Bonjour à tous, je me présente Sam, 28 ans. Je vais vous raconter ma séance d'après gym.
J'avais à ce moment-là 18 ans, je mesurais 1m75 pour 68kg. Je suis brun avec des yeux bleus et j’ai la particularité d’être abondamment poilu. Je possède beaucoup de poils noirs que j’entretiens mais j’aime en avoir. A l'époque, ils étaient répartis sur mon torse et descendaient en une ligne fine et droite vers mon pubis, qui lui était également bien fourni. Mes fesses étaient recouvertes d'un duvet brun tout comme ma raie.
À cette époque, je complexais un peu sur ma pilosité abondante. Pour éviter les commentaires de mes camarades, j'avais décidé de prendre ma douche seul après les séances de sport au lycée car c’était le dernier cours de la journée. Je m'arrangeais toujours pour être le dernier aux vestiaires. Lorsque mes derniers potes sortaient des douches collectives, je commençais à me déshabiller puis je fonçais sous les douches. Enfin j'étais seul, je pouvais me laver et bien sûr j'en profitais pour me caresser.
Seulement voilà, un mercredi, mon prof de sport, Luc, a décidé de venir prendre sa douche dans nos vestiaires. Luc était un mec de 30 ans, 1m90, 90kg de muscles, style rugbyman, de larges épaules. Il était brun, assez poilu aussi, avec des yeux bruns et la cerise sur le gâteau: il possédait un sourire à faire tomber. J'étais donc tranquillement en train de me branler sous la douche lorsque j’ai été interrompu par Luc qui venait se laver. Surpris par le bruit de son entrée, j’ai tourné la tête et je suis tombé sur mon prof, face à moi, entièrement nu.
— Je ne te dérange pas? M’a-t-il demandé. Les douches de mon vestiaire sont en travaux, je pensais qu’il n’y avait plus personne ici.
— Heu... Non, non, pas de problème!
Heureusement, je tournais le dos à la porte d’entrée lorsqu’il est rentré. Ça m’a laissé le temps de débander légèrement. La situation m’a tout de même décontenancé, ce qui m’a fait rougir. Luc s’est s'installé juste à côté de moi, sans voir spécialement mon état. Je lui tournais un peu le dos pour ne pas qu'il puisse voir ma queue en semi-érection. J’avais lâché mon sexe pour me laver rapidement et sortir car la situation risquait de me refaire bander et me mettre dans une position délicate vis-à-vis de mon prof.
Luc me parlait de nos deux heures de sport passées et des prochaines activités. Le sujet a rapidement dévié sur les bienfaits du sport pour le corps. On s’est mis à parler des physiques de certains qui étaient maigrichons, d’autres musclés... Puis Luc m'a interpellé sur mes poils :
— Tu es pas mal poilu pour un mec de ton âge. Tu dois faire des jaloux chez tes camarades qui rêveraient d’être aussi viril que toi, non?
— Heu… sans doute! (mon prof me balançait ça alors que je bloquais là-dessus et que je n'avais jamais touché ni une fille ni un homme…) Ce n’est pas facile à vivre tous les jours, je complexe beaucoup.
— Tu as tort, je trouve que ça te va bien. Moi, je sais que je préfère les mecs poilus.
J’ai rougi après avoir entendu cette réflexion et je n’ai rien répondu car je ne savais pas quoi dire.
— Tu sais Sam, j'ai remarqué que tu te douchais toujours seul alors je voulais te dire qu’il ne fallait pas douter de toi et pour preuve, tu me plais beaucoup comme tu es…
Luc a alors posé une main sur mon épaule pour me faire pivoter face à lui. Je me suis retrouvé devant sa stature imposante. Luc était vraiment beau avec son corps musclé et poilu. Ses poils recouvraient ses pectoraux et son ventre. Son pubis était épais et large. Il était en érection, et possédait un sexe bien droit d'une vingtaine de centimètres, assez large, non circoncis. Son gland avait une belle couleur pourpre et était très appétissant. Ses couilles de la grosseur de deux clémentines pendaient sous sa tige. Je ne savais pas comment réagir face à cet homme en rut.
Luc a commencé à me caresser le visage. Ses larges mains étaient douces. Il s’est collé contre moi. Nos poils se mélangeaient. Il a approché son visage du mien pour m'embrasser. J’ai répondu à son baiser comme j’ai pu car c'était mon premier baiser. Il m'a embrassé longuement à plusieurs reprises. Il s'est aperçu de mon inexpérience, m’a souri et m’a dit:
— On va commencer doucement si tu veux continuer.
