Stagiaire baisé à la ferme

Je suis né en novembre 1984 à Beyrouth, au Liban : mon père est libanais et ma mère française. J’ai donc la double nationalité. J’ai eu une enfance heureuse et insouciante ; scolarisé au Liban et passant mes vacances dans le sud de la France. Pour mes études, j’apprenais facilement et j’aimais faire du sport. J’ai eu mon bac en juin 2002 et je n’avais aucune envie de poursuivre mes études. J’étais un gars bien développé physiquement qui plaisait aux filles…

 

Mon père exigea que je me trouve un stage à l’étranger. J’étais plutôt débrouillard et j’ai repéré dans les annonces d’un journal de Beyrouth « grande ferme recrute stagiaire robuste pour travaux agricoles, Johannesburg, South Africa). J’ai répondu à cette annonce et j’ai été retenu. Mes parents étaient hostiles à ce projet, mais ils ne s’y sont pas opposés : c’était pour un mois !

 

Je suis parti en septembre 2002, destination Johannesburg où un fermier devait me récupérer. C’était une grande ferme de plus de 2000 hectares, ayant des activités de cultures et d’élevage, au nord-ouest de Johannesburg, à l’intérieur des terres, proche de la frontière du Bostawana. Arrivé à l’aéroport vers 13h, Jim, le fermier Boer m’attendait : un grand gaillard d’environ 35 ans, de type décontracté et sympa. Il fallait 4 heures de route pour atteindre la ferme. Il m’expliqua la situation isolée de sa ferme, son fonctionnement. Le plus proche voisin se trouvait à plus de 55 km de sa ferme et il s’était organisé pour vivre en autarcie. Il m’expliqua qu’il y avait quatre ouvriers agricoles blancs, pour l’aider sur son exploitation, et que ses gars étaient des bosseurs, ne craignant pas pendant les récoltes à travailler plus de 14 heures par jour : leur salaire était en conséquence !

 

Enfin, il me dit que j’étais chez lui en stage et que je devais être ouvert à la vie en équipe. Il insista : « tu devras t’habituer à de nouvelles pratiques de vie ! Mes ouvriers sont fiables à 100% ! Tu dois faire confiance ! Tu dois lâcher-prise par rapport à ta vie d’avant ! Chez moi à la ferme, je ferai de toi un homme ! Je ferai appel à tes connaissances, mais aussi à toutes tes capacités physiques. Tu vas découvrir l’effort, la douleur et les plaisirs d’une vie au grand air !» Le discours de Jim me parut pompeux, sans comprendre ce qu’il voulait dire…

 

Nous sommes arrivés à la ferme vers 17 heures : il y avait un bâtiment principal qui était celui du fermier ; juste derrière, à droite, j’apercevais un baraquement bien entretenu ; puis à 200 mètre de là, il y avait des silos de stockage, avec trois immenses granges.

 

Le premier soir, je suis resté dans le bâtiment principal : il me montra les commodités et puis on dina en tête à tête. Après diner, il me fit faire en 4 x 4, le tour d’une partie de son domaine très vallonné, avec une partie pour le pacage du bétail, et l’autre partie en nature de terres à blé. Il me demanda de l’appeler par son prénom, pour faciliter les rapports. Nous sommes rentrés et pour cette première nuit, nous étions sur un grand lit dans sa chambre : j’étais en slip, torse nu, je me glissai sous le drap. Je n’osais pas regarder vers lui, je l’entendis se déshabiller et comme moi se glisser sous le drap. Je tombais de sommeil, je sentis un corps se rapprocher de moi, et puis, plus rien !

 

Le lendemain matin, je fus réveillé par Jim. Il était à poil sur le lit, la queue en érection, et il me secouait. Je regardais ma montre : il était 5 heures. Il tira le drap et je me trouvai engourdi, en slip sur le lit : « Fais vite, nous avons du travail : voici ta tenue de travail, tu as 20 minutes pour prendre ta douche et ton petit déjeuner ! » Jim avait apporté rangers et chaussettes basses, un short de toile avec ceinturon, et un teeshirt marcel blanc. Jim s’habilla rapidement…

 

Ma douche et mon petit déjeuner furent vite expédiés : Jim m’attendait. On alla en Jeep au baraquement où il me présenta ses 4 ouvriers : Jordan, Richard, Tom et Mervin, de jeunes gars, peau burinée par le soleil, corps musclé et belle gueule. Il me faudra plusieurs jours pour les reconnaitre et les appeler chacun par leur prénom.

