Il était 17 heures lorsque je suis rentré à la maison. Mon père devait être en train de faire de la musculation au sous-sol. Nous vivions seuls tous les deux depuis que ma mère était partie mais tout se passait bien. Cependant, ce jour-là, j’étais un peu inquiet car j’étais tombé amoureux d’un mec de ma classe et j’avais besoin de parler à quelqu’un de cet événement. J’avais décidé de le dire à mon père. Je ne savais pas qu’elle allait être sa réaction, mais je devais le faire. Comme à mon habitude lorsque je rentrais de cours, j’ai crié à travers la maison :
— Papa, je suis rentré.
— Salut, fiston, rejoins-moi je suis au sous-sol.
— Je me prépare et j’arrive.
Dans ma chambre, j’ai quitté mon pantalon, ma chemise et j’ai passé rapidement un short sur mon slip. Devant le miroir je me suis regardé, j’étais plutôt bien foutu pour mes 20 ans, très sportif, mon corps s’était rapidement étoffé ces dernières années, surtout grâce aux entrainements que je faisais avec mon cousin. C’est seulement avec mon short et torse nu que je suis descendu rejoindre mon père.
Allongé sur le sol, torse nu et en slip, celui-ci terminait une série d’abdominaux, ses muscles se dessinaient sous sa peau, de la sueur dégoulinait de son front. Tout son corps brillait de transpiration, les poils de sa poitrine étaient humides et collés à son torse massif et son slip humide, mouillé par l’effort, moulait son sexe épais. À la fin de sa série, il s’est assis en me suivant des yeux.
J’ai fait quelques étirements et j’ai commencé une série de pompes à côté de lui. Pendant que mes pectoraux et mes triceps se contractaient sous l’effort, je pensais à ce que j’allais lui dire. Il fallait que je le fasse le plus vite possible, sinon j’allais me dégonfler une fois de plus. En me redressant pour me mettre sur mes genoux après ma série, j’ai regardé mon père droit dans les yeux.
— Papa ?
— Oui Fabien ?
— Faut que je te parle...
— Qu’y a-t-il, fiston ?
Et là d’un trait je me suis lancé :
— Je suis gay.
Dans un premier temps, il m’a regardé sans répondre, n’osant plus dire un mot, je scrutais la moindre émotion sur ses traits. Il avait une légère crispation au niveau de sa bouche. Son regard ne me quittait pas. Assis en tailleur, les cuisses écartées, Il s’est redressé légèrement en prenant appui sur ses mains. Dans ses yeux, je ne voyais plus que de l’incompréhension puis de la colère.
— Alors comme ça mon fils est un pédé !!!
Sa réplique m’a coupé le souffle. La phrase s’est insinué dans mon cerveau et a provoqué une brusque montée d’adrénaline. Comment osait-il me parler de cette manière, il n’avait donc aucun respect ? J’ai senti mon corps bouillonner de fureur, mon cœur battait la chamade en expulsant le sang à travers mes artères et mes veines pour venir gonfler mes muscles. En répondant à une pulsion dévorante, je me suis jeté sur lui avec un grand cri de rage et une violence extrême.
Il m’a reçu comme un boulet de canon, mon corps a percuté le sien et ses bras ont plié sous le choc. Tout l’air de ses poumons s’est vidé d’un coup. J’ai également accusé le coup et la violence du contact entre nos deux torses a résonné dans ma cage thoracique. Je voulais l’humilier car les mots qu’il m’avait dits, m’avaient profondément choqué. Et qu’est-ce qui était le plus humiliant pour mon père ? Perdre la face et s’avouer vaincu pendant un combat de lutte. Je me suis donc retrouvé couché sur lui, mes mains se sont emparées de ses poignets pour les amener au-dessus de sa tête pendant que mes cuisses se sont écartées pour ne pas lui laisser le temps de m’enserrer entre les siennes. Mon visage surplombait le sien, il me regardait avec un air mauvais.
— Tu crois que tu vas t’en tirer comme ça. Je vais te montrer ce que c’est qu’un homme, un vrai…
Au même instant j’ai ouvert la bouche pour laisser tomber un filet de salive qui a atterri sur ses lèvres encore entrouvertes. Il s’est mis à rugir, je sentais son corps se tendre sous le mien. Pendant que tous ses muscles se gonflaient, une force surhumaine grandissait en moi. Mes abdos contractés s’écrasaient contre les siens pendant que mon bassin le clouait au sol. Prenant appui sur ses pieds, il ruait comme un taureau pris au piège. Aussitôt, je poussais mon bassin contre le sien en me faisant le plus lourd possible. Son visage était rouge et ruisselant sous l’effort, ses pectoraux poilus, luisants et gonflés à bloc se frottaient contre les miens. Une douce chaleur a alors commencé à envahir mon corps, la domination que j’avais sur mon père à cet instant m’excitait au plus haut point. À l’intérieur de mon short, mon sexe commençait à se tendre provoqué par cette euphorie unique que procurent les combats de lutte. Je n’ai pas pu m’empêcher de frotter ma bosse grossissante contre le paquet bien épais de mon père. J’ai senti un léger frémissement me répondre à travers le tissu de son slip, ma queue durcie par cette excitation s’écrasait contre le sexe épais de mon père qui me répondait en grossissant de plus en plus.
