ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs
J'ai 38 ans et je suis père de deux jeunes garçons. Jusqu'à cette soirée du 10 août, je n'aurais jamais pensé que l'hétéro pur et dur, que j'affirmais être depuis toujours, puisse se laisser caresser par un mec et gicler par lui, pour lui et avec plaisir surtout!
Il me restait deux jours de vacances. Je les employai à ranger la maison, qui resterait fermer jusqu'au printemps suivant et à préparer mes valises. Des impératifs de travail m’avaient empêché d'accompagner mes fils chez leurs grands-parents où ils devaient passer deux semaines. C'est donc ma femme qui les y conduisit. A la fin de la journée, tout étant pratiquement prêt pour mon départ, il faisait encore très beau. Je décidai d'aller me promener le long de la mer, d'où je revins vers vingt-deux heures. La soirée encore chaude avait retenu les enfants et leurs parents dans les rues de la petite station balnéaire où on discutait joyeusement. J'allais rentrer dans la courette de ma maison, quand je fus salué d'un,
- Bonsoir, il fait doux ce soir et la mer, d'où je reviens de me baigner, est magnifique.
Serviette sous le bras, chemise ouverte sur une poitrine velue et bronzée, short au ras des burnes, le locataire de la maison voisine, que j'avais aperçu plusieurs fois depuis son arrivée, me tendit la main en me faisant un large et beau sourire. Peu sensible aux charmes des hommes auxquels je ne m'étais jamais intéressé, je me dis, qu'il était pas mal et tandis que je répondais,
- En effet j'en reviens aussi, le coucher de soleil était sublime,
Je remarquai le volume de son caleçon qui grossissait de plus en plus.
Gêné, je détournai les yeux et rentrai dans ma cour, afin de mettre la porte entre cet inconnu et moi et surtout pour dissimuler l'énorme érection qui me gagnait.
- Putain me dis-je qu'est ce qui t'arrive, tu bandes devant un mec bien foutu, t'as quand même pas envie de te taper un homme ?
Jamais pareille idée ne m'était advenue ! Je n'avais jamais tripoté un mec et jamais un mec ne m'avait tripoté; sauf un oncle qui le jour de mes quinze ans, avait voulu me branler de force et qui avait reçu mon genou dans les valseuses. De plus côté sexe tout allait bien dans mon couple, nous avions encore baisé le matin même, ma femme et moi. N'étant pas une bête de sexe, rien à priori n'aurait dû me faire bander à ce point pour un mec, même bien foutu! Après quelques banalités sur les vacances et le temps, j'écourtai cette discussion qui m’embarrassait et souhaitai la bonne nuit à mon voisin en lui tendant la main. Il la prit, et la garda dans la sienne pendant les quelques secondes que dura sa réponse en me caressant discrètement le poignet.
Je me dégageai brusquement et sans le regarder avec une envie folle de lui casser la gueule! Pourtant je n'en fis rien et rentrai chez moi très troublé. Ma bite raide avait mouillé mon boxer, je ne savais pas où j'en étais et je continuais à bander comme un phoque. Je me branle assez peu en général, mais là n'y tenant plus je m'astiquai violemment le pieu, et lâchai très vite dans la douleur, une énorme giclée de foutre chaud dans les poils de mon torse en poussant un cri rauque en me jetant sur mon lit complètement désemparé. Je venais de bander et de jouir par un mec et pour un mec et j'en avais éprouvé du plaisir. Comble de la surprise, dans le dérèglement qui se produisait en moi, je recueillis le maximum du sperme qui ruisselait sur moi et je léchai sans déplaisir, alors que depuis ma première masturbation, vieille de quelques vingt-cinq ans, je n'y étais jamais parvenu ! Et cela par un mec. Ma déroute était complète. En proie à de sombres réflexions sur ce qui venait de m'arriver, je finis par m'endormir.