 

Sur le plan sexuel, j’avais connu les pratiques solitaires de la masturbation. L’éducation rigide de mes parents m’avait empêché d’imaginer autre chose et j’étais alors puceau. Je n’avais jamais touché à une fille et je n’imaginais pas le sexe avec un homme.

 

En ce moment, les horaires de travail allait de 5h30 jusqu’à 16h. Il y avait une pause breakfast à 11heures. Cette première journée passa rapidement à trier du bétail, et à rentrer dans une immense étable les meilleurs taureaux. Si les nuits étaient fraiches, vers 10h en journée il faisait plus de 30° : une chaleur moite. Chacun faisait son boulot, et le midi je mangeais de bon appétit. Je vis que les ouvriers semblaient s’amuser à me dévisager.

 

Le soir venu, Jim me dit devant ces ouvriers « Ce soir, tu restes au baraquement avec les ouvriers ! Le linge te sera fourni chaque semaine ! Je conserve toutes tes affaires chez moi ! Tu les récupèreras à ton départ ! » . Sans attendre, Jim me fit rentrer dans la « base vie » des ouvriers : un bâtiment tout en longueur, avec une hauteur sous plafond de presque 3 mètres, bien chauffé. C’était une ancienne grange, rénovée et mise au confort pour loger les ouvriers : ce qui expliquait la hauteur des plafonds et le fait que certaines poutres de charpente étaient encore apparentes dans les pièces du fond.

 

A l’entrée, un large vestiaire, très propre, avec douches commune. En silence, chacun, se dessapa, et passage sous la douche. Ce n’était pas du luxe, pour avoir une bonne hygiène corporelle. Je remarquais que les gars clean passaient du temps sous la douche… La tenue imposée dans le baraquement était le SST ou « slingshot suspender thong » (terme exact que j’ignorais à cette époque) et en slingshot on me fit visiter la pièce suivante : c’était une buanderie, avec lave-linge et sèche-linge. L’un des ouvriers avait déjà ramassé tout notre linge sale, pour le fourrer en désordre dans la machine. Dans la pièce suivante, il y avait un grand séjour avec cuisine, bien aménagée, et un coin à vivre avec télévision.

 

Puis, la pièce qui venait après, était longée par un couloir étroit, et contenait cinq boxes, avec des cloisons de contreplaqués brut. Il n’y avait pas de porte, mais un simple rideau coulissant, à l’entrée de chacun des boxes. Chacun des boxes était identique : un matelas recouvert de cuir, posé au sol, un traversin et rien d’autre. Jim ajouta que les nuits pouvant être fraîche, le dortoir était équipé de chauffage à thermostat qui se déclenchait si la température chutait sous les 27°. Il n’y avait donc pas besoin ni de draps ni de couvertures.

 

Il restait encore deux autres pièces : une salle de gym et un débarras. Je vis que les ouvriers étaient habitués à faire leur gym et à passer en soirée au moins une heure chacun sur les bancs de musculation ; en milieu de la salle de gym, un grand tapis de lutte, recouvert de cuir, faisant plus de 5m par 7mètres. La dernière pièce du fond était un débarras, où il y avait un stock de vêtements de travail et de tenues de rechange, le tout fourni par le fermier. Jim avait le souci de faire comprendre que sur sa ferme, tout dépendait de lui et qu’il était le seul maître !

 

Ce soir-là, je pris ma douche avec les ouvriers. Après m’être bien séché, je mis un slingshot propre. Dans le séjour, je regardais la télé, pendant que le repas se préparait. Jim était resté parmi nous. Il m’expliqua le système des corvées : chaque soir, chacun des ouvriers accomplit un service : l’un nettoie les toilettes, l’autre fait la cuisine et nettoie le séjour, et le troisième nettoie les chambres. Il y avait le tableau de service et Jim m’inscrivit à chacune des corvées à partir du lendemain.

 

Jim était de bonne humeur et les ouvriers semblaient apprécier ma présence. Après diner, il y eut une partie de poker à cinq, avec des jetons. A 22 heures, les ouvriers avaient pour consigne « d’éteindre les feux ». Chacun regagna au dortoir son box : j’avais le n°5. Je rentrais dans mon box, je tirai bien le rideau pour protéger mon intimité.

