ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs
Seul à la maison, mes parents étant partis en vacances, je déambulais complètement nu dans l’appartement. Je m’arrêtai devant la porte de la chambre de mon frère et entrai sans frapper. La pièce était vide puisque Youssef était parti chez sa petite copine. Comme d’habitude un vrai capharnaüm régnait dans son antre. Il y avait des chaussettes et des slips éparpillés sur la moquette, le lit était en pagaille. Des revues de toutes sortes recouvraient complètement son bureau. M’approchant du lit, je remarquai quelques taches d’un blanc laiteux sur les draps, il avait dû encore se masturber avant de se lever. Me penchant, j’approchai mon nez des taches de sperme encore humides pour les sentir. J’aimais particulièrement cette odeur de sexe acre et puissante. Elle me provoqua instantanément une jolie érection. Au milieu des draps, il y avait un slip en boule, avec des traces brillantes, qui avaient certainement servi à essuyer son foutre. Je le ramassai et ne pus m’empêcher d’y coller mon nez, puis de goûter enfin ce nectar qui m’enflammait tant le corps et l’esprit. Le bout de ma langue se posa sur cette texture tiède et une goutte y resta collée. Je m’en délectais en la faisant tourner dans ma bouche puis l’avalai goulument, c’était salé. Ma queue, prise de frénésie, se tendit comme un arc prêt à tirer ses flèches.
J’enfilai ce slip divinement souillé et me couchai à plat ventre sur le lit, la tête enfouie dans les draps tachés. Le contact entre mon sexe tendu et l’humidité collante du slip de Youssef décuplait mon excitation. Ma queue s’écrasait en se frottant violemment contre le matelas tandis que mon nez, enfoui dans le tissu odorant, s’emplissait de ces effluves masculins. Mes fesses montaient et descendaient de plus en plus vite, en donnant de grands coups de bassin pendant que de la mouille suintait de ma verge pour se mélanger au jus de mon frère. Mon souffle s’accéléra et des gémissements de plaisir se ruèrent hors de ma gorge. Mon corps se tendit une dernière fois tandis que des jets puissants de semence se marièrent à ceux de mon seul amour. À bout de souffle je restais étendu de longues minutes tandis que mon cœur cognait à tout rompre dans ma poitrine.
Me relevant à contrecœur, je me plaçai devant la penderie pour me regarder dans le miroir. Du haut de mes 18 ans j’avais un joli corps aux muscles bien dessinés, grâce aux séances de gymnastique que je faisais avec Youssef. Mon visage était beau, des lèvres pleines et charnues, des yeux bleus acier et des cheveux noirs et légèrement frisés m’encadraient le visage. Mon regard se dirigea vers mon bas-ventre, le slip de mon frère était complètement souillé, je l’enlevai en regardant les dégâts. De grosses taches de sperme engluaient toute la poche avant où les couilles et la bite de mon Youssef avaient laissé leur empreinte. Prenant un mouchoir sur la table de chevet, j’essayai tant bien que mal d’effacer mon forfait.
Mon IPhone se mit à sonner. Je lâchai le slip et le mouchoir qui tombèrent au sol. Atteignant ma chambre au pas de course, je répondis au bout de la troisième sonnerie. C’était lui.
— Allo frérot, t’es pas chez Aline ?
— Non, elle ne veut plus de moi. Elle m’a largué, Fabien, tu comprends ?
Les sanglots que je percevais dans la voix de mon frère me brisèrent le cœur.
— Où es-tu ?
— Sur la route, je serai à la maison dans une dizaine de minutes.
— D’accord, mais surtout sois prudent, je t’attends.
Raccrochant mon appareil, je courus vers la salle de bain afin de me doucher avant l’arrivée de Youssef. Ma douche terminée, je me donnai un coup de peigne, courus dans ma chambre pour enfiler mon short en jeans et un T-shirt blanc. A ce moment-là, la porte d’entrée s’ouvrit, il était là. J’entendis des pas dans le couloir, il était là. Mon visage se couvrit de sueur. Dans mon excitation, j’avais complètement oublié son slip, glissant de mes doigts avec le papier que j’avais utilisé pour l’essuyer… Les jambes flageolantes, je frappai à la porte de Youssef. Personne ne répondit. J’entrai.
