ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs
Je vais vous raconter une histoire se déroulant dans le train pour me rendre en vacances l’été dernier. Je rejoignais des amis, trois nanas et deux mecs hétéros, qui avaient loué un appartement vers Antibes. Je m'appelle Jules, j’ai 24 ans, je suis brun et typé méditerranéen mais peu poilu. Donc je suis parti pour Antibes début juillet. Ayant été prévenu assez tard de ce plan vacances, il ne me restait qu’une place en première classe.
Une fois installé dans mon wagon de première, j’ai commencé à m’imaginer ces vacances tant attendues. Suivant le rythme et le roulis du train, je me suis endormi rapidement. Il faisait un peu frais dans le train car les contrôleurs avaient mis la climatisation. Si bien que le froid m’a réveillé mais, visiblement, je n’étais pas froid de partout ! Mes rêves de vacances devaient être suffisamment chauds pour m’avoir provoqué une bonne érection. J’ai alors vérifié si personne n’avait pu le remarquer. De l’autre côté de la rangée, les gens dormaient également. Parfait ! Bien que mon érection ne semblait pas décidée à se calmer, je suis allé jusqu’à mon sac de voyage, le plus discrètement possible pour ne pas attirer l’attention.
Tandis que j’essayais d’attraper un pull sans toucher aux valises et sacs placés sur le miens, le train s’est mis à freiner brusquement. J’étais sur le point d’extirper mon pull de mon sac mais le coup de frein du train m’a entraîné vers l’avant dans le couloir, faisant tomber deux sacs, dont un sur moi, et déchirant mon pull au passage. Evidemment, tout le wagon s’est réveillé à cause du coup de frein, mais aussi à cause du bruit des valises ! Pour la discrétion, c’était manqué !
L’un des voyageurs, beau gosse, s’est approché de moi pour m’aider à me relever. Je l’ai remercié avec un de mes plus beaux sourires. Mais j’étais aussi tout rouge de honte. Heureusement que ces événements ont fait disparaître la bosse qui se profilait dans mon bermuda en jeans ! Le type m’a demandé si ça allait. Je lui ai dit que oui. Il a ensuite lancé un regard derrière moi. Je me suis retourné et j’ai vu une partie de mes affaires sur le sol. Le coup de frein avait été fatal. Il y avait mes t-shirts, un jean, des chaussettes et tous mes sous-vêtements par terre ! Y compris un jockstrap !
Je me suis précipité pour tout ramasser. J’ai tout remis en boule dans mon sac. J’ai remis mon sac et les valises à leur place et j’ai regagné ma place. Une fois assis je voulais constater l’ampleur de la déchirure du seul pull que j’avais dans mes bagages. Antibes en juillet ne nécessite pas forcément de pull, j’en avais juste pris un au cas où. Résultat : le pull était déchiré sur le côté, une couture sous la manche avait lâché. Résigné, je l’ai replié et l’ai placé contre la vitre pour m’en faire un oreiller.
C’est à ce moment-là que le beau gosse est revenu vers moi et m’a dit :
- Je vois que tu as froid, prends ce pull si tu veux.
Il avait des yeux magnifiques, brun, les yeux noirs, assez poilu sur les bras et les jambes, un tatouage sur l’avant-bras et pas mal de muscles entre ses bras et les pecs que son polo noir laissait imaginer. Il m’a tendu son pull avec un sourire charmeur. Lorsque j’ai tendu ma main pour l’attraper en le remerciant, il m’a fait un clin d’œil. J’ai rougis une seconde fois. Ce n’est qu’une seconde plus tard que j’ai réalisé que mes tétons pointaient sérieusement sous mon t-shirt serré et que c’était à cela qu’il faisait allusion. Ni une ni deux, cette situation a réveillé mes envies primaires.
- Merci beaucoup. C’est sympa de ta part. Tu vas jusqu’où ?
- Jusqu’à Nice.
- OK, moi je descends à Antibes. Je passerais te le rendre tout à l’heure.
- Pas de problème, je suis juste derrière toi.
La voix du train annonça alors la gare d’Avignon. On n’était pas arrivé ! Une heure plus tard, on repartait de la gare de Marseille. Je n’avais plus froid. Je me suis retourné et j’ai vu mon voyageur bon samaritain plongé dans un bouquin. Je lui ai alors rendu son pull, qui sentait bon le parfum et je lui ai proposé d’aller boire quelque chose au wagon bar. Il a accepté immédiatement. On se dirigeait vers le wagon bar lorsque j’ai senti sa main se poser sur mes fesses. En face, arrivait une dame avec un enfant, le beau voyageur a immédiatement retiré sa main et nous les avons laissés passer. J’en ai profité pour passer derrière lui. Il avait un beau cul dans son short. Et ses jambes poilues étaient du plus bel effet. Je bandais quasi instantanément. J’ai alors décidé de lui rendre sa main baladeuse d’il y avait quelques secondes. Soudain, alors que je le suivais de près, il a bifurqué sans crier gare dans une cabine de toilette et m’a attiré avec lui à l’intérieur. Avant que je réalise ce qu’il se passait, il avait déjà fermé à clé derrière lui.