 

Demi-heure plus tard, alors que j’étais endormi, je sentis une masse tiède s’allonger contre moi. Jim était là, et il me regardait dormir. Il me caressait les épaules, puis le torse, les cuisses et posa sa main sur mon sexe. Je n’avais jamais senti le désir monter en moi comme ce soir-là. Mon sexe était bandé sous le slingshot. Allongé sur le dos, ses mains caressaient toutes les parties de mon corps et je n’avais qu’une envie : m’abandonner complètement à lui. Brutalement, il m’arracha le slingshot, il découvrit mon sexe turgescent.

 

Ce premier soir, Jim avait avec lui une bouteille d’huile et me massa tranquillement, jusqu’à ce que son corps soit aussi huilé que le mien. Quand mon sexe fut bien dressé, il se mit sur moi à califourchon, et enfonça ma tige dans son cul. Je me laissais guider par Jim et je découvrais combien c’était bon de niquer un mec, et de sentir sa tige au chaud dans un cul accueillant.

 

Jim se retira et me demanda de ne pas éjaculer. Je me blottis contre lui, contre son corps chaud et huilé, vieux réflexe d’un enfant qui cherche encore un père ! Le lendemain matin, surprise au réveil : les quatre ouvriers à poil étaient dans mon box : ils nous découvrirent avec Jim, les deux corps enlacés et profondément endormis. Un ouvrier réveilla Jim pour lui dire qu’il était déjà 5h15. Jim, furieux de s’être oublié, se leva et partit s’habiller et avaler un café.

 

Pendant la deuxième journée de travail, Jim était parti en ville. Les ouvriers modifièrent leurs rapports avec le « stagiaire ». L’un me donnait une tape amicale, l’autre au déjeuner me donna double ration pour satisfaire mon appétit. J’avais la peau plutôt blanche et Tom me conseilla de retirer le teeshirt ; Tom me fit cadeau d’un grand flacon d’huile solaire : j’en passais sur le torse et sur les jambes, tandis que Tom m’enduisait le dos d’huile solaire. Au bout de quelques jours, ma peau était devenue couleur bronze, comme celle des ouvriers.

 

La vie s’écoulait paisiblement le soir en baraquement. Je faisais mes corvées sans râler, ce qui était apprécié des ouvriers : ils m’avaient adopté comme un des leurs. Jim était devenu plus distant avec moi ; il était sur de nouveaux projets, il donnait ses ordres à Jordan par téléphone, et on ne le revoyait plus pendant plusieurs jours.

 

En journée, la chaleur était moite et pénible à supporter. Des liens de forte complicité existaient entre Jordan, Richard, Tom, Mervin et moi. La tenue de travail restée la même. En journée, dès les premières chaleurs, on gardait nos rangers, et on tombait le teeshirt et le short. Vêtu du simple slingshot, notre corps à l’air libre pouvait bronzer et suer par tous ses pores. L’équipe était soudée et il y avait de l’entraide. Notre patron était surpris par tout ce que nous faisions. Un jour, nous avions aperçu sur une colline Jim qui nous surveillait avec une paire de jumelles. Les ouvriers disaient que Jim nous « matait » et je n’avais pas compris.

 

Sur le plan sexuel, la promiscuité prit le pas sur la camaraderie. Le soir, après les corvées et le repas, Jordan organisait un tournoi de lutte sur le tapis de sol de la salle de gym. Dans de puissants corps à corps, les ouvriers luttaient, leurs corps dégoulinaient de sueur. Ayant presque 15 ans de moins qu’eux, j’étais un « bleu » et j’ai appris beaucoup à leur contact : ils étaient respectueux des corps, ils connaissaient les limites. Ceci ne les empêchait pas de placer leurs mains un peu trop longtemps sur les parties génitales, ou de passer un doigt dans la raie des fesses.

 

A 22 heures, chaque soir, chacun rentrait dans son box. En l’absence de Jim, l’un des quatre, venait pendant la nuit me caresser, me pincer les tétons, me masser les couilles, me branler, avaler mon sperme et me faire un toucher rectal.