Il était couché sur le dos au milieu de son lit, les bras croisés contre son visage. Son T-shirt blanc légèrement remonté, découvrait une partie de son ventre musclé. Je ne pus m’empêcher de diriger mon regard un peu plus bas, au niveau de la braguette de son jeans où une bosse déformait légèrement le devant du tissu. C’est vrai qu’il était bien monté, lorsque nous travaillions nos muscles ensemble, il mettait plus volontiers des slips que des shorts. Ce qui me permettait de profiter avantageusement de cette vision qui me chauffait l’esprit. Il était bien monté avec ses 18,5 cm sur 5 et ses « Aussiebum » avec lesquels il faisait ses entraînements le moulaient à la perfection.
M’approchant doucement de lui, je m’étendis à ses côtés. Je posai une main sur son torse et de l’autre lui caressai tendrement les cheveux. Youssef était si beau malgré son chagrin, il était de 3 ans l’ainé mais avait la même carrure que moi avec ses 1,80 m et ses 67 kg, un visage très expressif avec de magnifiques yeux marron et un sourire charmeur qui faisait craquer n’importe qui. Son corps était parfait, des muscles aux reliefs bien dessinés, imberbe et très bien proportionné. La couleur de sa peau était légèrement basanée, un héritage que lui avait laissé son père marocain, premier mari de notre mère, emporté par une crise cardiaque. Deux années plus tard elle s’était remariée, et de cette nouvelle union, je vins au monde.
— Youssef ? Parle-moi.
Il se redressa légèrement et regarda son petit frère de ses yeux humides. Le menton tremblant, il articula avec peine :
— Oh Fabien ! Elle m’a largué ! Elle en aime un autre.
Il s’effondra dans mes bras en pleurant. Je le serai très fort contre moi, c’était la première fois que je le voyais dans cet état-là, sa souffrance était palpable. Continuant à lui caresser les cheveux d’une main pendant que l’autre lui tapotait doucement le dos pour essayer de le calmer. Dans un souffle, je lui glissai à l’oreille :
— Ne t’inquiète pas, Youssef, je suis là.
Il s’agrippa à moi comme à une bouée de sauvetage en continuant à pleurer. Je sentis mon T-shirt se mouiller légèrement au contact de ses larmes. Sentir le corps de mon frère collé contre le mien me procura un sentiment de bonheur intense mélangé à la tristesse que je partageai avec lui.
Sentir le corps de ce frère tant aimé, couché à moitié contre le mien, sa cage thoracique secouée par ses nombreux sanglots qui vibrait contre la mienne, son visage enfoui au creux de mon cou tandis que ses bras m’enserraient de toutes leurs forces me fit frissonner de tout mon être. Malgré moi, je sentis mon sexe se réveiller à nouveau, heureusement qu’aucune partie de son corps n’était en contact avec cette zone. Tout mon esprit était concentré sur ce bout de chair qui grossissait dangereusement, malgré tous mes efforts, ma queue se déployait, tel un boa, à l’intérieur de mon short. Il devenait dur à m’en faire mal, je le sentais prêt à faire exploser le tissu. Me dégageant doucement de l’étreinte de mon frère, je me redressais légèrement afin de m’asseoir. Déséquilibré par ce mouvement Youssef voulut se redresser également, et pour s’aider, sans le vouloir, posa sa main sur mon short.
Son visage perdit quelque peu sa couleur et il me regarda la bouche grande ouverte.
— Mais tu bandes ?
Ma gorge se crispa, les mots n’arrivaient pas à sortir de ma bouche. La bosse que faisait ma queue au niveau de la braguette était éloquente. Le relief de mon sexe en érection était manifeste et on devinait même la pression sanguine qui pulsait à l’intérieur de ma verge.
Youssef se dégagea de moi et se leva d’un bond en s’éloignant du lit. Dans ses yeux je lisais une incompréhension totale. Son regard fut attiré vers le sol, il se baissa et ramassa quelque chose. En se relevant je vis avec horreur, qu’il tenait son slip souillé ainsi qu’un papier froissé à l’intérieur de sa main.
Maintenant sa tristesse avait fait place à de la colère. J’étais tétanisé sur le lit, mon corps complètement immobile, incapable de faire le moindre mouvement. De la sueur dégoulinait de mon front et me piquait les yeux. Mon cerveau était incapable de la moindre réflexion.
Me faisant face, le visage rougi et déformé par la rage, il ouvrit la bouche et un cri rauque et violent en sortit. Je le vis se tendre comme un arc et il bondit sur moi comme un boulet de canon.
