Sébastien, 24 ans, 181, blond court, yeux bleu. Je suis policier. Il y a environ 7 mois, on m'a transféré en région parisienne. Jusqu'alors, je n'avais jamais quitté ma Bourgogne natale. J'ai atterri dans le 91. C'est moins chaud que le 93 mais ça reste un sacré changement pour moi.
Je n’ai pas eu trop de mal à m'intégrer avec mes nouveaux collègues. La plupart sont jeunes et originaires de province comme moi. Par contre, avec les délinquants et les habitants des quartiers c'est une toute autre histoire. Trop de violence, aucun respect pour la police et une situation qui peut dégénérer pour un oui ou pour un non. Et puis, il y a ce petit con de Samir. Un jeune beur d'à peine 20 ans qui se fout de la gueule des flics de tout le commissariat.
Samedi dernier, Samir a été interpellé pour la troisième fois en 2 mois. Et comme à chaque fois, y a pas assez de preuves ni de témoins contre lui. On est obligé de le relâcher. Le gars a un casier quasi vierge alors que tous les flics savent pertinemment qu'il est impliqué dans pas mal de trafics genre drogue, voitures volées...
Depuis quelque temps, j'sais plus trop ce qui m'arrive. Je ne peux pas m'empêcher de mater Samir à chaque fois qu'on le fait venir au poste. Il m'attire. Je n'y peux rien. Faut dire qu'il est sacrément bogoss. Il doit mesurer environ 1m80, peau mate, cheveux noirs bouclés et de très beaux yeux marron qui m'hypnotisent pour de vrai. Il a une gueule d'ange viril et un corps finement musclé. Il fait du sport. Du judo et du handball. Résultat : un sacré petit cul bien musclé que j'ai bien envie de tripoter. Il tourne autour de 2 tenues : un survêt blanc et vert et une combinaison pull-over/jean quand il fait un peu plus froid. En revanche, le mec à une sacrée collection de baskets en tout genre. Il doit avoir une trentaine de pairs sans exagérer.
Lors du dernier interrogatoire, Samir m'a regardé direct dans les yeux à de nombreuses reprises. C'était étrange et assez excitant. On n’était pas seuls. Y'avait une collègue dans la pièce. Pourtant, le mec n'a pas arrêté de soutenir mon regard sans rien dire. J'ai même un peu rougi à un moment donné. Ma collègue a remarqué que Samir n'avait d'yeux que pour moi. Heureusement, sa théorie c'était que Samir est un macho sexiste qui n'aime pas les femmes flics. Ma théorie à moi c'est que ce petit con a fini par se rendre compte de mon attirance pour lui et qu'il a décidé de se foutre de ma gueule et de me mettre mal à l'aise.
Le weekend est vite arrivé. Je suis assis torse nu et en jogging sur le canapé de mon petit appart de banlieue. Je regarde du sport à la télé.
On sonne à la porte. J'ouvre sans prendre la peine d'enfiler un tee-shirt et je me retrouve nez à nez avec Samir.
"Qu'est-ce tu fais là toi?". Je regarde autour. Il est venu seul.
"Putain pas même un bonjour!" me dit-il le sourire aux lèvres.
"Comment tu sais où j'habite?"
"Vous les flics, vous me suivez toute la journée dans la cité. Pour une fois, j'ai fait le contraire l'autre soir et j'ai vu que t'habites ici"
"Bon d'accord mais ça me dit toujours pas ce que tu fous là devant ma porte. Un dimanche après-midi!"
"J'ai remarqué comment tu me dévores du regard à chaque fois que tu me vois. Même là t'as du mal à me regarder en face"
Putain! Les voisins risquent d'entendre. Je ne tiens surtout pas à ce qu'ils se fassent des idées. J'ai jamais été ouvert au sujet de mon homosexualité. Par conséquent, je n'ai qu'un choix devant moi : faire rentrer Samir dans mon appart.
Le jeune rebeu prend ses marques tout de suite. Il part au salon et s'installe confortablement sur le canapé. Je reste planté là comme un con. Je pense à lui proposer quelque chose à boire mais je me ravise aussitôt. Je suis policier merde! Et lui c'est un délinquant! Qu'est-ce que je suis en train de faire?!
