ScénarX : Histoires gay et récits entre mecs
Je me présente, je m’appelle Gaétan, j’ai 22 ans et je suis à l’université en fac de sciences po. Je suis gay, je mesure 1m79 et je fais 74 kg de muscles et je suis bien dessiné. Les coups d’œil des gars à la salle de muscu m’en ont convaincu ! Je suis brun, yeux marrons et légèrement poilu. Pas un yéti, mais juste ce qu’il faut, une légère toison qui laisse quand même voir mon torse dessiné.
Je vais vous raconter ce qui m’est arrivé l’autre jour à la fac. C’était un mardi, et ce jour-là, je fais du 8h-20h avec seulement une pause entre 14h et 17h. Le matin, 6h de cours magistraux, l’après-midi, 3h de travaux dirigés. Mon amphi fait environ 350 personnes, en théorie. En ce moment, on tourne plutôt autour de 200. Et parmi toutes ces personnes, j’ai sympathisé avec 2 filles et un mec. Ce mec, je fantasme sur lui depuis la première année. Mais bon, je ne lui ai jamais dit. Il est hétéro, a une copine depuis un bout de temps et de toute façon ne semble pas du tout intéressé par les mecs. Ce mec, Sébastien, est toujours avec moi en TD. En fait, on a exactement les mêmes matières et options donc ça nous a rapprochés naturellement. Avec son sourire charmeur, ses yeux bleus pétillants de malices, ses beaux cheveux blonds, son cul parfait dans ses jeans levis ou diesel et ses pectoraux joliment dessinés sous ses polos, t-shirts ou pull serrés ! Vraiment un beau gosse !
Ce matin-là, donc, j’arrive dans l’amphi un peu à la bourre. Une branlette matinale m’a mis un peu en retard. Ça arrive. Il a encore fallu que je m’imagine sucer Sébastien pour exploser. Le prof d’amphi me voyant arrivé en retard, me fait une réflexion vache, les étudiants m’ont tous fixé, bref, j’ai pris la honte. Surtout que je cherchais Sébastien du regard pour m’installer à côté de lui et profiter de ses blagues. Je cherchais mais ne le trouvais pas. Je finis donc par trouver une place à côté de mes deux copines. Le cours continue tranquillement. A la première pause, celle de 9h, je vais chercher un café avec les filles et elles m’apprennent que Seb est malade et qu’il ne viendra pas aujourd’hui. Merde ! Il aurait pu prévenir ce con ! La journée s’annonce particulièrement longue sans lui pour plaisanter (et pour le mater discrètement)!
La matinée suit son cours. Nous voilà au deuxième CM de la matinée. Au bout de la première heure, les filles veulent partir déjeuner dans le centre-ville. Etant donné que c’est ma matière
préférée, je décide de ne pas les accompagner. Journée de merde !! Vraiment !
A la pause avant la dernière heure, je me rends compte que finalement, il y a pas mal de beaux mecs dans mon amphi. Aveuglé par Sébastien, j’avais pas vu tout ça. J’en vois 4 qui discutent ensemble à ma gauche, visiblement ça parle foot : dommage, ils sont pas mal. Un autre gars au fond de la cour qui discute avec une fille. Vraiment top lui aussi. J’en ferai bien mon 4h. Ah zut, il embrasse sa copine sur la bouche. Loupé ! Et les 3 mecs qui présentent leur asso d’œnologie sur une table à côté de la porte de la cafétéria sont plutôt beaux gosses aussi. Ah, mais ceux-là ne sont pas de mon amphi. Des étudiants en droit à tous les coups. Perdu dans mes pensées, je vois que l’heure de rentrer en amphi est passée. Effectivement, ils sont tous rentrés. Je me dépêche.
