Je m’appelle Pierre, je vais vous raconter une aventure que j’ai réalisée il y a quelque temps avec un ami. J’ai 26 ans, je mesure 1m79 pour 72kg, plutôt bien foutu, je suis châtain avec les yeux verts. J’ai récemment du bouger à Orléans pour le boulot et j’ai dû quitter ma bande de potes que j’avais sur Nantes. On est une équipe de cinq fêtards, Hugo, Maxime, Florian, Marc et moi, et je ne compte pas les soirées de fou que nous avons vécu ensemble.

Mes amis savent tous que je suis homo, cela n’a jamais posé de problème et il ne s’est jamais rien passé entre nous ou tout du moins, jusqu’à il n’y a pas longtemps… Ainsi, Après mon déménagement pour le boulot, je suis régulièrement rentré sur Nantes pour continuer à voir mes potes et à faire la fête. Nos soirées se passaient généralement sous le format : apéro, bouffe, bar et boite. Mes copains avaient tendance à choper pas mal lorsque l’on allait en discothèque. Il faut dire qu’ils étaient pas mal et tous célibataires à cet époque et puis, s’étaient tous des gros queutards hétéros !

Avec mon déménagement, j’avais rendu les clés de mon appart. Du coup,  je squattais généralement chez Hugo qui avait une chambre d’ami. Tout se déroulait très bien, et on rigolait bien.

Il y a cinq mois, je suis donc venu sur Nantes, comme un weekend sur trois environ, parce qu’on devait fêter l’anniversaire de Maxime. Jusque-là tout était normal. La soirée a commencé tranquillement chez Max avec une vingtaine d’invités. Nous avons bien bu et bien mangé. Vers une heure du matin, on a filé vers Le LC Club pour danser et draguer. Max comptait fêter son anniversaire en beauté en ramenant une miss magnifique. On se marrait bien avec Flo et Marc parce que Maxime était complétement bourré, et jamais une nana ne voudrait de lui.

La discothèque était blindée ce soir-là. Il avait bien choisi son jour le salaud, il y avait des nanas partout. Du coup, il a tenu parole et a réussi à en accoster plusieurs. De son côté, Marc s’est tapé plusieurs miss aussi, même si elles n’étaient pas toutes canons… Pour ma part, j’ai commencé à flipper quand j’ai vu qu’Hugo draguait à fond une ex… J’ai senti le coup foireux arriver, et ça n’a pas loupé. Je l’ai perdu de vu vers 4h du matin, et il m’a envoyé un SMS, 15min plus tard pour m’annoncer qu’il était rentré chez lui avec son ex. Du coup, il fallait que je trouve un autre lieu pour dormir. J’ai donc demandé à Florian de m’héberger parce que Maxime et Marc étaient bien trop occupés à draguer. Il a accepté.

La boite a fermé et nous sommes rentrés chez Flo, petit appart d’une pièce avec un seul lit deux places. Florian m’a dit que nous allions dormir ensemble, ça ne m’a pas posé de problème. D’ailleurs, je ne sais pas si c’était l’alcool, mais l’idée de dormir dans le même lit que mon pote hétéro me plaisait bien.

Florian est un mec d’environ 1m75 bien dessiné par des années de natation de compétition. Il me semble qu’il a même gagné plusieurs médailles. Il est châtain, avec des yeux marron, une mâchoire carré et des traits plutôt virils. J’ai pu le découvrir plus en détails lorsque nous nous sommes mis en boxer pour nous coucher. Assez peu poilu, on remarquait surtout son tatouage tribal sur le côté droit de son torse et s’est pectoraux bien dessinés. Son boxer lui faisait aussi un beau cul bien musclé et rebondi.

On s’est mis sous la couette, ce qui n’était pas plus mal, parce qu’à force de le mater, je commençais à avoir une demi-molle. On a discuté un peu puis on a éteint la lumière. J’ai essayé de dormir mais je n’arrêtais pas de penser à Florian qui dormait quasiment à poils à côté de moi. Je me suis dit qu’il fallait que je tente le coup, et qu’en cas de scandale, je pouvais toujours me réfugier derrière l’excuse de l’alcool.

J’ai commencé à me rapprocher tout doucement de lui. Je ne savais pas bien s’il dormait ou pas. Mon cœur commençait à battre la chamade. Il tapait tellement fort dans ma poitrine que Florian devait l’entendre, ou, tout du moins, le sentir. Je l’ai effleuré plusieurs fois en bougeant dans le lit mais il ne réagissait pas. Je n’arrivais pas à me convaincre qu’il dormait car sa respiration n’était pas spécialement posée. J’ai donc continué à le toucher « sans faire exprès » et tout d’un coup, il s’est retourné ! Paniqué, j’ai arrêté de bougé.

Florian s’était approché de moi. Quelques secondes après, j’ai senti son pied qui appuyait contre le miens. Il ne dormait donc pas. Il poussait avec son pied comme pour me faire un signe. J’ai à nouveau glissé ma main vers lui, et là, j’ai touché son érection à travers son boxer ! Le bougre, il bandait comme un âne. Il s’est approché de moi, et dans la pénombre, m’a embrassé.

