabo pour me laver les mains. Le gars s’était remis devant l’urinoir pour cacher son visage. Après mettre essuyé les mains, je suis retourné dans l’amphi en sachant que je reviendrais car cette péripétie m’avait foutu la gaule.
A 12 h, au lieu d’aller bouffer, je suis descendu aux WC. Je suis entré dans le même toilette que durant la pause du matin et je me suis accroupi en attendant qu’un mec entre.
Au bout de 5 minutes, un beau mec sportif est entré et s’est planté devant un urinoir. Il s’est mis à pisser sans savoir que je le regardais. Il avait une belle tige avec quelques poils qui ressortaient de sa fermeture éclair. Un mec brun est entré quelques secondes plus tard et s’est installé à 2 urinoirs du premier. Les deux mecs avaient l’air de se connaître. Ils ont échangé plusieurs regards. Le brun a pisse puis il s’est secoué la bite plusieurs fois pour faire tomber les dernières gouttes mais au lieu de partir il est resté là et à ma grande surprise, s’est écarté de l’urinoir pour montrer son morceau au sportif. Les deux mecs sont restés s’observer. La bite du brun a rapidement pris du volume. Il bandait dur le salaud. Après quelques instants, les deux mecs se sont rapprochés.
Pour ma part, je bandais comme un malade. Ma bite était à nouveau coincée dans mon jean. J’ai décidé de la sortir pour me branler. J’étais là, dans le WC, à mater deux mecs en train de se toucher, et je me branlais en même temps, en faisant mon voyeur.
Le brun a tendu la main et a empoigné la bite du gars sportif. Il l’a branlé un peu puis il lui a montré une cabine d’un signe de tête. Les deux mecs sont entrés dans cette dernière. C’était la cabine à côté de la mienne.
J’étais légèrement frustré de ne pas pouvoir observer la suite de l’aventure mais je me suis aperçu qu’il n’y avait pas de plafond aux WC et que je pouvais regarder par-dessus le mur. Je suis monté sans faire de bruit sur le toilette et sur le tuyau d’arrivé d’eau pour pouvoir passer la tête et voir dans l’autre cabine.
Les mecs s’embrassaient à pleine bouche, en se frottant l’un contre l’autre. Le brun a alors ouvert le pantalon de l’autre mec et l’a baissé ainsi que son caleçon libérant par la même occasion une très belle bite d’environ 18 cm avec de grosses couilles. Le brun s’est mis à genoux devant cette belle queue, lui a décalotté le gland et s’est mis à le lécher. Il a ensuite engouffré tout la bite dans sa bouche et a commencé à la sucer goulûment. Sa langue parcourait le membre turgescent de son acolyte, de la base à son extrémité. On entendait des souffles de plaisir dans toute la pièce.
De mon poste d’observation, je pouvais tout voir sans être vu. Cette situation m’excitait et je me branlais en même temps que je regardais les deux autres mecs se sucer. Je bandais dur et de la mouille d’excitation coulait le long de ma hampe. Des gouttelettes tombaient sur le sol et la paroi.
Après cinq minutes, le grand gars a relevé le mec brun et l’a plaqué contre le mur. Il lui a roulé une pelle et a baissé son pantalon avec sa main droite pour libérer cette bite bien poilu. Le sportif s’est à son tour baissé et s’est mis à sucer avec avidité cette bite. Il savait y faire car, après à peine une minute de ce traitement, le brun a retiré sa bite de la bouche du mec et s’est retourné pour se vider dans le toilette !
N’ayant pas encore éjaculé, le deuxième mec s’est approché par derrière du brun et lui a appuyé sur les épaules pour l’obliger à se pencher. Le brun a pris appuie sur le chiotte, l’autre a enfilé une capote, a craché sur sa main pour lubrifier sa bite et le trou du brun avec sa salive. Avec ses doigts, le mec a travaillé un peu le cul bien musclé et poilu de son pote jusqu’à ce que celui-ci lui ait signifié qu’il pouvait mettre sa bite. Il a donc pointé sa teub devant l’orifice et a poussé lentement.
Je voyais toute la scène. Sa bite entrait lentement dans le trou de son pote. J’observais chaque centimètre s’enfoncer.
Quand il est arrivé jusqu’à ses couilles, il a attrapé le brun par les hanches et a commencé à le baiser, d’abord doucement puis de plus en plus rapidement. Apres 5 bonnes minutes de ce traitement, il a accéléré encore le mouvement. Le cul de son pote claquait. Heureusement que ces toilettes n’étaient pas très occupés ! Il le pilonnait de toutes ces forces. Puis il a poussé un râle de jouissance, à éjaculer dans le cul du brun et s’est écroulé sur son dos.
Ils se sont relevés ensemble. Après s’être retiré du trou de son pote, le sportif a retiré sa capote, l’a jeté dans le toilette et a tiré la chasse.
Moi, sans m'en apercevoir, j'avais éjaculé sans me toucher tellement l'excitation avait été grande. Je suis redescendu de mon lieu d’observation. Je devais être rouge comme une pivoine… Deux minutes plus tard, la porte de la cabine voisine s’est ouverte et les deux mecs sont partis.
