ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs

Mon maître nageur Voila 3 ans de cela, j'ai pris des cours de natation. Au commencement je n'aimais pas trop du fait que j'étais le seul à ne pas bien savoir nager et surtout que c'était tout les vendredis soirs de 19h à 22h. Mais je m'y rendais malgré tout, conscient de ce que ce sport pouvait apporter à mon développement musculaire. Il y avait aussi une autre raison : Carmine, le maître nageur !
Tout en lui évoquait mes fantasmes. Il était grand, bâti comme un nageur de compétition avec une légère toison velue sur ses muscles saillants, tout ce qu’il fallait là où il le fallait, brun, la peau légèrement mate et les yeux noisette. Un magnifique italien ! Il souriait tout le temps, il avait ce petit accent italien charmant qui le rendait vraiment craquant. Il était arrivé en France après son bac, à 19 ans. Maintenant il en avait 27. 

La nuit après l’entraînement, je continuais à penser à lui en me caressant et ça ce terminait toujours par une éjaculation inondant mon torse de sperme bien chaud. Mais un soir tous mes fantasmes allaient prendre vie.

Ce soir là, le cours tirait à sa fin et je me noyais dans la contemplation du corps de Carmine, de ses muscles jouant sous sa peau, de ses yeux brillants, et surtout je me perdais à reluquer son maillot qui ne cachait presque rien de son gros membre même pas en érection. 

Me sortant de mes rêveries orientées dans son slip de bain, Carmine m’a demandé de rester pour l'aider à ranger le matériel dont on s’était servi ce soir là. Il fallait bien que ça tombe sur moi un jour, j’y échappais tout le temps pour pouvoir rentrer le plus vite possible pour me vider les couilles en pensant à son corps magique. Nous avons donc rangé le matériel et discuté un peu ensuite. Je ne me lassais pas de l'écouter parler des choses les plus anodines, et la discussion avançant, il a commencé à parler de sexe. J’ai eu une érection. Et quand on est en petit slip de bain, c’est impossible à cacher. Il s’en est évidemment aperçu. J’étais un peu gêné mais j’ai fait comme si de rien n’était.
Mais j'ai alors vu son sexe gonfler sous son maillot. J'étais à deux doigts de lui dire qu’il me plaisait énormément, de lui sauter de dessus en l’embrassant avidement… mais il a changé de sujet mettant un terme à notre discussion.

J’ai donc pris le chemin des douches pendant que Carmine terminait son entraînement personnel par quelques longueurs en papillon. Sous la douche chaude je détendais mes muscles alors que mon sexe était encore en émoi après la brève discussion cul. Je ressentais des frissons de délice, l'eau chaude coulait sous mon maillot, dans lequel je glissais mes mains. Je commençais à me caresser en pensant à Carmine, son membre et ses fesses moulées dans son speedo blanc de maître nageur. 

C'est à ce moment que j’ai senti des mains me saisir par la taille et remonter vers mes pectoraux pour les caresser langoureusement. Je ne l’avais pas entendu arriver. Sa bouche s'insinuait dans mon cou pour m'embrasser tendrement. Je me suis retourné pour me retrouver face à lui, il bandait si fort que son chibre sortait à moitié de son speedo. Il se colla à moi, son érection collée sur mon ventre, sa bouche sur la mienne et sa langue dans ma bouche. Ma queue était maintenant très serrée dans mon slip de bain, elle demandait à être sortie rapidement de là. Il a eu vite fait de remédier à ce problème en me le retirant tout en couvrant mon torse ruisselant de l’eau de la douche de baisers et de coups de langues sur mes tétons, mes abdos, mon nombril, mon pubis... Puis il s’est agenouillé devant moi et a embrassé ma queue bien raide, pleine de sève, qui pointait vers le ciel, il m’a décalotté et j’ai senti une sensation de chaleur intense sur mon gland quand il l'a apporté à ses lèvres. Il a englouti ma bite complètement. Il s’est relevé et m'a embrassé à pleine bouche, nos langues se sont mélangées, entremêlées sur un rythme plus soutenu, celui de la délivrance intervenant lorsque deux âmes comprennent qu’il est désormais possible de s’abandonner à l’autre.

Il me serrait contre lui, me massant les muscles des fesses virilement, ma bite au fond de sa gorge. Il a retiré son maillot, s’est levé et a pris le savon pour s'enduire les mains. Il s’est mis à me caresser partout tandis que ma bite allait exploser tant je l’avais dure. Il me savonnait énergiquement mais tendrement à la fois. Ses mains se sont attardées sur mes abdos pour longer mes hanches jusqu'à mes fesses. Je sentais ses mains fermes me pétrir tous les muscles. Il était maintenant derrière moi, collé contre moi entrain de m’exciter les tétons et je sentais sa queue bien dure dressée à la verticale au niveau de mes fesses et de mon bas-dos.

Après nous être rincés, il s’est agenouillé devant moi et sa bouche s’est posée sur mon chibre. Il commençait à me sucer. Sa langue s'attardait sur la fente de mon gland, ses mains caressaient mes couilles. Il a pris mes couilles en bouche et les a sucées langoureusement. Une douce volupté m'envahissait tout entier, le plaisir montait dans ma verge jusqu'à des sommets insoupçonnés. 

