Enfin les vacances, au volant de ma nouvelle voiture que mon père m’avait offerte pour mon diplôme de fin d’année. Histoire de me ressourcer, je quittai la ville pour aller passer un long week-end réparateur dans la campagne de Provence où mes grands-parents avaient une petite maison bien loin de la pollution parisienne. Ils ne seraient pas là pour m’accueillir, ils étaient partis chez une vieille tante malade et ne rentraient que le lendemain soir. J’avais la maison pour moi tout seul.
Après avoir garé la voiture, je sortis la clé qu’ils m’avaient donnée et pénétrai dans la maison. Ayant transpiré lors du trajet, je décidai de prendre une douche. J’enlevai mes vêtements en les laissant tomber au sol tout en me dirigeant vers la salle de bain. Le jet d’eau chaude me fit du bien, je relevai la tête pour sentir l’eau couler sur mon visage, je me cambrai en arrière pour mieux profiter de ce jet d’eau puissant s’écrasant sur ma poitrine bombée et sur mes cuisses musclées. Des heures en salle de musculation et de course à pied avaient sculpté mon corps. Me reculant légèrement, les picotements de l’eau frappèrent puissamment mon sexe non circoncis au repos. Mon membre de dix-huit centimètres se tendit en s’arquant sous cette caresse tonique. J’aspergeai mon corps d’une bonne giclée de gel douche et mes mains commencèrent à caresser ma poitrine en faisant de lents mouvements circulaires. Continuant leur chemin, mes mains s’arrêtèrent un instant sur mon ventre musclé où un doigt s’aventura à l’intérieur de mon nombril pour le nettoyer. Je frissonnai lorsque la caresse de mes doigts se posa sur le haut de mon pubis et que mon sexe gorgé de sang s’épanouit en se redressant pour venir cogner le dos de ma main. Prenant mon sexe bandé à pleine main, je fis coulisser la peau le long de ma verge pour en décalotter le gland jusqu’au frein et la remontai en un lent mouvement. L’eau et le gel faisant un formidable lubrifiant, encouragèrent ma main à continuer en un va-et-vient de plus en plus rapide. Mon autre main se déplaça pour venir se plaquer contre mes fesses. Appuyé contre la paroi de la douche, j’écartai mes cuisses un maximum, afin que la pulpe de mes doigts se colle contre mon anus. Deux doigts pénétrèrent aussitôt à l’intérieur de mon conduit en un délicieux pilonnage pendant que mon gland gonflé de désir disparaissait et réapparaissait à l’intérieur de mon poing serré. Mes testicules remontèrent d’un coup et quatre jets de sperme s’écrasèrent contre la paroi vitrée. L’eau qui continuait à couler fit disparaître toutes traces de jouissance. Heureux et comblé, je sortis de la douche et me séchai. Devant la glace, j’arrangeai mes cheveux blonds bouclés avec mes mains, et me souris en me regardant. J’avais les yeux bleus de ma mère et la bouche charnue de mon père.
La serviette de bain nouée autour de la taille, je sortis sur le balcon surplombant le petit jardin. De l’autre côté de la haie délimitant le terrain, la maison des voisins. J’entendis le bruit d’une tondeuse à gazon et, sortant de derrière un massif de fleurs, un mec, torse nu, dans un short moulant apparut aux commandes de l’engin. Quelle ne fut pas mon excitation lorsque je pris conscience de ses formes et de ses atouts physiques… Je levai une main pour le saluer, il me regarda à peine et continua à tondre l’herbe. Je m’assis sur une chaise en faisant semblant de me plonger dans un journal. Pourquoi n’a-t-il pas daigné répondre à mon salut, peut-être un peu gêné qu’on le surprenne aussi peu vêtu ? Il ne devrait pas, il avait un corps à damner un saint. Une peau halée et cuivrée par le soleil de juin, des cheveux noirs et des mèches rebelles légèrement frisées qui encadraient un visage d’ange avec des lèvres sensuelles et charnues, un splendide petit beur. Mes yeux ne pouvaient se détacher de ce corps de rêve imberbe, de ses muscles bien dessinés roulant sous sa peau dorée tandis que des gouttes de sueur coulaient le long de son torse puissant. Une sangle abdominale en forme de plaque de chocolat contractée luisait sous l’effort. Je continuais à le dévisager et mes yeux descendirent légèrement plus bas pour se fixer sur le renflement imposant de son short, qui tressautait de gauche à droite au rythme de son déhanchement. Je vis le galbe de ses épaules se gonfler lorsqu’il amorça un demi-tour pour repartir dans l’autre sens. Un joli petit cul bombé dans son short serré se présenta à moi. Quelles fesses ! Du béton ! Je bandais comme un taureau en le regardant s’éloigner. Sa tête pivota vers moi et il me fixa d’un regard mauvais. Je fis mine de ne rien remarquer et rentrai à l’intérieur. Il n’avait pas apprécié que je le regarde comme ça, il fallait que je fasse un peu plus attention si l’occasion se présentait à nouveau.