— Oui mais continue!
Tout en m'embrassant, mon prof de sport a descendu ses larges mains pour découvrir mon corps; il a exploré chaque partie de mon être. Je frissonnais de partout. C'était merveilleux! Je me laissais faire tout en imitant ses gestes. Je posais ainsi mes mains pour sentir sous mes paumes son corps musclé et ses poils.
Luc s'est agenouillé devant moi et a pris mes 18cm en bouche. Il s'est arrêté un moment sur mon gland. J'avais du mal à rester debout tellement le plaisir m'envahissait. Ses mains me malaxaient les fesses et de temps en temps sa main droite venait me prendre les couilles. Luc voulait faire durer le plaisir. Il m’a retourné, m’a écarté les fesses et est venu fourrer sa langue pointue et dure dans ma raie poilue pour me lécher. Je me branlais en sentant sa langue rentrer en moi. Je n'avais qu'une envie, c'était de jouir mais Luc ne voulait pas aller trop vite. Il a arrêté son anulingus, s’est relevé et m’a demanda de lui rendre la pareille.
Je me suis agenouillé devant lui et surtout devant son pieu qui pointait juste au niveau de mes yeux. Luc m’a dit de le prendre en main et de le sucer. Je me suis exécuté. Il était très excité. Son gland était déjà humide de précum au goût délicieux. J’ai pris son sexe au plus profond de moi. Hum, c’était bon de sentir ce morceau de chair en bouche. J’ai commencé mon va-et-vient en essayant de m'appliquer. Luc gémissait à chaque aller et retour mais pour éviter de jouir en moi, il s’est retiré et m’a présenter son cul pour une bonne séance de léchouilles.
Ses fesses étaient toutes poilues. J’ai glissé ma langue dans sa raie pour trouver sa rosette perdue dans les poils. Luc avait des soubresauts de plaisir. Rapidement, il s’est relevé et m’a retourné gentiment mais fermement tout en m’embrassant. Une fois dos à lui et penché en avant contre le mur des douches, il a posé son gland sur mon anus.
— Tu veux que je te prenne? M’a-t-il demandé.
— Tu sais Luc, c'est ma première fois...
— Ne t'en fais pas, je serai très doux et si tu as mal, j'arrête.
Je me suis donc laissé faire. Il m'a écarté les fesses, a craché sur mon trou et de son gland turgescent me l’a caressé tout en commençant à titiller l’entrée. Il a positionné sa bite et a poussé lentement pour me pénétrer. Je me suis ouvert doucement et Luc s’est enfoncé plus profondément en moi. J’avais les jambes écartées et je m’appuyais contre le mur de la douche. Je sentais l’énorme chibre de mon prof dans mon cul et s’était magnifique. Il a continué à rentrer puis d'un seul coup, s’enfoncer totalement dans mon trou. Il avait passé la barrière. Il était entièrement en moi et j’étais bien. Il est resté ainsi sans bouger pour que mes muscles s'habituent et en même temps, il m'embrassait le cou et les epaules.
Puis délicatement, il a commencé ses va-et-vient. Il sortait en entier pour s'enfoncer en moi d'un seul coup. Je prenais vraiment mon pied, j'en avais tellement rêvé. Luc alternait entre des va-et-vient lents et rapides. Il me tenait fermement les hanches. On sentait qu’il avait de l’expérience. Je me branlais en même temps qu’il me baisait le cul et au bout d’un quart d'heure de ce traitement, je ne pouvais plus me retenir.
— Luc, je vais jouir!
— Oui, vas-y décharge mon mecton!
Luc a trouvé la position qui m’a directement procuré une jouissance inconnue jusqu’à présent pour moi. Il m’avait parfaitement travaillé la prostate. J’ai joui un sperme épais et abondant sur le sol. Luc a accéléré son mouvement et a éjaculé au son des claquements de mon cul d'abord en moi puis il s’est retiré il s’est fini sur mon dos par 5-6 jets épais et puissant, j'en avais jusque dans le cou. Très chaud, il est venu lécher son sperme sur mon dos et m'a ensuite embrassé avec son sperme en bouche.
Mon prof m’a pris dans ses bras chauds et tendres quelques instants puis on s’est relevé et on a fini notre douche. On s’est lavé mutuellement en mélangeant baisers et caresses. Luc m’a proposé de venir chez lui ce que je me suis empressé d’accepter.
Sam