Ce récit fait suite à mon dépucelage par Marco à lire ici.
Marco a enfin libéré ma bouche et est venu s'allonger auprès de moi sur le lit. Tourné sur le côté, il a continué à me caresser en promenant sa main droite sur mon corps électrisé, tandis que sa main gauche triturait en douceur mes couilles maintenant vides et pendantes. J’ai bientôt senti ses doigts experts se déplacer vers mon cul qu'il a commencé à titiller à travers les poils qui l'entouraient. J’ai recommencé à bander doucement et à sentir à nouveau une excitation fantastique monter en moi. Je n'avais plus la notion des choses. Perdu dans ma jouissance continue, une réflexion m’est venue soudain à l'esprit. Ainsi, moi qui clamait haut et fort il y a peu de temps encore, que je foutrais mon poing dans la gueule de celui qui oserait me toucher le cul, j'aimais me laisser tripoter par un mec; je devais me rendre à l'évidence : j'aimais les mecs, j’étais devenu homo ! A ce niveau de mon analyse personnelle, je flottais complètement et je n'avais pas senti les doigts gantés de caoutchouc de Marco qui me caressaient depuis un moment déjà. C’est seulement lorsqu'il me les a introduisit profondément dans le cul que j’ai repris conscience de la situation. Il m’a fait mal, j’ai sursauté et me suis dégagé brutalement de ses bras en le repoussant.
- Non fais pas ça, je t'en prie ! Tu as bien vu que je suis vierge de ce côté-là et puis quand je vois la taille de ta bite, cela me fait peur !
Marco en effet, était monté comme un cheval, non pas en longueur, elle devait avoir 16 cm à peu près, mais en épaisseur ! J'avais vu très peu de mecs à poils et à fortiori de mecs en érection, mais en comparaison de mon 17 cm, le volume de la sienne devait au moins être de 50% supérieur à la mienne. D'ailleurs, au cours de nos ébats, quand il avait essayé de me la foutre dans la bouche, elle y était entrée difficilement et je ne pouvais plus respirer.
- OK, me dit-il, je te comprends. Dis-moi, je t'ai bien fait jouir depuis plus d'une heure non ? Maintenant mec, il faut me renvoyer l'ascenseur, tu ne crois pas ?
- Oui ! Oui ! Mais pas comme ça, et puis tu as bien vu je n'ai aucune expérience des hommes ! Guide-moi. Dis-moi ce que je dois faire pour te faire jouir et je le ferai.
Ma bite affichait à nouveau une énorme érection.
- Tu bandes, viens par ici ma petite salope ! Tu veux me faire jouir ! Voyons si tu vas tenir la route.
Je me suis rallongé auprès de lui. Il a recommencé à me caresser le cul après m’avoir balancé deux giclées froides de lubrifiant sorti de je ne sais où. Puis, il me proposa 3 godes de 12, 15 et 20 cm.
- Tu choisis lequel ?
- Tu vas m'enculer avec cela ?
- Oui. Choisis l’un d’eux puisque tu ne veux pas de ma belle grosse bite dans ton petit cul d'hétéro, bien vite reconverti en magnifique petit cul d'homo; il te faut bien connaître l'indispensable séance de dépucelage, non ? Mais n’ait aucune crainte, je vais y aller doucement et je te promets, pour ta première enfilade, une jouissance que tu n'as jamais connue avec une nana !
Là-dessus, il s’est saisi de ma bouche, toute pleine encore du goût de mon foutre qu'il m'avait obligé à avaler, et m’a roulé une pelle sublime tout en commençant à travailler mon cul en douceur et en me triturant les couilles qu'il serrait violemment. Je bandais à nouveau en mouillant abondamment les poils de mon ventre dans lesquels Marco récupérait ensuite et goulûment, le divin nectar, qu'il me retransmettait aussitôt dans des baisers brûlants. Sentant un puissant orgasme monter en moi, je l’implorais de me branler mais Il n'en faisait rien. Quand j'ai essayé de le faire tout seul, il me l'a interdit pour, me dit-il, que je connaisse le plaisir d'un corps au bord de l'extase auquel on refuse la jouissance. Et il a recommencé à me caresser partout et inlassablement, en enfonçant doucement mais méthodiquement dans mon cul maintenant dilaté, le gode de 12 cm par lequel j'avais choisi de me laisser défoncer. J’ai connu à ce moment-là une jouissance que je n'avais jamais soupçonnée. Soudain en pensant à mes fils qui pourraient peut-être, se livrer à ce genre de jeux interdits, j'ai eu honte de m'être laissé aller à ces débordements et j’ai senti les larmes me monter aux yeux tout en continuant néanmoins à jouir intensément, c'est alors que Marco me dit :
- ça y est, comment te sens-tu ? C'est bon non ?
