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Vers 8 heures ce weekend, je me suis réveillé avec un sexe en demi-érection. Les fesses à l'air avec un tee-shirt, j’ai pris mon p'tit déj. J'ai ensuite enfilé mon survêtement, mes baskets et je suis parti faire mon jogging dans le bois tout proche de mon appart.


L'air frais matinal fouettait mon corps et s'engouffrait dans mon survêt. Après 15 minutes de course, je me suis arrêté pour assouvir un besoin pressant. Adossé à un arbre, j’ai vidé ma vessie gonflée. C’est alors qu’un p'tit mec d'une vingtaine d'années, a surgi et a été stoppé dans sa course par mon exhibition involontaire. Il était trapu et habillé d'un short moulant mettant parfaitement en valeur son corps trempé par la sueur du footing.


Ses yeux se sont fixés sur le jet de pisse sortant de ma bite. Il m’a glissé un sourire complice, tout en épongeant de sa main gauche son torse brun et velu. J’ai alors vu pointer sous son short noir un gonflement de plus en plus important. Gêné, le garçon a essayé de camoufler son érection mais celle-ci était si importante que s’était peine perdu.


Au moment où il allait repartir pour son entrainement, j'ai éclaté de rire et lui ai dit :


- "Je te fais de l'effet, on dirait ? Je m'appelle Stéphane, et toi ?"

- "Pascal....On fait un tour ?"


Et côte à côte, on s’est remis à courir en évitant le parcours habituel. Après 5 minutes de courses assidues, nos corps ont commencé à fatiguer. Nous nous sommes arrêtés en nous laissant tomber entre deux arbustes, sur un coin d'herbe. Un silence de mort nous enveloppait. Je fixais son corps que je désirais comme un fou.


Après avoir repris mon souffle je lui ai demandé s’il était fatigué. Pour seul réponse, Pascal s’est levé. Son short se trouvait à la hauteur de ma bouche, j’ai posé un long baiser humide sur sa bosse saillante. Je l’ai mordillé à travers le tissu.


Pascal gémissait, gagné par le désir. Ses jambes flagellaient. J'ai écarté l'élastique de son short et j’ai glissé celui-ci lentement le long de ses cuisses bronzées et velues, faisant jaillir comme un ressort une épaisse bite brune.


Pascal était soulagé.


J’ai commencé à masturber ce membre magnifique et poilu pendu à son bas-ventre. Pascal s'est agenouillé, pour m’enlacer et plonger sa langue chaude dans ma bouche, tandis que sa bite dressée frottait mon jogging que je me suis empressé de retirer.


Bite contre bite, ventre contre ventre, nous nous sommes frottés, les poils collés par la mouille dégoulinant de nos bites par l’excitation. Nous n'avons pas mis longtemps à exploser et recouvrir nos torses de semence épaisse et odorante.


Pascal m’embrassait le visage, la bouche, les tétons. Je me suis totalement abandonné à lui. Nos sexes apaisés baignaient dans leur foutre.


- "C'est fou!".

- "On ne peut pas expliquer", répondit Pascal en me donnant un baiser.


Quelques minutes plus tard, j’ai tourné Pascal sur le dos et, à califourchon, j'ai empoigné nos deux tiges molles et humides, décalottant nos glands par petits coups secs. Nos bites ont très vite commencé à reprendre du volume. J’ai frotté avec mon autre main nos glands unis et déjà durs. Nos bites ont rapidement doublé de volume.


Nous gémissions chaque fois que je pressais nos deux sexes tendus. Nous communions dans la même fusion, raides à en avoir mal de plaisir.


Je me suis penché vers sa teub pour la sucer et lécher goulument ses bonnes couilles velues. Pendant ce temps, Pascal me tripotait partout avec ses mains de mâle. Il palpait mon cul, ma pine et mes burnes. Puis, il s’est mis à me lécher le cul à coup de langue baveuse.


Ses doigts ont très vite remplacé sa langue. D’abord un qu'il a introduit dans mon trou pour en juger l'élasticité puis un deuxième. Je râlais de plaisir.


- "Viens Pascal, prend moi"


Aussitôt, Pascal s’est levé parce qu’il voulait me prendre debout. Je me suis retrouvé les mains contre le tronc d'un arbre, les cuisses écartées, le corps penché vers l'avant et lui, positionné derrière moi. Il m’a pénétré avec douceur en marquant des petits temps d'arrêt avant de s'enfoncer plus en avant. Il a fini par me la mettre toute entière. Je sentais sa bonne bite au fond de mes entrailles.


Pascal a démarré ses mouvements avec un rythme lent, profond et régulier. Ce p’tit mec me baisant pendant ma séance de footing me faisait un effet de malade. Je prenais grave mon pied, c'était trop bon.


Après avoir bien formé mon cul, il a accéléré ses mouvements de va-et-vient. Ses couilles venaient taper les miennes à chacun de ses coups de reins virils.


- "Je ne vais pas tarder" me dit-il

- "Je veux jouir en même temps que toi"


Il m’a pris la bite et a commencé à me branler tout en continuant à me limer. A ce rythme, je ne pouvais pas tenir longtemps. Je lui ai donné le signal et je l’ai senti immédiatement verser sa semence dans mon cul. Ses jets de sperme tapant sur ma prostate m’ont fait exploser à mon tour contre l'arbre dans un râle de soulagement. Mon foutre coulait le long du tronc.


Pascal a passé ses bras à mon cou et m’a embrassé.


Il nous a fallu quelques minutes pour reprendre nos esprits. Je lui ai demandé s’il était là tous les weekends ce qui était le cas. Je l'ai embrassé et je suis parti comme j'étais arrivé : en courant.


Nos footings du weekend ne sont plus dorénavant des courses esseulées et sans but.


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Publié dans : Ambiance sport - Communauté : Gay infos
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