Je suis sorti de ma cachette après qu’ils aient quitté les lieux. Je me suis passé de l’eau sur le visage et je suis allé rejoindre mes copains.
C’est devenu mon rituel, à chaque fois que j’avais cours dans l’amphi 22, j’allais à la pause m’enfermer dans mon chiotte pour observer mes camardes d’amphi qui venaient pisser. J’ai vu plein de bites : des petites, des longues, des grosses, des circoncises etc. En regardant régulièrement par ce trou, je me branlais frénétiquement en pensant à toutes ces teubs !
Puis un jour, en trainant dans le campus, j’ai rencontré un mec de l’amphi que je connaissais de vue. On s’est dit bonjour puis il a continué son chemin. Pour m’a part, je suis allé vers mes toilettes favoris et fruit du hasard, j’ai retrouvé quelques minutes plus tard mon camarade en train de trainer autour des chiottes. Nous avons compris tous les deux que cela n’était pas une coïncidence. Il m’a regardé fixement puis est entré dans les WC. Il a choisi une cabine, est rentré dedans et a laissé la porte entre ouverte. Je l’ai suivi, je suis entré et j’ai fermé la porte à clé.
Il n’y a pas eu de présentation. Il m’a embrassé direct et m’a malaxé le paquet. J’étais encore un peu timide de mon côté mais je le laissais faire et petit à petit, je me suis lancé. On a posé nos blousons par terre. Je lui ai caressé le paquet. Je pouvais déjà sentir son sexe dur à travers son pantalon. Tout en s’embrassant, nos mains ont ouverts nos pantalons. Mon pote d’amphi a glissé sa main dans mon caleçon et m’a saisi le sexe. J’ai fait de même. Sa bite était chaude et agréable à toucher. Nous branlions chacun la bite de l’autre. C’était une première pour moi et j’étais très excité. Mon caleçon était trempé de mouille.
Le gars s’est baissé et a commencé à me sucer les couilles puis il est remonté doucement vers mon gland. Il l’a vite gobé entièrement ma queue. J’avais du mal à me contrôler tellement cette bouche me paraissait brulante sur ma bite. J’étais au bord de l’éjaculation. Il montait et descendait en faisant tourner sa langue. Il suçait vraiment bien. Je lui ai pris la tête pour qu’il imprime les mouvements de mon bassin mais il a fallu que je m’arrête pour ne pas lui remplir la bouche. J’avais maintenant envie de sucer ce mec pour voir la sensation que ça faisait d’avoir une bite dans la bouche.
Je l’ai donc relevé, et je suis descendu vers son sexe. J’ai ouvert la bouche et j’ai commencé à le sucer. Sa queue avait un bon goût de bite. J’ai vraiment aimé ça et je l’ai sucé de mon mieux en écoutant ses recommandations.
Après plusieurs minutes, Il m’a relevé, m’a retourner et a commencé à me lécher la rosette, j’étais aux anges. Je ne pensais pas prendre autant mon pied à me faire lécher le cul ! J’ai vite compris qu’il voulait m’enculer. J’allais enfin être dépucelé. J’en avais envie mais en même temps, j’appréhendais un peu.
Il a sorti une capote, l’a déroulé sur sa bite puis il a commencé à donner des à-coups contre mon trou. Son gland est entré et à chaque mouvement, sa queue s’enfonçait un peu plus en moi. Je sentais son chibre m’occupait et j’aimais cette sensation de soumission qui m’envahissait à chaque fois que sa bite s’enfonçait !
Parce que c’était la première fois, il a poussé son sexe dans mon antre doucement, en me laissant le temps de m’habituer. Il a continué à pousser puis j’ai senti ses couilles toucher les miennes. Le mec m’avait rempli le cul avec sa teub.
Il a commencé à bouger, il s’est mis à me limer doucement le cul pendant quelques minutes. Je soupirais de bonheur, je sentais sa hampe frotter mon cul et taper dans ma prostate. Rapidement, cette douce attente et devenu interminable pour mon dépuceleur. Il m’a agrippé par les hanches et s’est mis à me défoncer littéralement le cul. Ses coups étaient de plus en plus violents. J’avais le tournis. J’ai perdu la notion du temps et là, il m’a joui dans le cul.
Je suis resté appuyé contre lui le plus longtemps possible pour que son sexe reste en moi. Avec sa main droite, il s’est mit à me branler, en quelques aller-retour, il m’a fait éjaculer. J’ai envoyé de gros jets de sperme blanc et visqueux giclé sur le mur du toilette.
Mon pote d’amphi s’est retiré de mon trou a jeté la capote dans le WC et est parti. Je suis resté reprendre mes esprits. En regardant mon sperme coulait le long du mur, j’ai réalisé que je venais de me faire dépuceler dans les chiottes de la fac et que ce n’était pas romantique, mais une chose est sûr, j’allais m’en souvenir pendant très longtemps.
Remy