Voilà mon histoire, j’ai voulu la partager avec vous car c’est un très bon souvenir.
J’avais aux alentours de 20 ans. J’étais à la fac. Je ne vous cache pas que cette faculté était magnifique. Il y avait une grande cour bordée de tous les côtés par des murets où on pouvait s’asseoir. Il y avait la cafeteria d’un côté, puis une petite montée ramenait vers la grande cour. Tout ceci était à ciel ouvert. Pendant la journée, il y avait dans cette cour beaucoup de gens : des grands, des petits, des moyens et des garçons comme des filles.
Période pleine d’excitation, j’étais tombé sur un site porno gay il y avait quelques temps et je n’arrivais plus à m’en détacher. La nuit, les scénarios s’inscrivaient sans cesse dans ma tête et je passais naturellement une grosse partie de mon temps à me branler. Durant ces nuits, un visage et un fantasme s’attardaient dans mon esprit : celui d’un surfeur blond et beau comme un dieu qui fréquentait la même université que moi.
Malheureusement, je ne le connaissais pas. Une de mes amies ou plutôt camarades (bien que le terme soit gamin) était également tombée sous son charme. Elle était belle, et avait tous ce qui fallait voir même plus pour que les mecs la matent. Pourtant, notre surfeur ne la regardait jamais même s’il avait entendu dire qu’elle avait le béguin pour lui. C’était vraiment étrange alors que tous les mecs se battaient pour sortir avec ; Rien ; Nada… et moi je ne comprenais rien de cette attitude aussi bizarre. C’est plutôt quelque chose qui m’a donné le sentiment qu’il était sans doute gay, renforçant par la même occasion mon fantasme. J’ai laissé entendre cette conclusion autour de moi, ce qui a sans aucun doute bouleverser la situation.
En effet, un petit con de 3ème année est allé lui rapporter la rumeur. Du coup, il s’est mis à me regarder de plus en plus avec un regard noir et méchant qui ne laissait rien présager de bon. Cependant, je n’avais pas vraiment peur. J’étais plutôt bien proportionné pour me défendre.
Un jour, alors que je venais de finir ma partie de basketball, j’ai vu que le beau blond faisait une partie de foot et qu’elle n’allait pas tarder à se terminer. Il y avait des chances pour que nous nous retrouvions ensemble dans les vestiaires. J’ai commencé à fantasmer sur lui et cette situation qui pouvait avec un peu de volonté, déraper très vite. Les vestiaires étaient, qui plus est, vides. Il y avait personne et le mobilier se résumait à un tapis bleu épais pour les sauts en hauteur qui était resté trainer là, quelques chaises, et des bancs en bois.
Seul, je me suis déshabillé et j’ai déposé mes affaires sur une des chaises avant d’aller vers les douches. J’étais tout nu et l’envie de me branler pouvait se voir facilement parce que j’avais une demi molle. Après mettre douché sous une eau brulante qui a renforcé mon érection, je suis ressorti des douches avec simplement une serviette blanche posée sur mes épaules cachant légèrement mon torse. Je me suis assis sur un banc près de mes affaires et j’ai commencé, en prenant tout mon temps, à me rhabiller. En fait, j’ai juste enfilé un slip et je suis, je ne sais pas pourquoi, allé m’assoir sur le grand tapis bleu les jambes ouvertes.
C’est justement à ce moment-là que le surfeur a fait son entrée. Je ne me suis pas rendu compte immédiatement et je suis resté à moitié assis, à moitié allongé sur le tapis de gym mais quand je me suis rendu compte qu’il était entré dans le vestiaire, je me suis redressé immédiatement.
Il était beau, avec ses cheveux blonds comme le soleil et son teint légèrement bronzé. Il avait déjà retiré son t-shirt de sport et était torse nu. Il était grand avec une belle musculature formée par des années de surf. De la sueur perlait encore de son front et glissait langoureusement vers ses abdos et jusqu’à son short bien serré. Quand il m’a vu dans le vestiaire, il s’est approché et m’a dit :
- C’est toi qui répands la rumeur comme quoi je suis gay ?