Je reçus son corps comme un coup de tonnerre, mon souffle fut coupé par la violence du choc. Je basculai aussitôt en arrière et me retrouvai plaqué contre le matelas par le poids du corps de mon frère. Il se redressa, m’enjamba et s’assit sur moi à la hauteur de mon bassin, ses mains s’agrippèrent à mes épaules. Il commença à me secouer de toutes ses forces, le regard fou et encore rougi par les larmes versées auparavant. Sous la puissance générée par sa colère, ma tête ballottait de gauche à droite. Sentant le poids de son corps et la pression de ses fesses en contact avec mon bassin, mon sexe toujours en érection grossit encore davantage.
— T’es vraiment un sale porc, tu bandes toujours, mon cochon ?
Une de ses mains me relâcha et vint s’écraser violemment contre ma joue. C’était la première fois que mon frère me frappait, jamais auparavant il ne l’avait fait. On s’était déjà disputés verbalement, on avait lutté quelque fois ensemble mais plus par jeu qu’autre chose. Je ressentis aussitôt une colère grondé en moi tandis que ma joue me brûlait sous l’effet de la gifle qu’il m’avait donnée. Je pliai mes jambes pour poser mes pieds bien à plat contre le matelas et d’une puissante ruade je décollai mes fesses. Cela eut pour effet de déstabiliser Youssef, qui, surpris, se retrouva déséquilibré et il partit en arrière. Mon corps suivit le mouvement. Il se retrouva couché sur le dos, ses lombaires reposaient sur le bord du matelas, ses épaules et sa tête se retrouvèrent en dehors du lit, touchant la moquette.
Mon corps s’écrasa contre le sien et je sentis ses jambes s’enrouler autour de mon bassin. Mon torse également en dehors du matelas se plaqua contre celui de Youssef. Mes bras s’enroulèrent autour de sa taille. Son corps arqué en arrière me procura un plaisir immense, mon bassin écrasé contre le sien pouvait sentir, à travers le tissu de son jeans, le volume de son sexe au repos. Ma queue tressauta à l’intérieur de mon short et dans un réflexe irréfléchi, je frottai mon sexe emprisonné contre le sien. Mon visage au-dessus du sien, mes yeux se fixèrent sur son regard toujours chargé de colère et d’incompréhension, et cette fois, venant d’une envie irrésistible émanant du plus profond de mes tripes, mes lèvres s’écrasèrent sur celles de mon frère.
Sa réaction fut étonnante, des larmes coulèrent de ses yeux et il me sembla sentir entre nos deux bassins son sexe frémir sous le contact de mes lèvres chaudes contre les siennes. Son corps se démenait, comme pris de folie entre mes bras, ses mains m’attrapant par mon T-shirt tirèrent de toutes leurs forces et le fin tissu se déchira sur toute la longueur. Me dégageant rapidement je me débarrassai du vêtement qui m’entravait les mouvements. Sans lui laisser le temps de réagir, mes mains s’accrochant au col de son T-shirt, tirèrent d’un coup sec et le coton se déchira. Youssef essaya tant bien que mal de se libérer de son T-shirt, j’en profitai pour me ruer sur lui afin de défaire les boutons de son jeans. Le dernier bouton détaché, je me redressai et prenant le bas de son pantalon je tirai un grand coup et mon frère se retrouva en slip. Il avait mis son Aussiebum et je pus m’assurer qu’une légère érection déformait la poche avant du slip.
Décontenancé, il roula sur lui-même et ses jambes chutèrent hors du lit. Il se redressa aussitôt, se rua sur mon short et me l’arracha. Mon sexe, enfin libéré, se tendit devant moi.
— Tu ne portes même pas de slip sous ton short ???
Je rougis légèrement, mais le moment n’était plus à ça. Il fallait que je lave l’affront de ce frère que je croyais connaître si bien et qui ne m’acceptait pas comme j’étais.
On se tenait l’un en face de l’autre, moi sur le matelas, le sexe tendu pointant vers le haut, lui debout devant le lit, une bosse frémissante déformant légèrement l’avant de son slip. Tous les muscles de nos corps étaient tendus à l’extrême, on se regardait droit dans les yeux, l’affrontement allait commencer. Je le laissai monter sur le lit, nous nous retrouvâmes l’un en face de l’autre nous défiant du regard. Dans un même élan on se jeta l’un contre l’autre. Le choc fût brutal, nous prenant mutuellement à bras le corps, nos deux torses se heurtèrent violemment. Je l’enserrai contre mon corps et mes mains se dirigèrent vers son slip. Je tirai vers le haut de toute mes forces, le tissu lui rentra dans la raie de ses fesses tout en comprimant son sexe à l’extrême. Le slip craqua d’un coup.