Nos corps se sont alors serraient l’un contre l’autre. Nous nous embrassions et je lui caressais le paquet en même temps. Je savais qu’il fallait y aller doucement, parce que s’était un hétéro que j’étais en train de me taper. Florian a lui aussi commencé à me caresser le paquet. Ses mains étaient hésitantes. C’était assez charmant et en même temps, très excitant. Son torse était déjà très humide, je sentais son cœur. Il devait être dans un état d’excitation mais également d’anxiété.

J’ai pris les devants. J’ai enlevé son boxer et le mien et j’ai commencé à le branler. Il avait l’air d’apprécier vu les soupirs qu’il poussait. Il m’a lui aussi pris la bite et m’a masturbé. Il le faisait très bien, ça devait être un expert de la branlette.

Après de longues minutes à malaxer nos couilles et astiquer nos teubs, je suis descendu en embrassant son torse jusqu’à sa tige. Elle semblait belle et bien dessinée. Je l’ai prise en bouche, tout doucement pour commencer, et j’ai joué avec ma langue autour de son gland. Florian s’est mis à pousser des râles. Il me tenait la tête et semblait avoir un peu de mal à se contrôler. Je pense qu’il est très sensible à ce niveau-là. Je l’ai ensuite pris à plein bouche. Sa hampe entrait et sortait de ma bouche, elle caressait mes lèvres et un agréable goût. J’étais affamé et lui aussi.

Après l’avoir sucé, je suis retourné l’embrasser. Il s’est laissé faire et il s’est remis à me branler. Par contre, il m’a soufflé qu’il ne me sucerait pas ce soir-là, car tout ceci était déjà très nouveau pour lui. Nous avons donc continué à nous branler et moi à le sucer pendant un bon moment, peut être 1h. Nous étions prêts à éjaculer à de nombreuses reprises mais nous nous arrêtions à temps.

Très excité par tous ses préliminaires effectués avec mon bel hétéro, je me suis allongé sur le dos et j’ai attiré Florian vers moi pour l’embrasser. Un fois en position, j’ai relevé mes jambes pour que sa gaule appuie sur mon anus. Il m’avait dit qu’il ne voulait pas me sucer, pas qu’il ne voulait pas tester mon trou. Il a vite compris mon petit jeu, et il s’est mis à donner des petits coups à mon anus. Je le tenais pas les épaules et l’embrassais goulument.

Il a sorti une capote de sa table de chevet, l’a enfilé et il s’est remis en position. J’ai craché un peu dans ma main, pour me lubrifier un minimum le cul. Puis, Florian a recommencé ses petits coups. Mon trou a commencé à s’ouvrir et sa bite s’est frayé un chemin. Je la sentais entrer petit à petit. Elle était épaisse et chaude. Florian avait l’air d’apprécier mon cul. Il est rentré jusqu’à la garde, et est resté quelque instant dans cette position. Il m’a embrassé et m’a dit « j’espère que je fais aussi bien l’amour à un mec qu’à une miss ». Les mouvements de bassin ont alors commencé.

Doucement au départ, mon hétéro s’est mis à glisser lentement sa hampe tout le long de mon cul. J’avais des frissons. Ma bite était bandée à max, et je mouillais des gouttes d’excitation sur mon ventre. Une fois la première grosse excitation passée de Florian, il a accéléré son mouvement. J’avais les deux pieds en l’air, ce qui lui offrait un angle parfait pour me défoncer le cul. Il faisait des mouvements amples et rapides.

Ses coups de reins faisaient taper sa bite profondément dans ma prostate, ce qui me faisait gueuler de plaisir. Je garde encore cette image de lui dans la pénombre, juste au-dessus de moi, avec son visage marqué par le plaisir qu’il prenait à me sauter. Il respirait de plus en plus fort, et s’est mis à me parler. Il me demandait si j’aimais sa bite, si ça me plaisait de me faire sauter par lui.

Je n’en pouvais plus, les coups de bite de Florian, le fait de me faire baiser par un hétéro, et les longues préliminaires que nous avions fait avant cette fabuleuse sodomie, ont eu raison de moi. Sans même me branler, je me suis mis à éjaculer d’énormes jets de sperme sur mon ventre, mon torse et même mon visage. J’en avais partout et je poussais des gémissements à chaque coup de reins de mon partenaire.

Je ne crois pas que Florian ait compris que j’avais éjaculé, tellement il était affairé à s’occuper de mon trou mais il a lui aussi éjaculé quelques minutes après mois, remplissant sa capote dans mon cul. Lorsqu’il a éjaculé, il était presque bestial…

Après s’être vidé, il s’est affalé sur moi et s’est endormi. C’était agréable de l’avoir contre moi, tout chaud et humide, et de pouvoir sentir sa respiration et son cœur. Je me suis moi-même endormi.

C’est seulement le lendemain matin, vers 10h, que je me suis réveillé. Florian dormait encore. Je me rappelais parfaitement la nuit que je venais de passer et je me suis demandé la réaction qu’allait avoir mon pote au réveil. J’appréhendais un peu mais lorsqu’il s’est réveillé, 30 min après moi, il m’a repris dans ses bras et m’a à nouveau embrassé. Il m’a alors glissé qu’il avait pris un pied d’enfer pendant la nuit, comme jamais avec une femme.

On a rapidement remis ça avant que je ne rentre sur Orléans. Depuis cette nuit-là, ce n’est plus chez Hugo que je dors lorsque je vais sur Nantes...

Pierre