"Bon écoute moi Sébastien - je peux t'appeler Sébastien n'est-ce pas?"
Je hoche la tête pour dire oui. Il connait mon prénom. Ce qui n'est pas très surprenant puisque mes collègues m'ont appelé des dizaines de fois devant lui. N'empêche, ça me fait un effet bizarre quand l'objet de mes fantasmes prononce mon prénom.
"Je te trouve pas mal et vu la façon que tu me mates depuis des mois, je suis presque sûr que tu bandes un max en pensant à ma bite de rebeu"
"..."
"Tu me suces. Je te baise. Et ça restera entre nous car on a tous les deux des réputations à protéger. Compris?"
Je hoche la tête. Je suis rouge de honte. Ma queue commence à gonfler.
Samir retire son survêt sans enlever ses skets. Il porte un slip gris. Le paquet à l'air prometteur même si il n'est pas encore en érection. Puis, le petit caïd se réinstalle confortablement dans le canapé dans une posture hyper virile avec les jambes bien écartées. Il se saisit de la télécommande et augmente le son. D'un signe de la main, il m'invite à prendre place entre ses jambes. A genoux bien sûr. Je m'exécute car à ce moment précis, je pense plus avec ma bite qu'avec mon cerveau.
Je sniffe son matos à travers son slip. Le sous-vêtement est propre mais je peux sentir une odeur distincte de jeune mâle dominant. J'enfonce encore plus ma tronche dans son paquet et je respire à fond son odeur virile. Samir se rend compte que les odeurs c'est mon trip. Alors, il m'arrête avant que je ne puisse dévoiler son chibre. Il me dit que j'aurais le droit de sucer sa queue après m'être occupé de ses skets.
Aussi viril que je puisse paraitre, j'ai toujours fantasmé de me retrouver aux ordres d'un mec dominateur, de préférence un rebeu ou un renoi. Mon métier fait que je suis constamment en contact avec des lascars. Ils ne se doutent pas de l'effet qu'ils me font quand ils résistent aux arrestations ou alors m'insultent de tous les noms. Sniffer les skets d'un jeune rebeu comme Samir est un fantasme devenu réalité. Je bande un max et sans hésiter je prends son pied gauche et commence à renifler sa basket. Je passe 10 minutes à lécher, embrasser et sniffer les skets du p'tit caïd. Puis, Samir détache son attention de l'écran de télé et m'ordonne de retirer les baskets et de m'occuper de ses cho7. Je suis aux anges. L'odeur est forte et virile. Je m'en fous plein la bouche et plein les narines.
Soudain, le jeune lascar se met debout. Tout s'accélère. Il m'écrase la face contre la moquette avec son pied. Il me traite de salope, de garage à bites, de pute à rebeux. Il m'attrape par la nuque et me force à me mettre à genoux devant lui, la tête à quelques centimètres de son paquet. Il baisse son slip et un superbe zob de 17 cm large et circoncis jaillit devant moi. Je salive comme une chienne en chaleur. Il me tape sur la joue avec sa belle bite puis il me l'enfonce direct dans la bouche.
La pipe est assez violente et Samir ne me laisse aucune liberté de mouvement. J'ai des larmes qui me montent aux yeux et j'ai même envie de gerber. Au moment où je suis au bord de l'évanouissement, Samir stoppe tout, se rassoit sur le canapé et m'ordonne de continuer à le sucer. Cette fois, c'est moi qui contrôle le rythme de la fellation et je m'applique à lui procurer un maximum de plaisir. Il jute dans ma bouche et j'avale sans réfléchir. Quand je lève les yeux pour le voir, Samir à un petit sourire aux lèvres. Il me dit que je suis une bonne suceuse et qu'il fera à nouveau appel à moi. Puis, il se rhabille très vite et sort de mon appart en me disant "A la prochaine, p'tite pute!"
Comme un con, je reste à genoux au milieu du salon et je me branle en pensant aux skets de Samir et à son gros zob qui m'a défoncé la mâchoire.
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