Pour la première fois de ma vie, je sentis la chaleur de son sexe contre le mien, qui s’épanouissait encore davantage. Youssef se débattit comme un fou et je dus malgré moi le libérer de mon étreinte. Mais il n’avait pas pu m’empêcher de sentir que le contact entre nos deux queues lui avait procuré un plaisir qu’il avait eu du mal à refréner. Éloignés de quelques centimètres on reprenait notre souffle. Il s’élança vers moi et m’attrapa par l’arrière du crâne tout en me tirant vers le bas, je fis de même mais avec un léger temps de retard. Il avait pris un certain avantage en lançant son attaque le premier et je dus résister à la pression qui poussait ma tête vers le bas. Dans un sursaut d’orgueil, ma main droite se lança vers le bas et je réussis à attraper l’arrière de sa cuisse gauche. Je tirai de toutes mes forces et tout en m’entraînant avec lui il s’écroula en arrière. Je me retrouvai couché sur son corps, ses bras m’enserrant la taille. D’un coup de bassin il nous fit rouler sur le lit où le mur nous arrêta. Mon dos se retrouva collé contre le mur et Youssef, agrippé à moi, me plaquait contre le plâtre froid. Je sentais toute la surface de sa peau collée à la mienne, je ne pus m’empêcher de frotter mon bassin contre cette queue en demi-érection qui s’écrasait contre ma verge durcie par l’envie.
— Alors frérot, tu bandes aussi ?
Prenant appui avec mes pieds contre le mur, je donnai de l’élan à mon corps pour le faire basculer à nouveau sur le dos. Aussitôt couché sur lui, je sentis ses jambes m’enserrer le bassin et ses pieds se croisèrent juste en- dessous de mes fesses. Mes mains se jetèrent sur ses poignets et les bloquèrent et les remontant au-dessus de sa tête. Poussant sur mes mains je redressai le haut du corps au-dessus du sien. Je pressai une fois encore ma bouche contre la sienne, il me mordit. Du sang perla et se déposa sur ses lèvres. Mon bassin était pris dans l’étau de ses cuisses et j’en profitai pour l’écraser de toute ma passion contre le sien, tout en frottant vigoureusement mon sexe en délire contre celui chaud et de plus en plus dur de mon frère adoré. Sans rien dire, nos yeux se fixèrent un instant, son regard avait changé, une douceur que je ne connaissais pas avait remplacé la colère d’avant. Un sourire éclaira son visage où je lus une invitation nouvelle, lui libérant les mains, mes doigts se posèrent sur ses lèvres où j’étalais la goutte de sang encore présente. Je sentis une main me caresser tendrement les cheveux, nos lèvres s’approchèrent timidement jusqu’à se frôler. Le contact fut doux et suave puis se fit plus fort et plus sauvage. Nos bouches s’ouvrirent, nos langues se trouvèrent enfin et fondirent l’une sur l’autre pour se dévorer avec passion.
Mon excitation décupla et je sentis le liquide séminal s’échapper de mon gland et lubrifier nos deux verges qui se frottaient violemment l’une à l’autre. Mon cœur s’emballa tandis que le sang pulsait violemment dans ce totem de chair et c’est dans sa bouche que je criai mon plaisir tandis que mon sperme giclait en de longs jets entre nos deux ventres. Après quelques secondes, je me décollai à regret de son corps pour me coucher à ses côtés. Son sexe était toujours bandé et mon sperme avait souillé ses poils frisés. Il se releva sur les coudes et se mit sur le côté. Ses mains se posèrent sur mes flancs et me caressèrent, la pression devint plus forte et il me fit rouler sur le ventre. Aussitôt je sentis son corps s’écraser sur moi, ses cuisses s’insérèrent entre les miennes pour les écarter, ses mains se glissèrent sous mes aisselles pour se rejoindre sur ma nuque tandis que son sexe énorme se pressait entre mes fesses. Écartelé comme le Christ sur la croix, le visage écrasé contre le matelas, je ne pouvais plus bouger.