Après avoir vidé ma valise et rangé mes affaires, je décidai d’aller courir un peu, c’était le moment idéal. J’enfilai mon short avec slip incorporé, qui me moulait parfaitement les fesses, un débardeur légèrement trop petit et mes baskets, puis je sortis de la maison. L’air était plus frais et le soleil commençait sa descente vers l’horizon. Un peu plus loin, au bout du chemin, un chemin pédestre serpentait dans la campagne. D’une foulée souple et légère je parcourus cinq bons kilomètres sans m’arrêter. L’air était frais en cette fin d’après-midi et le ciel très clair. J’adorais sentir le vent sur mon visage, cette bonne odeur de champs et d’herbes qui chatouillaient mes narines. Au loin une forêt, je piquai un sprint pour y arriver le plus vite possible. Une envie de pisser pressante commença à se faire sentir. Je m’arrêtai épuisé, posant mes mains sur mes cuisses légèrement humides et tétanisées par l’effort, mon cœur cognait à l’intérieur de ma poitrine. Après avoir repris mon souffle, je m’enfonçai dans la forêt et me glissai derrière un arbre, à l’abri d’éventuels regards. Je fis glisser mon short sur mes cuisses et tenant mon sexe d’une main distraite, je me soulageai en dirigeant le jet contre le tronc de l’arbre.
Des feuilles derrière moi bruissèrent, je n’eus pas le temps de me retourner, des mains puissantes me poussèrent en avant et je me retrouvai le visage collé contre le tronc de l’arbre, mon jet continuant à couler le long de mes cuisses en maculant mon short d’urine. Un corps musclé se plaqua contre le mien et des mots jaillirent d’une bouche inconnue.
- Alors comme ça tu matais mon cul, petit pédé ? Ça t’excitait de me voir tondre le gazon tout à l’heure ? Et là, tu la sens ma queue contre ton petit cul de mateur ?
Effectivement, contre mes fesses, à travers ce qui devait être un jeans, je sentais une bosse dure se frotter contre moi. Mon beau petit beur m’avait suivi jusque-là. D’un coup il s’éloigna de moi, ses mains s’agrippèrent à mes épaules et me retourna violemment avant de me pousser en arrière. Déséquilibré, les jambes entravées par mon short descendu, je m’affalai lourdement sur le dos.
- Tu fais moins le malin maintenant avec ta petite bite qui te pisse dessus.
Il s’approcha en se plaçant au-dessus de moi, jambes écartées. Il me regarda droit dans les yeux, sans aucun sourire. J’étais tétanisé, lui, me surplombant de toute sa hauteur, mon regard ne put s’empêcher de se poser sur la bosse qui déformait son entrejambe. Il déboutonna son short en jeans, et d’une main sortit un sexe imposant.
-Ben tu vois, moi aussi j’ai aussi envie de pisse.