— Alors papa, t’aimes pas les pédés ???
Ce jeu commençait à me plaire, et cette situation où je dominais mon père, m’excitait comme un dingue. Le fait de le sentir se débattre sous le poids de mon corps provoquait en moi un sentiment étrange, comme si j’en avais rêvé depuis toujours. C’est vrai que depuis très longtemps, j’aimais regarder son corps fort et viril se couvrir de sueur lors des efforts répétés qu’il faisait pendant ses longues séances de musculation. Mon regard se posait immanquablement sur son slip afin de dévorer des yeux le volume de son sexe qui se dessinait sous le tissu. J’aimais le contact chaud de ses mains lorsqu’il corrigeait ma position quand j’effectuais un mouvement qu’il venait de m’apprendre. Quand j’étais plus jeune, il me prenait dans ses bras puissants pour m’emmener dans ma chambre, et arrivé devant mon lit, il me lançait sur le matelas. Aussitôt il se jetait sur moi, et me chatouillait de longues minutes pendant lesquelles je frétillais sous lui en hurlant de rire. Mon bonheur était complet. Maintenant, quelque chose était en train de se passer au plus profond de moi. J’étais allé trop loin pour arrêter ce que j’étais en train de faire. Il fallait finir ce qui était commencé.
Les ruades de mon père devenaient de plus en plus fortes, ses yeux, dans son visage impénétrable me regardaient fixement. Je n’ai pas pu résister à l’envie puissante de poser mes lèvres sur sa bouche. Son corps a remué de plus belle, ma langue a forcé sa bouche qui s’est entrouvert légèrement. Son souffle a pénétré dans ma gorge et j’ai senti sa salive se mêler à la mienne. Nos deux langues se touchaient et rapidement se sont livrés un duel chaud et humide. Mon slip s’est mouillé instantanément lorsque quelques gouttes d’excitation ont commencé à perler de mon sexe raide. Profitant de cet instant, mon père a concentré toute sa force dans ses bras et d’un coup a réussi à se libérer les poignets de mes mains glissantes. Ses bras se sont refermés violemment autour de mon corps et il a commencé à serrer. J’étais pris dans un étau, mes pectoraux se sont gonflés pour résister à cette étreinte. Mes mains s’appuyaient sur ses épaules et j’essayais de me soulever en poussant fortement sur mes bras. J’ai senti les mains de mon père trembler dans mon dos et au bout de quelques secondes de combat féroce, la pression s’est relâchée d’un coup. Il avait cédé. J’ai roulé sur le côté en me redressant pendant que lui faisait de même et nous nous sommées retrouvés à genoux l’un en face de l’autre.
— Alors, petit pédé, tu croyais m’avoir aussi facilement. Regarde-toi, ta queue déborde de ton short. Je te fais tant d’effet que ça ?
— Et toi alors, regarde la forme de ton slip, il est prêt à craquer !
Il a baissé les yeux vers son sexe et, furieux de voir son corps le trahir, s’est rué sur moi. Nous nous sommes attrapés mutuellement à bras le corps comme deux ours se livrant bataille. Nos corps humides se collaient l’un à l’autre. Mes mains se rejoignaient dans le bas de son dos afin de l’attirer contre moi pour le renverser. Mon père appuyait sa tête contre mon épaules et j’entendais son souffle de plus en plus fort, Nous nous agrippions l’un à l’autre.
Soudain, une de ses mains a agrippé le bord de mon short pour tirer dessus de toutes ses forces. N’étant plus très solide, le short s’est déchiré rapidement en libérant mon slip gonflé à bloc. Dès lors, nous n’étions plus qu’avec nos slips déformés par nos érections. Cette nouvelle configuration m’a fait frissonner de plaisir mais j’en voulais plus, et apparemment lui aussi. Cédant à une impulsion irrépressible, chacun a glissé une main sous le slip de l’autre et le dernier rempart qui empêchait nos queues d’entrer en contact a cédé. La chaleur et la dureté de sa tige contre la mienne m’a arraché un gémissement de bonheur. La sensation était tellement forte, appuyée par l’adrénaline du combat, qu’il me fallait toute ma concentration pour ne pas jouir sur le champ. Du côté de mon père, sa tige vibrait contre la mienne, mais il faisait tout son possible pour assourdir les gémissements qui remontaient du plus profond de ses entrailles. J’ai continué à pousser mon torse contre le sien de manière à le faire tomber en arrière, mais cramponné à moi, il a résisté avec puissance. La musculation lui avait forgé un corps d’athlète et avec 20 ans de moins, j’avais toute les peines du monde à le faire plier. Ma jeunesse m’apportait tout de même de la vigueur et de la résistance. Au bout de 5 minutes d’un combat acharné, il a glissé et est tombé sur le dos, m’entraînant avec lui.
