ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs

Baisé par le directeur

Je m'appelle Pierre. Mon récit se déroule lorsque j’avais 19 ans. J’étais au lycée pro et il faut dire que mes notes n’étaient pas terribles... A vrais dire, je ne révisais jamais et je me disais que je n’aurais jamais mon Bac, pourtant je savais que c’était important pour commencer dans la vie.


J’essayais d’éviter particulièrement certains cours qui me donnaient la gerbe. Un jour, j’avais simulé un mal de ventre pour éviter un cours de math et me rendre à l'infirmerie. Celle-ci se situait à côté du bureau du directeur.


J'étais allongé sur le lit de l’infirmerie. Je réfléchissais. Un couloir et une porte me séparaient du bureau du directeur mais je l’entendais parler avec une femme. J’avais régulièrement fantasmé sur ce responsable en costume. Sa voix rauque m’excitait. Je bandais dans mon fut en imaginant qu’il allait me rejoindre dans cette petite pièce isolée.  


J’étais très chaud, et j’ai alors ouvert la braguette de mon jean pour me branler. J’étais tout habillé et j’avais juste la queue sorti. Je me masturbais. Ma main caressait ma bite. Mon prépuce recouvrait et découvrait mon gland rouge d’excitation. Je n’ai pas tardé à éjaculer trois gros jets de sperme par terre. Heureusement, il y avait des mouchoirs et j’ai pu tout nettoyer pour passer inaperçu. Mon fantasme s’est arrêté là, pour le moment.


Un mois plus tard, j’ai reçu mon bulletin scolaire et comme vous pouvez vous en douter, il était catastrophique. Je me suis donc fait convoquer par le directeur du lycée pour voir ce qui n’allait pas. Ces convocations étaient une habitude de l’administration bien ancrée pour booster les élèves en difficulté comme moi.


J’avais une certaine appréhension à l’idée de ce rendez-vous, mais en même temps, je fantasmais à l’idée de me retrouver seul avec cet homme bien bâti d’une quarantaine d’année.


Le jour venu, je suis donc arrivé à ma convocation. Le directeur m’a fait entrer et nous avons échangé les civilités habituelles : bonjour, comment allez-vous...


Je me suis assis sur la chaise que me présentait le directeur et nous avons discuté, enfin, mon directeur a parlé et m’a rouspété en faisant des va-et-vient dans son bureau.  Pendant ce temps, je regardais avec délectation son paquet mis en valeur dans son pantalon de costume. Je bandais. Mon gland mouillait et humidifiait mon boxer. Il était comme je l’avais imaginé en le regardant de loin, très bien gaulé et certainement assez sportif.


Un moment donné, j’ai soupçonné mon directeur d’avoir compris mon manège.  Pourtant, il n’a rien dit et m’a seulement conseillé de m’intéresser un peu plus à mes cours et que j’aurais ainsi mon Bac. Notre entretien s’est terminé.


Le reste de l’année est passé relativement vite. Je n’ai pas eu beaucoup l’occasion de voir mon directeur. Le Bac est arrivé et j’ai réussi à l’avoir, à vrai dire je ne sais pas trop comment… J’ai fini par croire que le directeur du lycée avait fait quelque chose pour.


Je suis repassé quelques jours après mes résultats au lycée pour récupérer ou déposer quelques papiers, je ne sais plus, et à mon grand étonnement, la secrétaire m’a signalé que je tombais parfaitement bien parce que le directeur voulait me voir.


J'ai donc attendu devant son bureau en repensant à notre dernier entretien. Je me suis mis à bander directement. Ce gars me faisait vraiment un effet dingue.


La porte s'est ouverte et il m’a dit d'entrer.


Il faisait chaud dans son bureau, et moi j'avais le sexe comprimé dans mon jean. Son grand bureau était toujours au même endroit dans la pièce, mais il avait ajouté quelques nouveaux bibelots dessus.


 Il m’a félicité pour mon Bac et m’a dit que je pouvais le remercier de m’avoir secoué durant l’année afin que je commence à faire mes révisions. Je me suis donc empressé de le faire mais j’ai très vite compris qu’il voulait en venir ailleurs. Il s’est rapproché de moi et m’a dit que j’allais avoir tout le loisir de le remercier tout en commençant à tripoter sa ceinture qui était au niveau de mon visage.


Il avait donc compris mon matage durant ma dernière convocation !


Il a débouclé sa ceinture d’une main et m’a attrapé la tête de l’autre pour la coller contre sa braguette. Il n’y avait plus de doute, il voulait me baiser et avait sans doute attendu que je ne sois plus élève du lycée pour le faire.