 

Pendant ces nuits, j’appris à aimer le foutre, à sucer et à branler l’homme qui était avec moi dans le box. En salle de gym, sur le banc de musculation, Richard me coachait pour faire travailler certains muscles peu sollicités.

 

C’était un stage d’un mois… Jordan se rendit compte que mon intérêt était de prolonger le séjour. A mon insu, il en parla à Jim qui fit prolonger l’autorisation de séjour à 12 mois. Et lors des 30 jours écoulés, Jordan m’offrit le choix ou de partir ou de rester, m’informant qu’il avait fait régulariser ma situation, en cas de séjours prolongés. Je me trouvais bien parmi eux et je choisis de rester. Je téléphonais à mes parents pour leur donner de mes nouvelles et signaler que je prolongeais mon stage : ils étaient contents que je me sois bien adapté à cette nouvelle vie en Afrique du Sud.

 

Satisfait de moi, Jordan était devenu amical et me traitait comme son fils. C’était au début du mois de novembre : je sentais que Jim était possessif et particulièrement jaloux de la place occupée par les ouvriers agricoles dans ma nouvelle vie. Il me proposa de partir trois jours avec lui, chez un client : il avait besoin de moi. Sans vouloir mal faire, je refusais cette offre, préférant rester à la ferme. Le visage de Jim s’obscurcit. Mon refus l’avait contrarié.

 

Pendant les deux jours suivants, Jim fut absent. La chaleur en journée était écrasante. En journée, j’aimais bien faire équipe avec Mervin : âge de 34ans, environ 1m86 pour 92kg, tout en muscles, il était toujours serviable et de bonne humeur. Ma sexualité avait évolué, avec de nouveaux désirs de plus en plus violents. Ce jour-là, en prairie, tous les quatre à trier du bétail, je regardais Marvin en slingshot, le corps bronzé, ruisselant de sueur, et les muscles saillants.

Je savais que je devais satisfaire ma sexualité en pays inconnu, à l’écart de tout : je m’approchais de Marvin qui fermait une clôture, je lui mis une main sur son épaule. Marvin se retourna, observa mon émoi et mon sexe bandé qui débordait du slingshot. D’une main je caressais un téton que je pinçais. Puis Je le pris par la main « Viens Marvin ! La rivière est toute proche ! » Tous les deux on a couru pour se plonger dans la rivière et se baigner. J’arrachais le sling de Marvin que la rivière emporta et je le suçais. Je revins sur les berges, je m’allongeais en écartant les jambes : Marvin comprit que je m’offrais à lui. Il m’arracha le slingshot et il défonça ma rondelle à sec. Je hurlais … de plaisir. Il allait et il venait en moi comme un voiture roulant sur une avenue: jamais, je n’avais connu pareille douleur et autant de plaisirs. Il fallut rentrer à poil, sous les regards pervers de Jordan, Tom, Richard qui avaient fait le travail à notre place. Dès lors, à la ferme, les rapports sexuels furent débridés et no tabou.

 

Après trois mois de séjour, Jim constata que je m’étais transformé physiquement. Il lui arrivait de venir travailler avec nous et le soir, il restait au baraquement. Sous la douche, Jim vit que mon corps se musclait, ma peau était bronzée (sans la marque du short), que mon entrejambe s’était remplie de poils pubiens, que mon pénis entrait en érection fréquemment, que les poils de mon visage et de mon torse étaient plus durs : la virilité de mon corps s’affirmait et s’épanouissait. Une fois par quinzaine, en soirée, il y avait un passage à la tondeuse, pour avoir des cheveux ras. Jim tenait à me passer la tondeuse lui-même sur la tête, et il pouvait ainsi m’observer de plus près…

 

Jim apprit ce qui s’était passé entre Mervin et le « stagiaire », ce qui le mit en colère. Le règlement interdisait les rapports sexuels pendant le temps de travail. Jim interrogea Mervin qui lui relata sans détour ce qui s’était passé. Jim constata que le « stagiaire » s’était débauché et n’hésitait plus à se rendre désirable auprès des ouvriers. Jim décida alors de parfaire mon éducation et de s’affirmer comme Maitre.

