Aujourd’hui, la trentaine, je veux partager avec vous un plan entre potes hétéros qui m’est arrivé plus jeune, lorsque j’étais étudiant en fac. J’ai changé les prénoms, mais l’histoire est authentique, c’est ce qui lui donne ce côté excitant.
En fac, j’avais un excellent pote, Hugo, avec qui j’étais très complice. On se connaissait depuis cinq ans déjà. On partageait non seulement pas mal d’heures de cours ensemble, mais en plus, du sport, des sorties et des vacances. Avec le temps et la confiance aidant, on a eu de moins en moins de pudeur l’un envers l’autre, on se confiait nos histoires de cœur, de cul…
Ses parents avaient une grande baraque, avec piscine, du terrain. Bref, on y a fait pas mal de fêtes, j’y passais même des week-ends entiers. Notre complicité se renforçait au fur et à mesure que notre pudeur s’effaçait. Comme les parents n’étaient pas souvent là, on se lâchait toujours un peu plus.
Cela a commencé en visionnant les films de Canal+. Un soir, je matais la TV seul, pendant qu’il était occupé au premier étage. De mon côté, je zappai et tombai sur le porno du samedi soir. Seul devant la télé, je ne me posai pas trop de questions. Je me calai et me branlai peinard, excité par la situation et le film. De mémoire, l’action se passait au temps « barbares », plan fourrures, guerriers, feux de bois, etc.
Je ne vis pas mon pote redescendre alors que je regardais le film. Il se pointa tout à coup, avec une serviette autour de la taille. J’eus juste le temps de rajuster ma tenue, cachant ma queue. Il me dit un truc du style :
— Tu matais le film aussi ? On aurait dû le mater ensemble.
De prime abord, je fus surpris ; ce n’est pas évident de se faire surprendre en pleine branlette. Mais en même temps, je le trouvai plutôt « open ». D’autant qu’il lâcha sa serviette, se retrouvant nu et sans doute plus à l’aise. Ça fait quand même drôle de découvrir son pote à poil.
Ce soir-là, on en est restés là. Le lendemain, il y avait fête chez lui. Sa sœur avait invité pas mal de monde, ce qui nous incita à nous isoler un peu au calme. On se retrouvait ainsi dehors, par une belle soirée d’été, assis à l’écart dans le jardin, en train de reparler de nos branlettes de la veille… Et là le jeu classique entre mecs, le concours de branlette, est venu sur le tapis :
— Montre-moi ce que tu as, m’a-t-il demandé.
Et sur ce, j’ai baissé mon pantalon et mon caleçon pour lui montrer ma queue. Il la mata et remarqua tout de suite que je devais enlever quelques poils.
— Et toi ? Montre-moi donc à ton tour !
Il ne se fit pas prier et me montra fièrement sa queue, bien dégagée. Elle était un peu plus grosse que la mienne, j’étais assez mateur.
Dans un premier temps, on se branla l’un à côté de l’autre et puis très vite, on se branla mutuellement. C’était une première pour moi, je n’avais jamais touché d’autre queue que la mienne. C’est là que je me rendis compte qu’une bite pouvait être très dure. On se branla jusqu’à gicler l’un après l’autre dans l’herbe. C’était assez excitant de partager ce jeu, de partager notre jouissance. En tous cas, je trouvais notre complicité grandissante et ludique, ça me plaisait.
Coté physique, on ne se cachait plus trop. Un soir, je me rappelle que nous avions même décidé de prendre un bain ensemble, comme ça, face à face. C’était chouette de partager ce bain, on bandait comme des ânes, on jouait avec nos queues à travers la mousse. Ça faisait vraiment jeux d’ados retardés, mais ça nous faisait marrer. On se matait nos queues, nos culs, nos couilles. Les siennes étaient rasées. Et puisqu’il m’avait recommandé de dégager quelques poils, il se proposa pour le faire. Ce fut un grand moment de confiance, moi, tenant ma queue d’un côté, pendant qu’il me rasait doucement les couilles. À la fin, mes couilles étaient bien lisses, c’était divin.
Cet été-là, mon ami rencontra Céline, une nana assez mignonne dont je me rappelle surtout la magnifique poitrine. Elle avait un sacré caractère, ce qui la rendait encore plus attirante.
Pendant une semaine de vacances entre deux jobs d’été, j’avais élu domicile chez Hugo, pour profiter du calme de la maison et surtout de la piscine. À la même époque Céline aussi logeait chez Hugo, le temps de l’été. Elle avait décroché un job d’été de serveuse dans un restaurant du voisinage.
Je me rappellerai longtemps de cet après-midi ensoleillé. Hugo et moi, on s’était installés autour de la piscine, pour bronzer peinards, musique, boissons, magazine, on se la coulait douce. La maison était à nous, comme des princes. À un moment donné, il proposa de se foutre à poil. Il est vrai que rien ne nous obligeait à garder nos maillots. Ni une, ni deux, on se retrouvait nos queues à l’air, et même en l’air.
On était aussi excité l’un que l’autre à se mater, nos queues, nos culs. Après quelques jeux dans l’eau, à monter et descendre nos périscopes, on était assez sous tension. À tel point que, même hors de l’eau, je bandais toujours. Et encore, voire pire, après quelques minutes à sécher au soleil.
Hugo m’en fit la remarque :
— Mais tu bandes encore !