Des gouttes de sueur envahirent mon front. Mon anus était vierge, à part les quelques fois où j’y avais mis un doigt ou deux, et entre mes fesses je sentais son énorme barre d’acier pulser violemment. Je le sentis bouger sur moi, il décolla légèrement son bassin de mes fesses, et bien positionné sur ses genoux, m’écarta les jambes un peu plus. Il libéra sa main droite et je la sentis se glisser sous mon ventre et s’enduire de mon foutre encore humide, il la retira et je l’entendis cracher. Aussitôt ses doigts humides s’introduisirent entre mes fesses pour humidifier ma rondelle détendue par l’écartement forcé de mes cuisses. Il se redressa légèrement et son gland se positionna sur mon anus.
— Non Youssef, je t’en prie, ne fais pas ça !
Je ne voulais pas me faire violer par mon frère, je l’aimais de toutes mes forces. Je voulais de l’amour, de la tendresse, mais surtout pas me sentir abusé de cette manière. Je sentais des larmes de colère et de peur me piquer les yeux. Sa queue se fit plus pressante et malgré moi, je sentis mon anus s’écarter sous la pression. La chaleur qui inonda mon cul se transforma rapidement en douleur. J’étouffai un cri en me concentrant sur l’objet de convoitise de mon frère, je me relâchai le plus possible et mon anus se détendit légèrement. En grognant il poussa son bassin en avant, je sentis son gland passer d’un coup et un cri s’échappa de mes lèvres.
Il continua à pousser, mais je sentais qu’il se retenait, qu’il poussait un peu moins fort afin que mon anus s’habitue doucement au volume imposant de son sexe. La douleur reflua, et sous le frottement de sa verge contre les parois de mes entrailles, ma queue se réveilla et se déroula sous mon ventre. La naissance de ce nouveau plaisir commençait à me procurer mille et une sensations délicieuses. La chaleur de son membre me comblait et c’est avec un petit sentiment de manque que je sentis son sexe se retirer doucement de moi, cet abandon ne dura qu’une seconde. Avec une infinie lenteur il me fit profiter de toute la longueur de sa virilité humide et vibrante. Des gémissements de plaisir s’échappèrent de mes lèvres.
Il se décolla de moi afin de me libérer, je me mis à genoux, mes mains posées à plat sur le lit, me cambrant un maximum. Il se glissa derrière moi, ses deux mains se plaquèrent de chaque côté de mes fesses afin de mieux les écarter et présenta son sexe brûlant et raide à l’orée de ma raie. Dans un grand cri il poussa violemment son bassin en avant. La pénétration fut brutale, mais combien attendue et le plaisir submergea la souffrance que provoqua la grosseur de son engin lors de son assaut. Tout mon corps frémit et c’est avec avidité que je reçus ce morceau de chair écartelant mon conduit. Youssef haletait sous l’effort en grognant de plaisir à chacun de ses énormes coups de bassin, sa pénétration était intense et toute en force. En y mettant toute son énergie, il ne pensait qu’à son plaisir grandissant, à sa victoire sur son petit frère qui lui avait révélé sa véritable identité sexuelle. Sa rupture avec Aline devait être toujours présente à son esprit, mais le fait de pouvoir assouvir ses fantasmes sexuels avec moi submergeait toute autre pensée. Les pulsations intenses à l’intérieur de sa verge se propageaient à travers mes muqueuses, ses mouvements devinrent plus violents, plus rapides, plus désordonnés. Des cris rauques sortaient de sa gorge et il s’enfonça une dernière fois en criant :
— Fabien !!!
Contrôlant ma respiration et les battements de cœur qui enflammaient ma poitrine, je pus me concentrer suffisamment pour que je puisse serrer mon anus sur son sexe lorsque ses testicules se cognèrent une ultime fois à mes fesses. Son mouvement fut stoppé. Me redressant aussitôt tout en relâchant mes muscles anaux, pris par son élan, son corps bascula en arrière et chuta en dehors du lit. Je sentis une partie de son foutre se répandre en moi et l’autre s’éparpiller sur mes fesses et le bas de mon dos lors de sa chute.
Je sautai hors du lit et me mis derrière lui au moment où il essayait de se relever, le pris à bras-le-corps en le poussant en avant. On s’affala en avant, le haut de son corps sur le lit, ses genoux à terre et moi derrière lui dans une même position. Ma main se posa sur ses omoplates pour lui plaquer le torse contre le lit. Je crachai dans mon autre main afin d’enduire mon sexe tendu à l’extrême. D’un doigt vorace et humide je testai l’élasticité du conduit de mon frère de plusieurs allers et retours. Mon doigt céda la place à mon sexe qui se plaça contre cet œillet palpitant et d’un grand coup de rein, tout mon être le pénétra.
Il hurla…
De plaisir…