Aussitôt au sol, il a enroulé ses cuisses autour de mon bassin et ses bras autour de mon torse. Glissant mes mains sous lui, je l’ai ceinturé étroitement à mon tour. Il a posé ses pieds à plat sur le sol pour pousser ses cuisses volumineuses et décoller son bassin du sol afin de me déstabiliser. Il nous a soulevé tous les deux. Le poids de mon corps contraignait tout de même son effort. Son sexe dur comme du bois s’écrasait contre le mien. Cette position était presque douloureuse mais mon excitation était à son comble. Je me suis décollé légèrement pour me laisser retomber violemment sur lui. Ses cuisses ont lâché aussitôt et nous sommes retombés au sol.
Il a essayé d’imprimer un mouvement de balancier à nos deux corps enlacés afin de nous faire basculer sur le côté. J’ai bloqué ce mouvement en me plaquant le plus lourdement possible à son corps. Son visage est devenu rouge, mais il ne voulait rien lâcher. Dans un sursaut de désespoir, il a donné un grand coup de rein qui nous a fait basculer sur le côté et il s’est enfin retrouvé sur moi. Mes cuisses ont aussitôt entouré sa taille et doucement, par la force de mes abdominaux, j’ai soulevé mon bassin contre le sien alors qu’il essayait de me maintenir au sol.
— Tu vois bien Fabien, tu n’auras jamais le dessus sur moi !
Sans lui répondre, j’ai resserré mon étreinte et son torse s’est retrouvé fortement comprimé contre le mien. Sa respiration s’est faite plus difficile. En prenant appui sur ses mains, il a essayé de se libérer, mais à bout de souffle, il s’est laissé tomber contre moi.
— Alors, on fatigue papa ?
Son visage était tout près du mien. Il ruisselait sur moi. Sa poitrine était trempée de sueur et nos tétons glissaient l’un sur l’autre ce qui a eu pour conséquence de faire durcir davantage ma bite. Celle de mon père a répondu aussitôt.
— Tu aimes ça, avoue !
— Jamais, je ne suis pas pédé comme toi...
— Alors pourquoi tu bandes ?
Sans répondre, il s’est mis à gesticuler comme un forcené entre mes bras. Mais je n’ai pas relâché la pression. C’était si jouissif de le tenir à ma merci, sentir son corps puissant s’agiter sur moi, pendant que son sexe continuait à s’affoler contre le mien. Dans ses yeux, je décelais une détresse infinie car il n’arrivait à me soumettre par la force, mais il y avait quelque chose d’autre, c’était certain. J’ai commencé à bouger doucement mon bassin en le soulevant légèrement afin que le contact entre nos deux sexes soit encore plus fort. J’ondulais sous lui de manière à masser son bas-ventre.
— Fabien, ne fais pas ça, je t’en prie !
Dans un dernier effort, il a réussi à se dégager en roulant sur lui-même pour éviter ce contact si charnel. Nos deux corps se sont séparés. Mon père a juste eu le temps de se mettre à quatre pattes, position de défense en lutte, et j’étais déjà en train de me jeter sur lui, l’enserrant entre mes bras. Sous le choc, nous avons basculé sur le côté, nous avons roulé ensemble et j’ai fini par me retrouver couché sous lui. Mes bras se sont glissés sous ses aisselles pour se rejoindre derrière sa nuque. J’ai écarté mes cuisses pour les enrouler autour de sa taille. Ma queue humide et dure s’est retrouvée sous ses fesses. Il remuait sur moi et frottait ma verge ce qui m’a excité davantage. Mon gland a perlé quelques gouttes de plaisir. Profitant de mon excitation, il a réussi à me faire lâcher prise et grâce à nos deux corps trempés de sueur, a glissé entre mes bras pour se tourner face à moi. D’un coup de bassin, je nous ai fait rouler au sol, le privant ainsi d’une position dominante.
