Je suis passé à Angers il y a quelques années pour un match de handball et il m’est arrivé une aventure durant mon séjour.  A l’époque, j’avais 24 ans et je faisais partie du club de hand de Tours. On se déplaçait régulièrement pour faire des matchs et les entrainements étaient intensifs et nombreux. Du coup, mes meilleurs potes étaient les membres de mon équipe avec qui, je passais beaucoup de temps.

On délirait bien ensemble. On se voyait en dehors des entrainements, en soirée, où tout le monde faisait la fiesta. On était tous proche et complice. Par contre, il y a une chose que je n’avais pas dit à mes collègues, mon obnubilation pour les bites.  

Adolescent, j’ai développé une obsession pour les teubs des mecs. Dans les vestiaires au hand et aux collèges, mes yeux se sont rapidement portés sur les bites de mes potes qui commençaient à se développer avec la puberté. Certains avaient de belles touffes de poils et des morceaux assez développés. Pour ma part, je me suis constitué assez vite de ce côté-là, une bonne paire de couilles pendantes et une bite bien poilue. Le soir, je me branlais en repensant à mes collègues que j’avais vus durant l’après-midi dans les vestiaires.

Après avoir découvert l’éjaculation et la branlette, ça met aussi arrivé de me masturber avec deux ou trois potes durant nos après-midis chez les uns ou les autres. A chaque fois, l’un d’entre nous arrivait à récupérer un VHS porno de son père ou de son frère et on regardait celui-ci ensemble. On avait des érections qui pointaient dans nos joggings et on finissait par sortir nos bites pour nous astiquer, chacun sa queue dans sa main, et éjaculer.

Du coup, lors de notre déplacement à Angers, on racontait plein de conneries dans le car et on a vite dérivé sur les histoires de cul. On était tous obsédé par ça, mais je pense que la plupart de mes coéquipiers étaient hétéros. Dans les vestiaires du handball, on avait tous fait des jeux débiles comme la biscotte, la branlette express, mettre du sperme dans le gel douche d’un collègue… On était des vrais gamins.

Dans le bus, Jérôme, un collègue nous a balancé un jeu qu’on n’avait jamais fait, mais qui étaient vraiment hard, le bukkake. Le concept consiste à être plusieurs mecs à éjaculer sur une personne. Un gros délire qui nous a tous fait marrer. Je ne pense pas qu’à ce moment-là les mecs prenaient le truc au sérieux. Mais Jérôme est revenu à la charge, à croire que ce mec était gay, en disant qu’on pourrait faire un défi débile comme « le plus nul du match se fera bukkake par les autres mecs de l’équipe ». Maxime, sûr de lui, c’est marré et a balancé « ok, défi tenu », du coup, les autres joueurs ont validé leur participation.

Dans mon fort intérieur, je me suis imaginé me prendre la sauce de tous ces mecs et ça m’a foutu une gaule d’enfer qu’on pouvait presque apercevoir à travers mon jogging de sport. C’était le moment où jamais, il fallait que jouer comme une merde sur le terrain pour me retrouver au milieu de tous mes coéquipiers.

Nous sommes arrivés à Angers, et mon plan s’est déroulé comme prévu. J’ai été nul sur le terrain, nous faisant gagner le match de justesse ce qui était préférable si je voulais conserver le bon moral des troupes !

Avant de retourner aux vestiaires, je me suis dit qu’il fallait que je fasse un peu de théâtre pour ne pas montrer mon enthousiasme à recevoir une douche de sperme sur la gueule. On déconnait entre bons potes, il ne fallait pas qu’ils croient que j’aimais les faciales. Je suis donc arrivé dans les vestiaires avec un visage maussade. Mes collègues m’ont regardé et se sont marrés en me balançant que j’allais prendre cher parce que j’avais vraiment été nul pendant le match. Je ne souhaitais que ça !

Nous nous sommes dirigés vers la douche les uns après les autres. L’eau était chaude, il y avait beaucoup de vapeurs. Ce n’était pas plus mal parce que je commençais à avoir une demi-molle.

Maxime et Jérôme ont commencé à s’astiquer. Leurs bites sont rapidement devenues raides et les autres coéquipiers ont suivi leur exemple. On m’a ordonné de me foutre à genou. J’avais autour de moi tous les membres de mon équipe en train de se branler. Je connaissais tous ces gars et j’avais déjà vu la bite de la plupart d’entre eux en érection pendant nos jeux débiles. Il y avait des bites plus longues et plus grosses que d’autres. Certaines étaient velues, d’autres avaient les poils taillés...

Tous ses pieux au-dessus de moi m’avait filé la trique. Je me branlais et j’attendais de recevoir le premier jet de sperme. C’est Jérôme qui a ouvert le bal. L’idée de faire un bukkake devait vraiment l’exciter beaucoup. Il a éjaculé 4 gros jets de sperme qui sont venus s’éclater sur ma joue droite et mon front. Les autres mecs ont rigolé mais la vue de Jérôme m’éjaculant dessus leur à faire de l’effet car plusieurs d’entre eux n’ont pas tardé à jouir.

3, 4, 5 mecs s’étaient vidés les couilles sur ma gueule. Après avoir éjaculé, les gars se douchaient rapidement et quittaient les douches si bien que je me suis retrouvé avec 3 gars au-dessus de moi dont Maxime qui semblait prendre un malin plaisir à me voir me faire recouvrir de semence. Je dégoulinais de sperme. J’étais en transe et complètement hors de contrôle si bien que j’ai fini par agrippé une bite des trois derniers participants et à me la fourrer dans la bouche. Le goût était délicieux.

Un peu surpris, les 3 mecs ont vite apprécié mon petit jeu et m’ont tendu un par un leurs queues pour que je salive dessus. Ils étaient au bord de l’éjaculation. Maxime a fini par me gicler dans la bouche pendant que mes deux autres coéquipiers m’en mettaient sur la gueule et les cheveux. J’ai profité de ce moment pour gicler et envoyer de gros jets de sperme à 2m de moi.

Totalement vidé et couvert de sperme, je suis resté là quelques minutes. Maxime et les deux autres joueurs m’ont dit qu’ils ne diraient rien concernant ma bouche chaude mais qu’ils comptaient bien s’en resservir. Ils sont ensuite sortis.

J’ai avalé un peu de sperme qui me dégoulinait du visage et je me suis douché rapidement. Quand je suis sorti des vestiaires, tout le monde a fait comme si de rien n’était. J’ai entendu pendant le retour dans le bus, que le bukkake allait devenir un rituel pour le plus mauvais joueur de chaque match. Je n’allais pas pouvoir l’être à chaque fois, mais au moins une fois de temps en temps.