Ses mains ont glissé dans la fente de mes fesses. Il a touché un point qui a empli mes reins de chaleurs. Je sentais sa langue qui entrait dans mon intimité alors que sa main caressait ma queue. Ensuite il s’est retourné vers ma queue et il a recommencé à sucer avidement mes 17cm, j'allais exploser dans sa bouche mais il s’est arrêté au bon moment, me laissant malgré tout sur ma faim. 

Il est venu m'embrasser, sa bouche était pleine de salive et d’eau qui coulait encore. Il m’a pris par la main en m’a emmené dans son vestiaire perso. Alors, il a pris ma queue à nouveau et il l'a enfoncée vers son cul. Il se frottait à ma bite. Il s’est penché un peu vers son sac, ma queue était sur le point d’entrer, elle frôlait son trou, il a attrapé un préservatif et un tube de gel dans son sac. Il m’enfila la capote sans même se retourner et badigeonna du gel en me branlant à travers la capote. Et d’un seul coup, il s’est cambré et je suis entré d’un coup en lui. Il faisait tous les mouvements lui-même, j'étais là à regarder dans le miroir en face sa bite énorme qu’il branlait.
Je lui ai saisi ensuite son pic fièrement dressé et j’ai commencé à le branler pendant que je le prenais. Ma respiration commençait à devenir de plus en plus rapide, j'étais sur le point d’abandonner ma semence lorsqu’il s’est retiré. Il a enlevé rapidement la capote et a recommencé à me sucer encore. Je ne pouvais plus tenir, j’étais trop excité et j’ai fini par lui lâcher une bonne quantité de sperme bien épais en bouche. Plusieurs saccades lui ont rempli le gosier. Il aimait ça visiblement. Ses yeux avaient l’air de me dire « donne m’en encore ! ». Il faisait tourner ce liquide chaud dans sa bouche avant de se relever et de m’embrasser avec. 

Apres m’être remis de cette décharge tant attendue, j’ai tendu mes mains vers sa bite, dotée de dimensions supérieures aux miennes. J’ai posé mes lèvres sur le carmin de son gland et il gémit au contact de celles-ci, je m'empressais de le prendre en bouche même si je pouvais seulement le prendre à moitié, je léchais sa queue en suivant les veines qui s'y trouvait, je recommençais à bander encore. Je m’efforçais d’en engloutir le plus possible à chaque fois.
Au bout de quelques minutes de suce intense, j’avais très envie de sentir sa queue en moi. Je me suis alors mis en position pour le recevoir, debout, une jambe sur le petit banc du vestiaire, et penché en avant pour qu’il puisse mieux me la mettre. Il pointait son gland vers mon trou et s’amusait à m’exciter davantage et ne pénétrant pas immédiatement. Il se penchait vers mon trou et faisait entrer sa langue à nouveau en moi. Après trois bonnes minutes de lèches intenses, il s’est relevé et m’a enfilé lentement, pour laisser place à ses 19cm et à ses 5cm d’épaisseur. Au départ, il était très doux avec quelques bisous dans le cou et ensuite il accélérait. J'aimais la cadence qu’il me donnait. Il m’enculait de plus en plus rapidement, il me labourait virilement le cul, mais que c'était bon. Je m’abandonnais complètement à lui. J’entendais son bas ventre claquer contre mes fesses. Ce bruit rythmait ces instants magiques de baise intense et profonde. Il accélérait encore le rythme et d’un seul coup s’arrêtait, puis reprenait, tout en m’emmenant jusqu’au bord de l’extase à chaque fois. Plusieurs fois de suite il a recommencé ce rythme si frustrant mais si bon. Je me branlais en même temps, le voyant se déchainer sur moi dans le miroir, son visage visiblement concentré sur le plaisir qu’il s’efforçait de me donner. J’étais aux anges sous ses coups de boutoir. Puis il a ré-accéléré pour enfin pousser un cri de plaisir, et a lâché son sperme dans mon cul. Je sentais sa bite se durcir dans mon cul à chaque jet de foutre.
Je continuais de me branler quand il s’est retiré. Il a enlevé sa capote pour en faire glisser son jus dans sa bouche et il m’a embrassé encore une fois, avec sa semence en bouche. Et sans dire un mot, il me remmenait vers les douches. Là encore, il me suçait, voyant bien que j’allais partir de nouveau, il a pris ma bite en main et il lui a donné quelques coups de lèches. Lorsque je commençais à tressaillir à l’approche de la jouissance, il s’est approché de mon chibre. C’est alors que j’ai encore laissé échapper quelques bonnes goutes de mon liquide blanc sur son visage désormais comblé. Son sourire de beau latin en disait long sur son état de satisfaction.
Ce soir là, je suis rentré chez moi plutôt épuisé mais satisfait et comblé par l’entraînement. J’avais mal à la bite mais l’esprit ailleurs. Je me suis endormi sans même me toucher, mais toujours en pensant à lui. J’avais tellement hâte de le retrouver que je me suis mis à fréquenter d’autres cours de natation qu’il donnait, et après les entrainements, c’était toujours aussi bon. Aujourd’hui, on a emménagé ensemble, et comme ça j’ai mon bel Italien sous la main !
Alvaro
Jeu 4 oct 2012 Aucun commentaire