Mon père n’a même pas remué, je me suis retrouvé sur lui, le bloquant une nouvelle fois avec mes bras et mes cuisses. Ses yeux étaient suppliants. Ma bouche s’est posé tendrement sur ses lèvres chaudes et humides. Dans ma poitrine, mon cœur battait la chamade. Il a répondu à mes baisers en s’ouvrant à ma langue qui s’est engouffré dans cette cavité humide et chaude. Nos deux langues échangeaient langoureusement notre salive. Son sexe de plus en plus dur se frottait contre le mien. Un profond râle de plaisir est remonté le long de sa gorge pendant qu’il aspirait ma langue au plus profond de sa bouche. J’ai relâché la pression de mes bras et jambes et j’ai commencé à parcourir ses flancs. Son corps était beau, viril et tellement excitant. Je me suis dégagé délicatement de lui pour l’admirer. Il était là, sous moi, me regardant avec ses yeux humides, sa main s’est glissée derrière ma tête pour m’attirer à lui et m’embrasser sauvagement. Il me dévorait littéralement, sa langue envahissait ma bouche où nous échangions nos salives. Me tirant doucement par les cheveux, il plongea ses yeux dans les miens.
— Oh Fabien, je suis en manque et ce combat m’a terriblement excité mais ce n’est pas bien.
— Tais-toi, j’en ai trop envie !
Il m’a serré dans ses bras et mes derniers mots se sont perdus dans sa bouche. D’un coup, il nous a retourné, je me suis laissé faire. Une fois sur moi, il m’a plaqué avec force au sol. Son corps était lourd sur le mien, tous ses muscles étaient en action, son bassin donnait de grand coup et je sentais sa barre d’acier se cogner à la mienne. Toute sa peau était en contact avec la mienne, et nos corps ondulaient avec passion. D’une main décidée et virile, il m’a écarté les cuisses afin de me caresser l’entrejambe, un de ses doigts s’est posé sur mon anus et a commencé à me masser le trou par des mouvements circulaires. En appuyant un peu plus, une première phalange a pénétré mon trou pendant que des spasmes de bonheur traversaient tout mon corps. Son doigt allait et venait de plus en plus vite, de plus en plus profondément, je râlais de plaisir.
— Oh, papa, prends moi…
— Tu vas voir fiston, comme ton père va bien s’occuper de toi...
Après un dernier passage, son doigt s’est retiré. Il s’est redressé et je l’ai entendu cracher dans sa main, un instant plus tard, j’ai senti la dureté de son sexe se cogner contre mon trou. J’ai écarté les jambes un peu plus pour lui laisser de la place.
- Viens vite, j’en peux plus !
Son gland lubrifié par sa salive a forcé l’ouverture de mon cul. Lentement, il a fait coulisser sa hampe pour me faire découvrir toute la longueur et la puissance de sa queue énorme, je l’ai senti m’envahir totalement. Il est resté ainsi un long moment. Mes mains se sont agrippées à ses fesses et je l’ai attiré violemment contre moi pour sentir toute la longueur de sa bite m’empaler. Il s’est retiré tout doucement jusqu’à ce que son gland sorte et avant que mon anus ne se referme, il s’est enfoncé à nouveau au plus profond de moi. Aux coins de ses yeux, des larmes de bonheur apparaissaient, il souriait et était heureux, tout comme moi.
Il a été pris d’une frénésie et a commencé à me pénétrer de plus en plus fort, de plus en plus vite. À chaque allée et venue, je m’accrochais à ses épaules et me laissais envahir par le plaisir en m’offrant totalement à lui, sans aucun barrage, sans aucune résistance. Nos yeux ne se quittaient plus. Sa bouche s’est ruée sur la mienne pour m’embrasser goulument. Je me faisais littéralement empaler sous la violence de ses coups. Je sentais ses couilles claquer contre mes fesses à chaque pénétration, ce qui m’arrachait des cris de plaisir. Une douce chaleur irradiait mon ventre lorsque son membre caressait mes entrailles de toute sa longueur. De profonds gémissements sortaient également de sa bouche. Il se cambrait pour que sa queue s’enfonce encore plus profondément. Chaque fois que son membre quittait la chaleur de mon ventre, un manque insoutenable me submergeait. Mes mains cramponnées à ses fesses le ramenaient aussitôt au plus profond de moi. Mon sphincter dilaté par son volume, se resserrait autour de sa hampe pour en sentir tous les reliefs.
Son souffle s’est accéléré tandis que je sentais la chaleur du sperme remonter le long de ma queue. Mon gland a craché de longs jets de semence pendant que des cris de jouissance ininterrompus sortaient de ma gorge. Un dernier coup de rein de mon père m’a fait hoqueter de bonheur, et dans un dernier râle mon père m’a inondé le trou d’un bouillonnement de sperme chaud.