Je n’ai pas eu le temps de parler qu’il m’embrassait déjà à pleine bouche. J’ai été surpris mais j’étais comme au paradis. Il avait des lèvres incroyables, sa langue cherchait la mienne. Il m’a palpé tout le corps. Ma bite était vraiment très à l’étroit. Je n’en pouvais plus. Il l’a vite compris. D’un seul coup, il m’a déboutonné et a baissé mon bermuda, laissant ma bite à l’étroit dans mon boxer. Bien décidé à aller plus loin que des caresses, j’ai alors baissé son short et vu la musculature de ses cuisses autour de son joli petit slip bien rempli.
Dans son slip, j’ai vu apparaître une queue épaisse et déjà dure. Il m’a attrapé par la nuque et m’a contraint de me mettre à genoux. Je me suis laissé faire et je me suis rué sur son chibre dans son joli paquet. Je le suçais à travers son slip rouge. Ma bave et sa mouille rendaient le tissu rouge foncé. Il a alors baissé son slip et m’a intimé l’ordre de le sucer. J’ai obéis avec plaisir. Je ne comptais de toute façon pas attendre plus longtemps. J’ai commencé à passer ma langue sur son gland, il grognait. Je m’appliquais et je l’ai alors pris en pleine bouche. Son engin était si épais que je devais ouvrir ma bouche bien à fond pour pouvoir la prendre. Le mec m’a alors pris la tête à deux mains et s’est mis à me baiser la bouche. J’étouffais un peu, il y allait fort le salop. Il a relâché le rythme et je l’ai sucé à mon rythme. Il poussait des râles de plaisir. J’y mettais tout mon cœur. Après dix ou quinze bonnes minutes, il a sorti sa bite et s’est mis à se branler.
Je me suis alors précipité sur ses couilles que j’ai sucées avec délectation. Je lui pinçais un téton en même temps. Il m’a ensuite indiqué qu’il allait venir. Il m’a demandé d’ouvrir la bouche et il m’a giclé sur le visage. Son sperme était bouillant et épais. J’en avais partout. Il m’a alors relevé et m’a léché le visage pour me nettoyer.
Il s’est ensuite attardé sur mes pectoraux. Sa langue était très agréable. Je me branlais en même temps. J’étais en extase. Sa main me massait les couilles avec expertise. Il s’est ensuite mis à me sucer. Sa langue faisait des tours autour de mon gland. Il me suçait à présent toute la bite en tirant bien la langue pour que j’aille au fond de sa gorge. Sa langue était tellement longue qu’elle titillait mes couilles pendant que mon bâton était dans sa bouche. C’était super bon. Je n’en pouvais plus. Je me suis mis à lui baisé la bouche comme il me l’avait fait. Mes 19cm allaient aussi profondément que possible. Ses yeux me regardaient avec envie. Je me suis retiré de sa bouche après quelques longues secondes de va et viens. Il m’a alors branlé, la langue tiré jusqu’à mon gland, la bouche ouverte. J’allais lui juter dessus. Il avait visiblement l’intention d’avaler. Ça m’excitait encore plus. Je lui alors craché tout mon sperme au visage. Une bonne partie a directement atterri dans sa bouche. Le reste, il l’a récupéré avec sa langue. Il s’est ensuite relevé et m’a embrassé avec le reste de mon sperme dans sa bouche. C’était super bon !
Ce n’est qu’à ce moment-là qu’il m’a annoncé qu’il s’appelait Gaétan. Il m’a remercié et m’a invité à boire une bière. Il m’a avoué ensuite avoir vu mon érection au début du voyage. Ça m’a bien fait rire. Les vacances commençaient bien ! Et il restait encore plus d’une heure de voyage avant Antibes. On allait peut-être remettre ça mais cette fois-ci, nos culs n’en sortiraient pas indemnes !
Jules
Merci.
Bisous.
Dorian.
J'aurais volontiers partagé vos ébats en me régalant de ce foutre abondant dont la nature vous a biens pourvu semble-t-il !!! As-tu d'autres expériences de ce genre à publier ? Ne te gêne surtout pas c'est trop bon pour tes lecteurs ! A bientôt peut-être.
Bisous.
Dorian