Et il se mit à l’œuvre en urinant tout en dirigeant le jet sur mes parties génitales. Je voulu réagir mais il ne m’en laissa pas le temps. Il se laissa tomber à genoux et s’assit violemment sur moi. Mes couilles furent écrasées par ses fesses pendant que son jet finissait de couler contre mon débardeur. Je tentai de le repousser en arrière, mais sa main me claqua la joue violemment. Puis il arracha une poignée d’herbe couverte d’urine qu’il me frotta contre le visage, ensuite ses deux mains s’agrippèrent à l’encolure de mon débardeur et en tirant un grand coup, j’entendis le tissu se déchirer sur toute sa longueur. Là c’en était trop, mon bras se raidit et je l’envoyai de toutes mes forces contre son flanc gauche. Il accusa le coup en basculant sur le côté. J’en profitai pour me redresser mais mon short m’entravant les jambes m’en empêchait. Agitant mes cuisses je m’en débarrassai et je pus enfin me remettre debout. De son côté mon tortionnaire s’était également relevé. Face à face, moi à moitié nu avec mon débardeur qui pendait lamentablement d’un côté et lui, dans son short à la braguette ouverte, le sexe pendant, fier et sûr de sa force me regardait avec un sourire mauvais.
Il s’approcha de moi et me poussa violemment. Bien campé sur mes jambes, je reculai néanmoins de quelques pas, un poing énorme me percuta les abdos, je ressentis une légère douleur, mais la régularité de mes entraînements me permit de digérer le coup sans broncher. Je répondis aussitôt avec une série de coups de poing bien placés, un léger frémissement des lèvres du beur trahit une petite sensation de douleur, sa sangle abdominale était en béton. En me voyant à moitié nu, la confiance de l’arabe s’était renforcée, cinq uppercuts dans mes abdos me furent assénés. La douleur se fit plus vive. Reculant légèrement, j’enchaînai une série des coups de poing avec toute la puissance de mes bras et de mes épaules, il accusa le coup. J’en profitai pour me ruer sur lui, mon corps percuta le sien en l’enserrant dans mes bras. Plaqués l’un à l’autre, nos pectoraux se touchaient, nos abdominaux bougeaient l’un contre l’autre sous le rythme de nos respirations saccadées. Des gouttes de sueur commençaient à perler le long de mon ventre. Ses mains s’agrippaient au reste du tissu qui me couvrait très légèrement le corps et finirent par l’arracher complètement. Mes mains s’activèrent sur son short pour le faire tomber et d’un coup de pied il l’enleva. Nus, enlacés fiévreusement, nos yeux se fixaient avec hargne.
Je l’attirais contre moi pour essayer de l’étouffer dans un bearhug, mais il était fort, très fort. Il contrait mes mouvements et réussit même à nous séparer pour me placer un coup de genou dans les flancs qui me laissa le souffle coupé.
- Alors le PD, tu ne tiens plus la route, ta bite se ramollit ? Je ne te fais plus d’effet?
Recroquevillé sur moi-même, je le vis prendre un peu de recul pour essayer de me percuter avec son pied droit, dans un sursaut d’orgueil, ma jambe droite se détendit d’un coup et lui faucha la jambe gauche, son seul appui au sol. Surpris, il n’eut que le temps de sentir son corps massif tomber sur le dos. Ne laissant pas passer ma chance, je me jetai sur lui et le recouvris de mon corps. Sous le choc, nos deux cages thoraciques se vidèrent de l’air qu’elles contenaient d’un seul coup. Je sentis cette formidable musculature qui se gonflait sous moi et mon sexe, écrasé contre le sexe mou du rebeu, se mit à grossir rapidement.
Je sentis ses bras me ceinturer sans pitié, tous ses muscles tendus à l’extrême faisant saillir ses veines à de nombreux endroits. Il décida en même temps de tirer profit de mon excitation, mon sexe se durcissant de plus en plus maintenant que l’affrontement avait tourné au corps à corps. Pour l’instant, il tirait profit de sa domination au niveau du bas du corps : ses jambes s’entrelacèrent au miennes, puis exercèrent une forte pression pour les forcer à s’écarter au maximum, exposant ainsi encore plus mon sexe au frottement du sien, toujours au repos. Ayant bien immobilisé le haut de mon corps, il commença à balancer de légers coups de bassin pour accentuer le contact entre son corps et le mien, dont l’érection durcit encore…
Tels des boas, ses bras resserraient progressivement leur étreinte autour de mon torse, m’emprisonnant à hauteur d’épaule, ne me laissant plus écarter les bras pour me libérer. Cette situation m’excita au plus haut point, j’eus beaucoup de mal à contrôler ma queue grossissant de plus en plus au contact de ce sexe lourd et mou qui se frottait contre le mien. Une petite partie de mon cerveau espérait qu’avec le frottement de sa queue contre la mienne, il allait commencer enfin à réagir. D’ailleurs ne sentis-je pas une légère contraction de son bas-ventre contre moi ? Pilonnant toujours de ses reins et de son sexe ma queue en érection, il commença à y éprouver un léger plaisir. Sa queue ayant ressenti une certaine excitation commença à se déployer contre mon corps, sans qu’il ne puisse rien y faire.
