Salut, je m’appelle Alexandre, j’ai 26 ans. Je suis engagé dans la marine à Toulon depuis environ 2 ans. J’ai pris le TGV le weekend dernier pour aller voir de la famille. Comme habituellement, j’ai voyagé de manière assez décontracté en jogging, sweat et basket et en bagage, je transportais uniquement mon gros sac vert kaki de l’armée.
Je me souviens que la semaine avait été longue et chargée avec beaucoup d’exercices physiques. J’étais extenué tous les jours et je mettais couché rapidement tous les soirs. Je n’ai donc pas vraiment eu le temps de me vider les couilles comme à mon habitude, autant dire que j’étais très chaud à mon arrivée dans le train.
Voyageant de bon matin, j’ai passé la première partie du trajet à somnoler. Je ne sais pas si vous connaissez cet été, tu dors plus ou moins et en même temps, tu penses à plein de choses. J’étais dans cet état et mes pensées focalisées logiquement sur des questions de cul. J’imaginais de bonnes scènes de baise et j’avais une sacré gaule assez visible à travers mon jogging. Même si nous n’étions pas très nombreux dans le train, j’avais une veste sur mes jambes pour que personne ne puisse apercevoir mon pieu à travers le molleton de mon pantalon.
Je voyageais quasiment jusqu’au terminus et à chaque fois, nous étions très peu dans le TGV à aller jusque-là. Ainsi, à la dernière gare avant mon arrêt, j’ai constaté que nous n’étions plus que deux dans le wagon : moi et un autre gars châtain avec des yeux clairs et une barbe de trois jours. Il était à deux rangs de mon siège et en position inverse, je le voyais donc très bien. Il portait également un jogging et un t-shirt qui laissait entrapercevoir un torse assez développé. Je pense que ce mec avait autour de la trentaine.
Le train a redémarré, j’ai replongé dans ma léthargie sans faire attention au mec du wagon, tout en continuant à tenir mon érection à travers mon jogging dans ma main droite sous ma veste. Cependant, j’ai rapidement été sorti de ma torpeur par un élément inhabituel. A travers le bruit provoqué par le déplacement du TGV, j’ai eu l’impression d’entendre un claquement comme celui que provoque une main contre le bas-ventre lorsqu’on se branle. J’ai donc ouvert les yeux doucement, et j’ai découvert une belle surprise, le mec du wagon était en train de se masturber !
Le gars avait baissé son jogging sur ses cuisses pour laisser apparaitre une belle bite épaisse avec un gland bien rouge vif. Il faisait de long va-et-vient le long de sa tige et venait faire claquer sa main sur son ventre et ses couilles contre ses cuisses. Ça devait être un sacré exhibitionniste très habitué à ce genre de pratique dans le train car il me regardait avec des yeux vicieux.
Cette situation improbable m’a fait de l’effet. Je n’ai pas tardé à bander comme un âne dans mon jogging et ne portant qu’un caleçon qui ne retenait rien en dessous, ma bite est venue former une belle bosse. Excité et enhardi par mon camarade de wagon, J’ai donc décidé de l’accompagner. J’ai baissé mon pantalon en le matant en train de se branler, et j’ai moi-même pris ma bite d’une main décidée et j’ai commencé à me la caresser.
Nous étions tous les deux presque face à face à nous regarder et à nous branler comme des ados. Il faisait claquer sa main de plus en plus forte et pousser des râlements de plaisir. Il écartait bien ses jambes pour que je matte sa masturbation. Pour ma part, je faisais la même chose. Je mouillais d’ailleurs beaucoup car la situation était très excitante.
On a fini par atteindre un paroxysme. J’ai relevé mon t-shirt, et je me suis éjaculé de longs jets de sperme sur le ventre sous les yeux satisfaits de l’autre mec. Lui, Il a attendu que je me sois fini et que j’ai repris mes esprits avant de se finir. Du coup, après quelques secondes, j’ai recommencé à regarder ce qu’il faisait et c’est à ce moment-là qu’il s’est relevé et qu’il a giclé d’énormes jets de sperme sur le siège du train face à lui. Ca dégoulinait par terre. Ce mec était vraiment un obsédé.
J’ai vraiment aimé cette situation. On a échangé nos numéros avec le gars et on a convenu d’essayer de prendre tous les deux le même train pour le retour, mais ça, c’est une autre histoire.
Alex