ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs

Pipe au musée d'Orsay

A l’époque, je venais de fêter mes 19 ans. J'étais en fac de lettres à Paris. Durant le week-end de l’ascension, je ne suis pas rentré chez mes parents qui vivaient dans le Sud de la France.

 

Après avoir bossé comme un taré du mercredi au vendredi, j’ai profité de ce samedi après-midi très doux, pour aller à pied au Musée d'Orsay. Bien m'en a pris, outre les toiles dont je me suis régalé, j'ai connu ma première fellation opérée par un mec durant cette visite fort instructive...

 

Arrivé sur place, j’ai décidé de participer à la visite guidée et je me suis retrouvé avec un grand groupe dont le guide, un jeune homme avenant, me regardait sans cesse. Ainsi, je suivais ses explications depuis une demi-heure environ, quand hasard des déplacements de la foule, ce dernier s’est trouvé derrière moi. J’ai été un peu surpris car je ne m’y attendais pas.  Il continuait ses explications, comme si de rien n'était.

 

Imperceptiblement, le jeune gars m’a alors frôlé les fesses, comme par inadvertance, ce qui a eu pour conséquence de me mettre extrêmement mal à l’aise. Il s’est excusé tout de suite lorsque je me suis retourné vers lui mais quelques secondes plus tard, il m’a soufflé très bas, de manière à n'être entendu uniquement que par moi « si ça se trouve, tu en as envie ? » et, associant le geste à la parole, il m’a carrément mis la main au cul. Je me suis senti rougir illico et je me suis dégagé immédiatement de cette caresse inattendue, la première venant d'un mec.

 

Curieusement au lieu de sortir directement du musée, j’ai continué la visite car j’étais partagé entre la honte et l'envie de découvrir quelque chose de nouveau qui m’excitait. Mon érection, plaquée par mon boxer contre mon ventre, le prouvait.

 

Quand la visite s’est terminée, le jeune guide s’est approché de moi et m’a glissé « tu vois la petite porte à droite? C'est derrière celle-ci que je fais ma pause. Je raccompagne le groupe jusqu'à la sortie, j'en ai pour quelques minutes. Si tu veux, tu peux entrer… ».

 

Complètement désorienté, j’ai senti le désir monter une nouvelle fois en moi. J’ai recommencé à bander et pour éviter d’être vu dans cette état maintenant que le groupe s’était dispersé, je me suis précipité dans la petite pièce.

 

Lorsque j’ai la bite au garde à vous, j'ai un grand défaut que certains jugent comme un avantage, je mouille énormément. En l’occurrence, dans la pièce de pause, je sentais mon sous-vêtement se remplir de mon liquide doux et chaud que j’aime goûter avec délice durant mes masturbations. J'étais en train de m'essuyer les poils du ventre quand le guide est entré. Pudeur ridicule, j’ai rabaissé aussitôt mon vêtement pour cacher ce que j'étais venu lui offrir.

 

- N'en fais rien, me dit-il. Au contraire c'est très bien, laisse-moi cette tâche ! Tu ne vas pas être déçu.

 

Je ne l’ai pas été en effet. Après avoir donné un tour de clé, il s’est collé à moi et m’a roulé des pelles magistrales tout en me caressant la bite et les couilles sur lesquelles il insistait avec une grande douceur en frottant sa queue contre la mienne et en poussant des gémissements ininterrompus. Nous nous sommes retrouvés à poils sur son petit lit de repos où il a commencé à me sucer avec une gourmandise incroyable tout en me branlant.

 

Dépassé par ce qui m'arrivait mais tellement heureux de me sentir pompé avec autant de vigueur, je me suis laissé faire, allongé sur le dos, en extase comme jamais.

 

Soudain, j'ai senti que j'allais juter. Je soulevais mon cul. Mes muscles se contractaient. Mon suceur a compris, a sorti ma teub de sa bouche chaude et m’a dit « vas-y, j'avale tout ». En entendant son ton impératif j’ai accepté et j’ai tout de suite éjaculé. Je lui ai déchargé une giclée d'une dizaine de coups dans la gorge, puis je suis retombé sur le lit. Il m’a encore sucé un long moment pour me nettoyer la bite, puis il est remonté vers ma bouche et m’a embrassé avec mon foutre. Hummm

 

Il m’a lâché la bouche après son baiser fougueux, s’est cabré et s’est branlé sauvagement pendant quelques minutes devant moi. Il a fini par m’envoyer enfin un grand jet de son sperme qui s’est mélangé aux poils de mon torse, puis il m’a demandé de nettoyer à mon tour son sexe ce que j’ai fait avec plaisir car le goût du sperme m’attirait. Après quoi, il m’a embrassé pour goûter à son propre sperme.

 

Tous les deux vidés, nous nous sommes enlacés, couchés l'un sur l'autre, en parlant de ce qui venait de se passer, de  bites, de couilles, de manches… Je suis retourné à plusieurs reprises au musée, jusqu'à ce que mon guide me donne son adresse, où je me rends maintenant régulièrement. Ce mec me fait jouir comme personne. En écrivant ce souvenir, j'ai bandé comme un malade...et j’ai mouillé grave, bien sûr.

 

Dorian

Mar 8 jan 2013 Aucun commentaire