Je sentais sa bite dure à travers le tissu du pantalon de son costume. J’avais l’eau à la bouche et le boxer bien humide. Il a ouvert sa braguette et a sorti une belle bite nerveuse à l’odeur de mâle avec un peu de liquide qui coulait de son gland bien gonflé. J’ai pris en bouche ce gros morceau et j’ai commencé à aspirer, jouer avec ma langue et le pomper au mieux. L’odeur de sa bite était entêtante et m’a directement mis en chaleur.


Je jouais avec son sexe. Je le décalottais, le reniflait parce que j’étais vraiment accroc à cette odeur de mâle. Sa bite s’est rapidement retrouvée couverte de ma salive. J’adorais sucer mon directeur, lécher ses couilles…


Pendant 5 bonnes minutes, j’ai pu apprécier la saveur de sa pine. Ensuite, mon directeur a voulu prendre le contrôle. Il m’a tenu la tête et a enfoncé profondément sa matraque au fond de la gorge. Il s’est mis à me baiser la bouche. J’étouffais sous ses assauts mais il n’a pas tardé à jouir. Rassasié, il s’est retiré. J’allais cracher son sperme mais il m’a alors refourré sa bite pour me forcer à avaler.


Cette fellation m’avait beaucoup plu, cependant, j’étais un peu frustré que mon directeur s’arrête là. Mais j’ai très vite vu qu’il ne débandait pas. Il m’a demandé de me relever ce que j’ai fait promptement. Il m’a alors pris violemment et m’a couché sur le bureau. J’avais la tête et le ventre collés au bureau et le cul en l’air…


Le directeur m’a défroqué, il a baissé son pantalon de costume et  il s’est mis à jouer avec moi. Il tapotait sa bite contre mon cul, la faisait glisser sur ma rondelle... Je n'avais jamais était sodomiser et j’avais d’avoir mal, surtout qu’il ne m’avait pas ménagé pour me mettre en position… mais j’étais excité et je crois que je n’avais plus les moyens de dire non.


Pour me lubrifier le cul, il m’a craché sur la rondelle. Sa bite était encore luisante de salive. Il s’est positionné derrière moi, m’a agrippé les hanche et a commencé à appuyer avec son gland contre mon trou. Sa bite a commencé à entrer, tout doucement. Ça m’a fait assez mal mais je n’ai rien osé laisser paraitre. Une fois entièrement en moi, le directeur a attendu un peu pour que mon trou s’habitue puis, il a commencé un jeu en entrant et sortant totalement son morceau de mon cul. Il le faisait doucement et je ne savais jamais quand est-ce que sa matraque allait re-rentrer.


Puis, brutalement, il a entré une nouvelle fois sa bite en moi. Il s’est mis à me tenir fermement les hanches et à me labourer le cul. J’ai lâché des gémissements. Je ne savais plus trop si je prenais mon pied ou pas. Ma tête tournait.


Il m’a limé comme une bête pendant 15 bonnes minutes. J’étais son objet, juste un cul qu’il baisait et ça me plaisait. Sans même me toucher, avec les coups de bite du directeur sur ma prostate, j’ai éjaculé et giclé sur son bureau. Ça l’a énervé, il s’est mis à me baiser encore plus violemment en m’insultant.  


Rapidement, j’ai senti son souffle s’accélérer. Il m’a joui dans le cul en grognant. Une fois vidé, il est retiré en me regardant d’un air satisfait.


Pour une fois, j’ai eu le sentiment d’avoir donné de ma personne dans ce lycée.


Passif66666

 

Jeu 7 fév 2013 2 commentaires
Très bandante ton histoire. Je ne sais pas lequel des deux est le plus vicieux ? Ce qui est certain c'est que le jeune bachelier a pris un pied d'enfer que j'aimerais bien partager avec lui. J'ai mouillé et bandé grave à sa lecture. T'es un bon... Mec.
Raconte encore.
Je vais me coucher et je vous laisse imaginer le reste.
Tu écris bien,je crois que beaucoup aimeraient une suite !!!
Dorian.
Dorian - le 10/02/2013 à 00h08
Il m'est arrivé une aventure similaire. J'étais pensionnaire dans un lycée mais il m'arrivait de "feinter" la nuit pour aller au cinéma. Mais un soir le proviseur m'a aperçu. Le lendemain il m'a convoqué dans son bureau et menacé de me mettre à la porte ....
Sylvie - le 26/02/2014 à 11h54