-euh... non enfin... peut-être…
Et là, il s’est approché de moi, il m’a chopé par le cou, j’ai cru qu’il allait me frapper mais en fait, il m’a sauvagement embrassé. Il m’a juste frappé violement les fesses en disant :
- Elles sont belles et hyper musclées ! Ton trou est aussi sympa ?
- Va voir !
Me prenant au mot, il s’est affalé sur moi et a commencé à faire des va-et-vient terriblement excitant. Son short frottait contre mon slip et il m’embrassait délicieusement. Mes pieds étaient très écartés et je ne ressentais que son corps sur moi, sa chaleur et rien d’autres. La sueur qui perlait sur son torse nu m’excitait et je l’embrassais partout pour ne rien rater de ce moment exquis. Du coup, il m’a dit de lui caresser son cul musclé, ce que j’ai fait immédiatement ! Puis, je l’ai déshabillé lentement. Son boxer vert émeraude était serré et mettait parfaitement en valeur son érection. Je lui ai tout de même retiré pour voir son morceau sur lequel j’avais tant fantasmé et pour profiter de son cul. Je suis passé au-dessus de lui et je me suis approché discrètement de son paquet que j’ai pris en bouche.
En découvrant mon désir, il m’a balancé « t’aimes ça petite pute ? Salopard je vais te faire jouir comme personne te la fais ».
Il me touchait les fesses dans mon slip. Il a commencé à m’introduire un doigt puis un autre. Il jouait avec mon trou déjà bien chaud. Il glissait deux ou trois doigts et les remuait. La sensation était fantastique. Il m’a ensuite retiré totalement mon slip et nous nous sommes mis en 69. Quel plaisir ! Il me suçait comme personne ne l’avait fait avant et moi je lui léchais son trou de balle de blond qui réagissait comme celui d’un bon passif en manque. Il criait et me suppliait de le laisser. La sensation était trop forte. En tout cas, elle le mettait dans tous ces états et il a très vite voulu changer de position.
Nous nous sommes donc mis ventre contre ventre. Nos deux bites frottées l’une contre l’autre de plus en plus vite. Il avait maintenant envie de glisser sa queue entre mes fesses. J’étais trop excité. Mon surfeur voulait mon trou. Il s’est mis à glisser son bâton entre mes jambes. La tension était palpable.
- T’aime ça garage à bite. Tu vas voir espèce de pute ce que je vais te faire. Petite balance avec un aussi beau cul, ma bite va bien en profiter.
En observant que j’étais open à son ton très directif, il m’a dit :
- Empale-toi dessus !!!
Il a positionné sa bite sur ma rondelle et je me suis laissé glisser. Il est entré sans problème et a commencé les va-et-vient tout en m’embrassant pendant que je criais de plaisir.
- T’adores les bites toi, petit coquin !
Je lui intimais l’ordre d’y aller plus fort et il m’a écouté le bougre. J’ai senti sa bite taper de plus en plus violement contre mon cul. Soudain, il s’est retiré et a entré d’un coup sa belle bite de 19 cm en moi. C’était juste énorme de sentir ce morceau me pénétrait d’un coup. Il a continué à me limer un bon moment et je criais chaque fois davantage un « plus fort, plus fort ! » comme une bonne salope.
- T’aime ça hein ?
- Ouais, ouais plus fort t’arrête pas vas-y.
Sans le prévenir, je me suis retiré au bout d’un moment, je l’ai retourné et je lui ai mis la misère comme il me l’avait fait avant. Il s’est mis à crier de surprise et de fureur mais très vite, ses exclamations se sont transformées en jouissance.
Intérieurement, je me disais « ouais, coulisse dans ce putain de cul de petit surfeur blond » tout en regardant ma bite rentrer et sortir de ce cul magnifique.
Je l’ai d’ailleurs entendu rapidement monté au niveau du son. Il s’apprêtait à jouir. Je me suis donc retiré pour m’approcher de la bite de mon fantasme qui m’a giclé tout son foutre dans la bouche. J’ai lâché pour ma part, de bonnes giclées de sperme sur le carrelage des vestiaires.
On est resté allongé un peu sur le matelas, histoire de reprendre notre souffle quand soudain, la porte s’est ouverte et notre prof est entré dans la pièce…
gayhardsurferboy