ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs
Je m’appelle Denis, un céfran de 19 ans. J'habite Alençon et je suis apprenti dans une entreprise de BTP. Je suis homo et célibataire. Je n’ai pas eu beaucoup d’expérience avec les mecs. Je n’ai eu, à ce jour, que deux relations sexuelles dans ma vie. Voilà mon récit :
Lundi dernier vers 8h00 du mat, Je suis arrivé à mon boulot et mon patron m’a donné ma nouvelle feuille de chantier pour la semaine. Il avait décidé de m’envoyer sur une maison à retaper avec deux collègues que je ne connaissais pas. Mon entreprise est tellement grande (180 employés) que je ne connais pas toujours mes collègues de boulot.
Mon boss m’a donc présenté à mes collègues qui se sont révélés être deux turcs d’une trentaine d’années avec. Ils avaient des visages assez rudes, comme usés par le travail. Après nous être salués, nous nous sommes dirigés vers le camion pour nous rendre sur le chantier.
Arrivés sur les lieux, les deux turcs ont sortis de la camionnette un pack de bières et m’ont proposé d’en boire une.
J’ai bien sûr accepté car c’est toujours cool de débuter le travail par une bonne binouze. Ça permet de faire connaissance avec les potes de chantier.
Les deux travailleurs parlaient assez mal le français. On avait un peu de mal à se comprendre mais les gestes nous
permettaient de nous en sortir. On a débuté la journée en bossant sur les cloisons. Il faisait super chaud, mes deux collègues turcs se sont donc mis torse nu pour être plus à l’aise.
Ils avaient des corps bronzés, puissants, musclés et velus. Tout blanc et plutôt imberbe, je paraissais bien frêle par
rapport à eux. En se foutant à moitié à poil, ils ont commencé à bien m’exciter ces deux mâles!
Au moment de la pause-déjeuner, Ils m’ont proposé une autre bière. Au fil de la conversation (et après trois-quatre
bières) nous avons échangé sur nos vies respectives. Ils m’ont demandé si j’avais une copine. Je leur ai répondu que non… Ils m’ont aussi raconté leur vie en me disant qu’ils étaient mariés et
avaient des enfants...
Après nos quelques bières, un des deux turcs s’est levé pour aller pisser non loin de nous en tenant dans notre direction
sa queue bien épaisse. J’ai forcément levé les yeux pour mater mais je me suis fait griller par l’autre turc. Il a capté que je matais son pote pisser. Il s’est à son tour levé pour pisser en
parlant turc à son collègue. Ils ne voulaient pas que je sache ce qu’ils se disaient. Je commençais à flipper un peu…
Le truc s’est mis bien face à moi tout en pissant et son pote me scrutait pendant que je regardais cette bite en train de
pisser. Il m’a dit « Tu veux lui nettoyer la queue où quoi ? ». Je suis resté sans rien dire mais j’avais une envie folle de lécher cette bonne queue de turc…
Les deux mecs avaient gardé leur bite à l’air. Celui qui avait fini de pisser, commençait à bien bander. Sa queue était raide et très épaisse. Il m’a ordonné de la lui téter. Je me suis mis tout de suite à genoux pour bien sucer cette bonne queue de turc. Son pote a fini de pisser et s’est rapproché de nous pour que je lui nettoie sa bite avec ma langue. J’ai foutu direct sa teub en bouche pour la nettoyer pendant que son pote tenait sa queue à la main et se branlait. Elle avait un bon goût de bite de mâle. Je salivais comme un fou.
Je me suis donc retrouvé avec deux grosses queues à sucer alternativement. Les deux mecs continuaient à se parler en turc. Je ne comprenais rien.
Après les avoir bien nettoyé, l’un des deux turcs (celui qui avait la plus grosse pine), m’a demandé de lui offrir mon trou. Je lui ai dit que je voulais juste sucer et que j’étais vierge du cul. J’ai bien vu que l’idée de me dépuceler lui faisait de l’effet. Il m’a empoigné et m’a dit « chez nous, les turcs, on encule les lopettes comme toi pour prendre notre pied ». Je n’avais pas vraiment le choix, ils étaient deux contre un…
Du coup, pendant que j’en suçais, j’ai commencé à sentir l’autre m’écarter les fesses pour me mettre sa grosse bite brune dans le cul. Il m’a craché dans le cul pour bien me lubrifier et a présenté son morceau devant mon trou. J’ai essayé de résister au début mais à chaque fois que je repoussais le mec, son pote m’enfonçait son gros pieu dans la bouche bien au fond pour que je me laisse faire.
Pour bien me fourrer, le mec m’a à nouveau mollardé le cul pour bien le graisser. J’ai senti son chibre pénétrer dans mon
trou. J’ai encore serré les fesses pour ne pas me faire niker car je n’avais jamais essayé et je ne savais pas si ça allait être douloureux. Le seul résultat que j’ai obtenu, s’était d’avoir
excité encore plus le mec qui sentait sa bite bien serrée par mon cul.
Il a enfoncé le reste de sa queue, jusqu’aux couilles, d’un seul coup. J’ai alors senti monter en moi une chaleur inconnue qui m’a donné envie d’être la pute de ces deux turcs. L’un me limait la bouche et l’autre le fion. J’étais complétement défoncé.
Je me suis mis à me branler en m’offrant totalement ces deux ouvriers virils. Mes trous étaient à la disposition de leurs pines de turcs. Le 2ème avait aussi envie de me défoncer le cul. Il a demandé à son pote de lui laisser la place mais le mec ne s’arrêtait plus et continuait à me baiser comme un bourrin. Il n’a pas tardé à jouir dans mon cul. Je n’ai pas eu le temps de m’en remettre que déjà son pote turc me défonçait aussi. Rassasié, le premier turc s’est allumé une clope pendant que son collègue me déchirait le trou avec sa pine épaisse. Il se défoulait sur mon boul de pute.
Il a rapidement éjaculé en me lâchant sa semence dans mon cul dilatée. Après cette bonne partie de baise, nous avons
repris le boulot… Autant vous dire que pendant toute la semaine, les deux turcs se sont servis de moi comme vide couilles et j’ai kiffé.
Denis Alençon
Histoire sympa à lire.
Excitant de savoir qu'à Alençon, ville où j'habite avec mon mec, il y a des jeunes chauds.
Reconfortant quand on sait le mal qu'on a de trouver en ville des mecs pour plan à 3