Il s’installa à mon côté, et là, surprise, il se pencha vers ma queue, me demandant s’il pouvait la sucer. J’étais loin d’être choqué ; ça renforçait notre complicité. Ma queue tendue avait donc été une invitation pour une superbe pipe, au soleil, au bord de l’eau. Quel souvenir !
Je le trouvai très doux, un peu maladroit, mais terriblement efficace. Au départ un peu gêné par la goutte qui perlait à l’extrémité de mon gland, il ne s’en formalisa plus ensuite. Quant à moi, j’étais super excité, je l’interrompis plusieurs fois pour calmer ma fièvre et éviter que je n’éjacule prématurément.
Lui aussi bandait dur. Sa queue était très épaisse, très large. Elle me faisait aussi envie.
— À mon tour, j’ai envie d’essayer avec la tienne.
Je me rappelle combien son sexe était raide et tendu, c’était la première queue que je prenais en bouche. Elle était chaude, grosse, très grosse. J’essayai de ne pas le blesser avec mes dents, de jouer avec ma langue, de saliver autant que possible. C’était terriblement excitant de s’imaginer en train de sucer son meilleur pote, d’être en train de câliner ses couilles, de partager avec lui cette complicité, ce secret.
Je me rappellerai longtemps ses odeurs intimes. Ses couilles étaient lisses, j’imaginai combien ça lui ferait plaisir de sentir la douceur d’une langue ; je les embrassai, je les léchai, je les gobai…
En étant à poils, on pouvait sans difficulté se mettre dans toutes les positions pour jouer. Je le revois en train de relever ses cuisses en arrière pour m’offrir ses couilles. L’odeur était musquée, excitante.
On alternait, on se suçait mutuellement puis on bronzait et ainsi tout l’après-midi, en plongeant de temps en temps pour se rafraichir.
Mais ce que nous avions complètement zappé, c’est que Céline allait passer pour se rafraichir elle aussi, à l’heure de sa pause, vers seize heures. Quand sa voiture déboula dans l’allée, nous fumes évidemment surpris tous les deux.
Que faire ? Se remettre en maillot ? Assumer et rester à poil ?
Hugo me rassura et me dit :
— Laisse, on reste comme ça, elle sait qu’on est bons potes, elle sera pas choquée et fera pas d’histoire.
Nous étions tous les deux à poil, sereins et calmes, allongés sur le dos.
Ce n’est qu’une fois arrivée au bord que Céline découvrit qu’on était nus.
— Ah d’accord les mecs, faut pas vous gêner !
— À ton tour alors !
Eh bien, à ma stupéfaction, elle ne s’est pas démontée, mais plutôt déshabillée. D’abord en culotte et soutien-gorge et puis très vite, plus rien du tout. Putain ! Elle était superbe à poil. Des seins magnifiques, en forme de poire, sans doute un 90B. Des fesses un peu larges mais bien rebondies, très rondes. Et puis, un minou tout taillé, châtain foncé. Ça fait drôle de découvrir la nana de son pote, à poil.
Et là, elle a plongé dans la piscine. Moi, je recommençais à bander, c’était gênant. Je ne savais plus trop quoi faire. De son côté, Hugo matait sa nana, satisfait de son audace. Moi, je décidai de jouer les discrets et de me concentrer sur des trucs anodins dans l’espoir de débander.
Après deux, trois minutes de tentative d’isolement cérébral, je rouvris les yeux et là, le plan incroyable, mais authentique : Hugo était assis au bord de la piscine, les pieds dans l’eau, Céline était allongée sur un matelas pneumatique, à sa hauteur. Et dans sa bouche, la queue d’Hugo, bandée à mort.
J’avais dû me faire tellement petit qu’ils m’avaient peut-être oublié. C’était superbe à voir. Hugo se laissait sucer en offrant aussi profond que possible sa queue à la langue gourmande de Céline. Elle, sur le dos, se passait une main délicatement sur son petit bouton.
Résultat : je rebandai immédiatement. Et là, mes couilles me firent vraiment mal. Là encore, que faire ? Dans les films, c’est facile. En vrai, ce n’est pas aussi évident. J’eus un coup de pot énorme qui décoinça tout ça. Ils devaient être tous les deux dans leur plan et étaient chauds comme tout. Hugo, se tournant vers moi, ne pouvait pas manquer de voir que je bandais comme un fou. Il me fit signe de les rejoindre, tout en susurrant un truc à Céline.
Là, on se dit que c’est comme dans un rêve, dans un fantasme même pas imaginable.
Je m’assis à leurs côtés, en offrant aussi ma queue à sucer. C’était doublement excitant : de se faire sucer par la nana de son pote, et en plus, de partager ce moment avec lui.
C’était aussi excitant de penser à nos fellations mutuelles antérieures, de penser à sa bouche partagée…
Je me rappelle m’être complètement laissé aller. J’étais terriblement excité ; j’en garde un souvenir mémorable, avec la sensation inoubliable de sentir mon sperme monter dans ma verge, de le sentir venir, de jouir et gicler abondamment sur ses seins à elle. Je crois que ça fait partie des plus grosses giclées que j’ai eues.
Je les remerciai et les laissai seuls tous les deux. Ils allèrent s’isoler dans une chambre, à l’étage. Je n’ai pas osé les déranger. J’en garde encore un excellent souvenir.
Pour info, je revois toujours Hugo, mais ne le suce plus.