Voulant à tout prix me libérer, je décollai légèrement mon bassin du sien, glissai mon avant-bras droit entre nos deux corps et ma main ferme se referma sur les testicules de mon tortionnaire. Et je les serrais… Sentant une douleur aigüe partir de son bas-ventre pour monter jusqu’à son plexus solaire, il poussa un gémissement plaintif. Lui malaxant douloureusement les couilles, son sexe continua à maintenir son début d’érection. Il força sur ses bras en resserrant son étreinte d’un cran mais aussitôt je le remis à l’ordre par une pression encore plus forte contre ses boules.
- Desserre tes bras ou je te broie les couilles !
L’étreinte se desserra, je me dégageai doucement, ses couilles toujours écrasées par ma main droite. Ses jambes se dénouèrent des miennes, il se redressa pour se mettre à genoux entre mes cuisses ouvertes et me regarda. Une grimace déformait ses traits, une légère sueur recouvrant son corps et le volume de ses muscles contractés brillait sous sa peau. Son sexe n’était plus exactement au repos, une légère érection était visible. De mon côté, sentant le combat basculer, ma verge se gonfla encore un peu avec ce changement de situation. Je me redressai en le forçant à me suivre, au moindre mouvement suspect mes doigts pressaient douloureusement ses noisettes. Une fois debout, je resserrai mes doigts une dernière fois en m’écartant rapidement de lui. Épuisé par tant de douleur et finissant de se relever, il eut juste le temps de voir ma jambe le faucher à nouveau et il s’écrasa au sol. Il se redressa encore une fois, les yeux fous de colère et de douleur, se rua sur moi mais encore une fois je l’envoyai au sol et cette fois-ci il chuta lourdement sur le ventre.
Dans un grand cri rauque, le corps bandé, je plongeai sur ma proie, mon bras droit glissa sous son cou et se mit en position d’étranglement tandis que ma main gauche força le chemin sous son bassin afin de reprendre possession des bijoux de familles encore endoloris. Mon sexe érigé écrasé entre deux lobes bien bombés…
- Alors le rebeu, tu ne fais plus le malin maintenant !
Malgré la douleur qu’il devait ressentir au niveau de ses testicules, son sexe devenait de plus en plus dur et quelques gouttes de liquide séminal se collèrent à mon avant-bras.
- Je te lâche et on continue à se battre au sol à la loyale. Vu ton état je te propose que le premier à juter perd le combat
- Comme tu veux, mais tu vas cracher le premier, fais confiance à Hakim, je vais te faire mouiller comme une gonzesse.
Je le lâchai et on se retrouva à genoux l’un en face de l’autre, nos deux queues bandées pointant à l’horizontale. Dans un même élan, avec les dernières forces qui nous restaient nos deux torses se plaquèrent et nos deux bras s’enroulèrent autour de nos deux corps réunis dans une étreinte sauvage. Mes mains croisées dans son dos, mon torse poussant le sien, j’essayai de le faire plier en arrière. Tels deux glaives, nos deux sexes bandés collés l’un à l’autre s’affrontaient. Le liquide séminal de la queue de l’arabe suintait de son méat et se répandait sur ma tige, la lubrifiant et rendant les frottements encore plus délicieux. Je ne fus pas insensible aux pectoraux puissants qui se frottaient sans relâche aux miens, à ses bras massifs qui m’étreignaient le torse, plus pour m’exciter désormais que pour me couper le souffle. Et dans un dernier sursaut d’orgueil, je donnai une dernière impulsion à mon corps contre le sien.
Lorsque je sentis son corps partir en arrière, je me laissai aller contre lui. Pendant le temps que dura la chute, une multitude de sensations m’emplit la tête. Lors de la chute j’avais bien senti nos deux sexes gonflés et durcis par l’envie se presser l’un contre l’autre. Allais-je réussir à ne pas me laisser envahir par cette envie dévastatrice qui m’enflammait les sens ?