La première chose qui me vint à l'esprit le lendemain, fut d'aller à la fenêtre d'où je pouvais apercevoir mon voisin. Tout était calme chez lui, ses persiennes fermées me laissèrent supposer qu'il était encore au lit, pourtant il était dix heures passées ! Je vaquais, pendant deux heures, aux différentes occupations d'avant fermeture de la maison tout en continuant à surveiller les volets, qui restaient désespérément clos. Je finis par conclure qu'il était parti et que je ne le reverrai plus !
Gagné par un désespoir que je commençais à analyser, j'allai déjeuner et après une sieste, je me rendis à la plage où je ne le trouvai pas et où je passai le reste de l'après-midi et que je quittai vers dix-neuf heures. Et là, surprise, les fesses appuyées sur la portière du conducteur de ma voiture, mon voisin en majesté, m'offrait un paquet de couilles bien gonflées, qu'il se mit à caresser avec application et volupté. Mes sens, à la vue de ces caresses lascives s'enflammèrent littéralement. Je me sentis bander et mouiller mais restai immobile à un bon mètre de lui. Comprenant mes scrupules, il s'approcha de moi, me caressa le cul avec envie, effleura mes couilles sans les tâter, prit mes clés, ouvrit la porte passager, m'y fit asseoir et me dit,
- Viens on en a envie tous les deux non ?
Je me laissai faire sans réaction, sinon celle de bander offrant mon corps rempli de désir à un beau mec, expert en hommes et qui me fit connaître la plupart des jouissances qu'un mec peut apporter à un autre. Pendant deux heures, il me caressa, me suça, me branla, me faisant découvrir de ci de là des caresses qui me faisaient hurler. Mais il veilla à ce que jamais je ne décharge. Oubliés mes scrupules, oubliée mon homophobie, je me roulais dans le bonheur des sens, sans retenu en répondant au moindre de ses désirs. Pourtant quand il voulut me sauter, il me restait suffisamment d'énergie pour refuser. Je me dégageais brusquement de ses cuisses et me levai d'un bond.
- Non pas cela, s'il te plaît !
Devant lui, sexe raide, trempé de sueur tant il m'avait fait jouir, je le suppliai en lui demandant de ne se contenter que de ma bite que je lui offrais à sucer.
- Tu as raison c'est trop pour une première fois et trop tôt surtout ! Allonge toi tu vas jouir autrement.
Anxieux je m’exécutai. Quand je fus allongé, il m'écarta doucement les cuisses, me caressa longuement le cul, me le lubrifia abondamment et me doigta adroitement allant chercher profondément en moi, la prostate qu'il caressa en expert ! Jamais en vingt-cinq ans de branle et de sexe, je n'avais atteint pareils plaisirs. Au comble de la jouissance, je me saisis soudain de ma bite énorme et commençai à me l'astiquer grave. Il m'arrêta rapidement, me la couvrit d'une capote, se lubrifia, s'allongea sur le dos, écarta ses jambes et après avoir guidé mon pieu, l'enfonça violemment dans son corps en hurlant, où il pénétra sans difficultés.
- Vas-y maintenant saute moi, à part quelques détails, tu ne devrais pas avoir trop de difficultés puisque tu sautes des femmes depuis au moins quinze ans, non ?
Après l'avoir fourragé une bonne demi-heure, je lui envoyai en hurlant, une énorme giclée de sperme chaud, qu'il sortit de la capote et avala dans sa totalité.
- Hummmm c'est bon ! Tu veux goûter, car je suppose que tu ne l'as jamais fait? Me dit-il en me roulant une énorme pelle; t'as aimé ? Si tu veux recommencer on trouvera bien une solution pour se rencontrer, tu ne crois pas ?
Je lui fis, oui de la tête, en lui offrant ma bouche toute pleine de sperme chaud.
Puis nous nous endormîmes heureux et fourbus dans les bras l'un de l'autre.
C'est ainsi qu'à 38 ans, hétéro pur et dur, je me suis tapé un mec sans regret et avec quel plaisir !
Aurais-je le courage de recommencer ?
Dorian.