 

Ceci me fut raconté par Jordan. Jim savait qu’il pouvait compter sur Jordan pour exécuter tous ses ordres et pour mettre en œuvre ses projets. Même si le travail donnait satisfaction, Jim constatait que la présence du stagiaire « sapait » son autorité auprès de ses ouvriers. Début décembre, Jim montra à Jordan un palan à chaines dans une remise de la propriété, et il lui ordonna : « Demain, tu rentres deux heures plus tôt que les autres. Je te dirai quoi faire avec ce matériel. Tu ne dis rien aux autres »

 

Le lendemain, Jordan revint à la ferme à 14h et Jim lui dit d’installer un ensemble de matériels dans la salle de gym : un palan électrique d’une force de 300kg, à accrocher à la poutre maitresse de la salle de gym. Il y avait aussi une barre d’écartement, d’épaisses chevillières en cuir pour attacher la proie par les chevilles et des cordes. Jim exécuta les ordres et ajouta les équipements spéciaux à la salle de gym.

 

A 16 heures, nous sommes rentrés du travail : nous nous sommes dessapés, j’ai rempli la machine à linge, nous avons pris la douche. Il y eut un moment de détente, Jim était avec nous, et on dina ensemble. A la fin du repas, Jim me prit à partie. Il me reprocha d’avoir « débauché » Marvin pendant le temps de travail, et il me reprocha aussi en novembre dernier, il y avait à peine un mois, d’avoir refusé de l’accompagner chez un client. Jim affirma qu’il était seul Maitre dans sa ferme et que ces écarts de comportement étaient inacceptables pour un stagiaire. Jim déclara que le stagiaire avait le choix : s’il était courageux, il consentait à être puni ; s’il était lâche, il quittait immédiatement la ferme.


Jordan, Richard, Tom et Mervin se taisaient. Le silence était lourd et tous les yeux se tournaient vers moi. Je sentais la sueur sur mon front. La peur faillit prendre le dessus. J’étais encore jeune et sans doute pas mal inconscient. Ma réponse à Jim fut directe: « Je sais que j’ai mal agi contre vous et j’en accepte les conséquences ! Je suis à votre disposition ! » Je me plaçais debout devant Jim…

 

Je fus emmené par Jordan dans la salle de gym. Comme Richard, Tom et Mervin, je vis au-dessus du tapis de lutte, le palan électrique. On me fit allonger sur le dos : Jordan boucla les chevillières en cuir sur les pieds et chevilles ; puis, Jordan fixa une barre d’écartement entre mes jambes, accrochée aux chevillières ; enfin, les crochets du palan sont accrochés aux anneaux de la barre d’écartement. Jordan se saisit de la télécommande, et le corps du bestiau se soulève pour enfin se balancer au-dessus du sol. Jim demande à Tom et à Richard de me fixer aux poignets un bracelet de cuir, ce qu’ils font. Jim leur demande avec un cordage, de me tirer les bras en croix et de nouer la corde aux crochets du mur. Voici le stagiaire, suspendu comme un bestiau, les bras et jambes en croix !

 

Jim fixe alors Mervin et lui tend un fouet : « tu lui donneras dans le dos 7 coups de fouets ». Mervin hésite, puis prend le fouet. Le stagiaire sait qu’il doit se montrer courageux et soumis. Mervin donne un premier coup de fouet, puis un 2°, puis un 3°. Les ouvriers comptent les coups : 2, 3, 4 et le corps du stagiaire ruissèle de sueur ! Et puis 5, 6 et 7. Des traces rouges strient le dos du bestiau qui a subi un châtiment corporel. Jim se tient face au stagiaire qui ne dit rien et qui laisse couler une larme sur sa joue.

 

« Pour ce soir, le spectacle est fini, tous au dortoir ! Moi, je reste avec le stagiaire ! » Les gars vont en chambre, et je reste seul avec Jim. Je reste plus d’une heure dans cette position impudique, exposé aux regards pervers de Jim. Puis il me fait redescendre, mes épaules touchent le tapis, et mes jambes sont encore suspendues. Jim se place entre mes jambes, il écarte un peu plus mes jambes : il prend de la graisse, me lubrifie le cul et m’enfonce un Butt plug. « Tu le garderas et tu ne pourras l’enlever qu’avec mon autorisation ». Il me fait redescendre complètement : enfin je repose sur le dos. Il me pose une cage de chasteté sur le pénis « Là aussi, tu devras attendre mes instructions pour te servir de ton sexe : tu bandes et tu éjacules trop souvent. Je vais t’apprendre la chasteté ». Jim me détacha complètement, me passa un baume dans le dos, pour apaiser les brulures. Je partis me coucher avec un plug au cul et une cage de chasteté. J’étais humilié et je ne me sentais plus homme.