En m’écrasant contre son corps, je sentis aussitôt qu’il était dans le même état que moi. Sa queue était dure au contact de la mienne. Large et longue elle dominait la mienne et une couche de liquide séminal coulant de son gland me lubrifiait délicieusement la tige. Je ne pus m’empêcher de laisser s’échapper un filet de liqueur de ma queue rigide en sentant le massage terriblement excitant que me prodiguait celle du rebeu. Le massage divin provenant du frottement langoureux de ce totem en bois bandé contre mon sexe dressé menaçait de faire monter mon taux de testostérone de jeune mâle en rut plus haut que jamais.
Il ne se privait pas d’onduler son corps sous le mien afin d’essayer de m’emmener vers l’extase, sa propre excitation continuait d’augmenter au fur et à mesure que la pression entre nos deux mâts de chair bouillonnants devenait incontrôlable. Le précum qui s’échappait de sa queue témoignait d’une irrépressible envie de plaisir sexuel. Mon corps écrasé contre le sien, le frottement de nos peaux moites étaient en train de le faire dériver vers la berge d’un torrent qu’il n’avait encore jamais franchi.
Je sentis les pulsations de ma verge s’affoler tandis que mes testicules s’écrasaient contre celles de Hakim. Il fallait réagir, le feu qui me brûlait le bas-ventre allait déferler comme le geyser d’un volcan. En écartant les cuisses, je me décollai légèrement du corps de mon « amant » en rajustant ma position plus en hauteur. Le sexe tendu d’Hakim, privé de contact, se redressa et s’engouffra entre mes cuisses douces et fermes.
Sa queue se retrouva prise dans un fourreau humide et chaud. J’ondulai sur lui de manière à créer un va-et-vient le long de sa verge tendue. Mon mouvement s’accéléra pour redevenir d’une lenteur infinie. Cette sensation torturante de sentir son sexe happé par un frottement de soie était amplifiée par le précum abondant coulant de son gland.
Son membre coulissant sous le rythme de mon bassin terminait sa course le long de mon pli fessier. Je sentais à chaque fin de mouvement son gland dur et humide venir cogner contre mon anus. Emporté par le plaisir, mon sexe se mit à suinter de plus belle. Un plaisir inavoué lui lubrifia la verge. Nos yeux se regardèrent, d’abord indécis, puis sans réflexion commune, sa bouche se rua sur la mienne. J’écartai les lèvres et un déferlement de langue et de salive se transvasa d’une bouche à l’autre. Nos langues se mêlaient sauvagement, le combat se poursuivit dans nos bouches, mais un combat centré désormais sur le plaisir.
Tout en poursuivant le baiser, Hakim se redressa lentement, jusqu’à ce qu’on se trouve presque assis. Son sexe fut finalement libéré dans ce mouvement, mais il comptait bien le réutiliser rapidement. Mobilisant ses dernières forces, Hakim se saisit de mon torse et me souleva des 30 centimètres nécessaires pour que sa bite puisse se dresser à l’horizontale contre mon fessier, le gland suintant de mouille pointa vers mon anus.
Décollant finalement ses lèvres, Hakim se mit à me fixer, le regard mi-apeuré, mi-excité par la situation, mais ne tenta pas vraiment d'échapper à cette envie qui lui martelait les sens. Il y vit une invitation à pousser son avantage, et utilisa sa force pour m’empaler littéralement sur son membre érigé. D'abord réticent en me faisant imposer le mouvement par Hakim, je me mis bientôt à participer pleinement, et mes premiers gémissements témoignèrent de l'effet que le glaive de mon basané produisait déjà dans mes entrailles.
Le cognement de son pubis contre mon anus, à chaque coup de boutoir qu’il me donnait, me remplit de bonheur, mon sexe de plus en plus tendu se pressait et glissait contre les monstrueux abdos d’Hakim. Mon méat délivrait un torrent de mouille qui enduisit ma hampe sur toute sa longueur tout en poissant délicieusement le ventre de l’arabe. Mais c’était sans compter sur la puissance de ce gland qui s’enfonçait en moi pour mieux en ressortir et qui y déposait à chaque poussée, une trainée de mouille qui reliait mon orifice affamé à ce membre suintant avec un long fil épais et transparent de liquide séminal.