- De quoi parles-tu ?
- tu vois ce n'était pas si terrible, tu viens de te faire enculer sans t'en rendre compte.
Il a alors commences des va-et-vient de plus en plus rapides dans mon cul en feu. N'y tenant plus, j’ai saisi ma bite que j’ai branlé violemment pendant que, de son côté mon partenaire achevait de prendre mon pucelage avec ardeur. J’hurlais de plaisir quand je lui ai envoyé une immense giclé de sperme dans le visage. Il s'est empressé de s'essuyer avec sa main pour m'en barbouiller la gueule qu'il s’est ensuite mis à lécher avec application. Je n'avais plus de réactions, je nageais dans un bonheur trouble et me laissais aller à toutes ses exigences. J’étais terriblement heureux physiquement tandis que moralement je souffrais le martyre !
Après m'avoir soigneusement toiletté, Marco s'est allongé sur moi et m’a fait bouffer le foutre dont je l’avais inondé et qu’il n’avait pas encore étalé sur moi. Le goût toujours acre de mon sperme m’a dégoûté bien un peu, mais je lui devais bien ce plaisir et je me suis donc laissé réintroduire dans la bouche ce que ma bite venait d'éjecter, dans de long et sensuel baiser auquel j’ai peu à peu pris goût.
Soudain, il s’est légèrement soulevé au-dessus de moi et en progressant lentement il s'est approché de ma bouche dans laquelle il a introduit de force une de ses grosses couilles tandis que de la main gauche il se branlait en saccades de plus en plus rapides. J’ai manqué d'étouffer ce qui ne m'a pas empêché de lui sucer la couille qu'il secouait doucement dans ma bouche en se branlant. J'aimais l'odeur musquée de son sexe énorme qu'il agitait furieusement. Combien de temps à duré cette masturbation ? Je ne sais pas mais j’ai joui. J'ai perdu toute pudeur et je me suis laissé aller aux violents coups que mon partenaire procurait à sa bite qui mouillait complètement et perlait sur mon visage.
Soudain en un tour de main, Marco a sorti sa couille de ma bouche et a introduit virilement son énorme dard qui m’a balancé à travers la gorge une giclée de sperme chaud que je n’ai pas eu d’autre choix que d’avaler pour ne pas m’étouffer. J’étais dégoûté par tout ce foutre qui dégoulinait de mes lèvres en feu mais, tenu en tenaille par les cuisses puissantes de mon dépuceleur, je ne pouvais pas bouger et j’ai donc attendu qu'il se retire après avoir vidé à fond ses grosses burnes qu'il caressait avec complaisance, tout en m'introduisant sa langue dans la bouche pour récupérer son foutre pour l'avaler.
Ce travail terminé, il s'est allongé auprès de moi, m’a saisi la bite gluante et l’a enserré dans sa main en la caressant doucement comme pour la branler et me dit:
- Alors petite salope t'as joui hein ? C'est bon de se faire un mec, t'aimes ça avoue ! Et en plus, je suis sûr que ce n’est pas la première fois que tu jouis avec un mec ! Je me trompe
Devant mon silence embarrassé face à cette supposition lancée au hasard, il a compris qu'en effet j'avais déjà joui avec d’autres mecs…
- Non ! Un mec t'a déjà fait bander ? Raconte-moi ça sale petite pute. Je n'en crois pas mes oreilles, tu prétendais être un hétéro pur et dur et tu te caresses en pensant à des mecs en les matant peut-être ? Tu vas sur des sites Gay ! Aller accouche.
Pour toute réponse, j’ai maintenu un silence embarrassé qui a aiguisé sa curiosité. Il a recommencé à promener doucement ses mains dans mes poils pubiens encore mouillés de son sperme. N’en pouvant plus, j'ai osé me livrer.
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Jean René