 

Le lendemain, les ouvriers me découvrirent avec mon dos blessé, ma cage de chasteté et mon plug. Je gagnais leur considération pour avoir accepté et supporté le châtiment corporel. Avant de partir au travail, en présence des ouvriers, je dus demander à Jim de pouvoir enlever le plug pour déféquer. Jim accepta et montra aux autres que je lui appartenais totalement. Cette situation tendue prit fin avec les fêtes de fin d’année. La veille de Noël, il leva les sanctions : la cage de chasteté fut retirée et le Butt plug aussi. J’avais appris la soumission, le courage de supporter la douleur, et la patience d’accepter la chasteté sexuelle à 19 ans, dans un milieu d’hommes en rut et en chaleur.

 

Pour les mois qui ont suivi, comme j’étais le plus jeune, Jim et ses ouvriers me voulaient soumis. En avril, ils avaient même organisé une chasse à l’homme: j’étais leur proie. Les chasseurs se déplaçaient à pied, reliés entre eux par talkie-walkie. J’étais en slingshot en ranger et chapeau de toile pour me protéger du soleil. Ils me donnèrent dans un sac à dos : une gourde d’eau et des rations de survie. Jim me laissa une heure d’avance. Si je leur échappais pendant 48 heures, je serai libre, sinon, je resterai l’esclave de Jim.

 

Je partis le matin à 5 heures vers l’ouest, car je savais que la zone était traversée de cours d’eau. Je courus pour avoir un maximum d’avance et vers 17h pm, j’avais déjà du parcourir une trentaine de kilomètres, sans voir personne. Je me trouvais devant un escarpement rocheux et à la base il y avait une cavité : je me glissais dedans, il faisait sombre : le sol était sableux et j’en profitais pour boire et manger. Puis je m’allongeais pour me reposer : écrasé de fatigue, je me suis endormi.

 

Quand je me réveillais, je sentis une présence : Richard était là. C’était un homme qui approchait la quarantaine, les cheveux blonds coupés ras, des gros tétons saillants, un visage dur, le corps presque imberbe. Habitué aux travaux de force, son corps était d’une forte corpulence : 1m77 pour 86k, très musclé. Pour l’avoir affronté à la lutte, je savais que je ne faisais pas le poids. Il se jeta sur moi, me fit tourner sur le ventre, écarta mon slingshot, mit de la salive sur ma rondelle et il prit son pied à m’enculer longuement. Ils étaient les chasseurs et j’étais leur gibier. Après m’avoir niqué, il me mit des menottes aux poignets et aux chevilles, il appela Jim et les autres : tous ils me ramenèrent à la ferme, satisfaits de m’avoir capturé en moins d’un jour !

 

Pour les trois derniers mois, juin, juillet et août, j’avais consenti à me soumettre à des beaux mecs virils et j’y trouvais du plaisir. Chacun m’imposa des souffrances et fit progresser la découverte des limites de mon plaisir sexuel. Je ne regrette rien de ce que j’ai vécu au contact de Jim, Jordan, Tom, Richard et Mervin. Ce fût un stage édifiant qui m’a fait découvrir une partie de ma sexualité et qui m’a appris à vivre des situations de grande promiscuité avec des hommes.

 

J’ai quitté la ferme en septembre 2003 pour rejoindre Beyrouth. Mes parents m’ont trouvé « positivement transformé » et ils ont envoyé une lettre de remerciement à Jim pour ses « bons traitements ». Ayant vécu cette vie au grand air, j’ai décidé en octobre 2003 de venir en France et de m’engager dans l’armée française. J’y suis très bien et je suis maintenant sous-lieutenant, dans un service de sécurité, de l’Armée de Terre. Je ne regrette rien !

 

Ce récit est certainement incomplet par rapport à toutes les situations réelles que j’ai connues jour après jour, pendant ces 365 jours de captivité sexuelle et d’apprentissage à la soumission.

 

G.Durand

Publié dans : Trips - Communauté : baiseurs gays exhibs
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