J’étais tout près d’une défaite cuisante tant ces plaisirs nouveaux ressentis dans tout mon être me mettaient dans un état de pure jouissance. Le sang pulsait en de furieux battements à l’intérieur de ma tige et mon anus lubrifié par tant de liqueur frémissait voracement à chaque coup de bélier.
Je l’étreignis avec une passion dévorante et de nombreux gémissements lui enchantaient les oreilles. Incroyablement mon sexe se gonfla encore plus, d’autres gémissements se firent entendre. Le plaisir d’Hakim était entier, sentir mes parois très étroites lui masser sa tige sur toute sa longueur le laissait dans un délire sexuel indescriptible.
Pris dans un délire de sensations chaudes et humides qui lui engloutissait la queue, il accéléra le mouvement et son sexe prit possession de ce fourreau doux comme de la soie et si magnifiquement étroit. Jamais son envie de jouir n’avait été si forte et il commença à gémir puissamment.
Mes muqueuses enveloppant ce sexe indomptable s’électrifiaient et de petits frissons de plaisir remontèrent de mon bas-ventre. Mon corps soulevé par ses mains puissantes se relâcha pour mieux sentir cette pénétration. Sa queue se retira complètement de mon trou, un terrible manque me vrilla les entrailles. Le mouvement s’inversa et son gland perfora à nouveau mon anneau de chair pour s’enfoncer jusqu’à la garde. Cette fois mes gémissements se muèrent en cris de plaisir, mon sexe se redressa d’un coup. Participant activement au travail passionné d’Hakim, je resserrai légèrement mon anus pour mieux sentir le relief de cette dague titanesque qui me fouillait le ventre. Mon arabe sentait sa résistance s’affaiblir de plus en plus, les sensations autour de sa bite étaient trop divines. Un flot ininterrompu de jute annonciateur d’une jouissance imminente, inondait mon canal vorace. Nous rapprochâmes nos visages et nos lèvres se soudèrent à nouveau, pendant que nos cris de plaisir s’étouffaient à l’intérieur de nos bouches. Nos testicules gonflés se contractèrent pendant qu’un geyser bouillonnant remontait dangereusement de nos bites.
Au bout de quelques minutes, une légère inquiétude scintilla dans les yeux d’Hakim. Le baiser s’éternisait et lui affolait les sens. Les va-et-vient incessants qu’il m’imposait à grands coups de bassin devenaient à chaque fois plus effrénés. Nos bouches soudées assourdissaient les gémissements passionnés pendant que nos langues se livraient un duel chaud et humide. Mes quadriceps me brûlaient tant mes cuisses montaient et descendaient pour s’empaler le plus loin possible sur ce mât brûlant. Mon anus serrait et desserrait en rythme ce sexe qu’il tenait étroitement prisonnier, et qu’il astiquait habilement, en faisant varier les angles et la profondeur de la pénétration.
Hakim, dominé jusque dans le baiser que je lui imposais toujours, sa langue même semblait battre en retraite sous mes assauts buccaux vigoureux. Il fut trahi par ce sexe en qui il avait une confiance absolue, Il perdit le contrôle de son corps musculeux qui se tendit comme un arc. Les contractions montèrent de ses couilles, envahirent son bas ventre, et je sentis son jus remplir mon rectum. Sans pitié, je continuai mes mouvements de va-et-vient sur son gland devenu hypersensible pour traire l’arabe jusqu’à la dernière goutte. J’arrêtai la torture que je lui infligeais que lorsque son membre massif finit par ramollir pour s’échapper de mes entrailles. Relâchant le baiser que j’avais maintenu jusqu’au bout, je me relevai, contemplant mon Hakim déchu, la bite molle, et me branlai quelques secondes. Ce temps suffit pour que ma queue qui n’attendait que cet ordre, lâche des puissants jets de foutre que j’orientai vers son visage.
- Si tu veux on fait la revanche chez moi.
Sans répondre, Hakim laissa ses lèvres s’écarter en un magnifique sourire.
Fabien (lutteur(@)hotmail.ch)