En gravissant les marches de l’amphi jusqu’à ma place, je m’aperçois que les 4 mecs qui parlaient foot sont assis juste derrière moi. Et le mec qui a embrassé la fille est juste devant moi. Le cours continue. Le mec de devant a son tel qui n’arrête pas de vibrer. Sa copine doit aussi s’emmerder en cours. Il échange des sms depuis bientôt une heure. Et là, le prof ayant remarqué qu’il n’avait visiblement pas l’air très captivé par son cours, l’interpelle d’en bas alors qu’il avait son téléphone dans les mains. Du coup, il pose son téléphone. Et là, je m’aperçois qu’en fait il est en train d’envoyer des sextos. Une photo de lui en boxer est en grand sur son écran. Je ne voyais pas très bien mais suffisamment pour dire qu’il était à mon goût et que, illusion d’optique ou pas, la bosse de son boxer était intéressante. Le coquin !! Il s’excuse auprès du prof. Le prof reprend son cours et lui son téléphone. Je me penche un peu en avant pour essayer d’en voir un peu plus mais il met son tel devant lui. Je ne vois rien. Dégouté ! Il tape son message, fait sa manip et pose son téléphone. Et là, qu’est-ce que je vois : message bien envoyé à Fabien Fac.
Ça se bouscule dans ma tête. Il organise un délire avec un pote, il prévoit un plan à 3… Il a un amant ? Qu’en dire ? Il faut que j’en ai le cœur net et savoir ce qui se trame dans l’esprit de ce beau brun d’1m80 aux épaules carrés, à la mâchoire de viking et un si beau cul. Je passe à l’action pour le premier contact. Je laisse rouler un effaceur devant moi qui va tomber à côté de lui. Il ne bouge pas. Ni une ni deux, je lui tape sur l’épaule et lui demande :
- Steuplait, j’ai fait tomber mon effaceur, tu veux bien me l’attraper ?
- Ouais ouais, attend.
Et il me tend l’effaceur. Je lui prends, m’excuse et le remercie. Il se retourne et reprend son téléphone. Il a de beaux yeux verts.
Il continue d’échanger des sms mais je ne réussis pas à voir. A la fin du cours, il rangeait ses affaires, je lui adresse la parole.
- Désolé pour l’effaceur.
- Non non c’est rien. Ça arrive ! me répond-il.
- Oui.
- Bon, bah à demain, je vais manger, je tiens plus.
- Euh ouais. Bon ap. Ah euh, attend, on a cours de philo politique demain ?
- Oui oui. Mais par contre le prof d’anglais sera absent toute la semaine.
- Ah bon ? Pas cool, c’est lui qui me fait les TD du mardi aprem. Bon bah j’ai 4h30 à perdre cet aprèm.
- Ah ouais pas cool en effet ! Bon courage ! Moi je rejoins des potes tous les mardis aprèm. Ça permet de faire passer le temps avant le cours de média.
- Je devrais penser à en faire autant, dis-je. J’irai à la muscu dans ce cas. Bon ap alors !
- Merci à toi aussi.
- Merci.
Nous nous séparons, descendant l’amphi chacun par une travée. Et en fait, je m’aperçois qu’on va au même endroit ! Au Resto U. Je décide de le laisser un peu devant moi pour pouvoir lui mater son beau derrière. Il arrive au guichet pour acheter les tickets. Et là je le vois un peu désemparé. Je m’approche.
- Ah bah finalement tu es là aussi !
- Ouais. Je suis deg, le guichet est déjà fermé, j’ai plus de ticket, me dit-il.
Comme quoi, il faut toujours avoir un ticket de RU en avance, c’est comme les capotes !
- Bah tiens je t’en file un tu me le rendras dans la semaine.
- Ah super c’est cool. Merci bien. Tu m’enlèves une épine du pied. J’aurais été obligé d’aller au mcdo sinon et j’en n’ai vraiment pas envie me répondit-il.
Là je lui rétorque :
- La bouffe du RU n’est pas franchement meilleure !
- Oui tu as raison, mais c’est moins cher.
- Exact ! Moi c’est Benjamin.
- Enchanté, moi c’est Gaétan.
- On mange ensemble, ou tu rejoins des amis ?
- Mangeons ensemble !
Et nous voilà partis à faire connaissance. Il me raconte un peu sa façon de voir la communication politique (en rapport avec notre dernier cours). Je lui tiens la conversation mais mon esprit est beaucoup plus occupé par des choses un peu plus triviales. Le repas s’achève, nous sortons du RU. Il me tend une cigarette.
- Tiens, c’est pour te remercier de m’avoir dépanné.
- Ah, merci. Comment tu sais que je fume ?
- Je t’ai déjà vu fumer pendant les pauses.
- Ah OK.
- Tu fais quoi maintenant, tu vas à la muscu tout de suite ?
- Non, je vais digérer un peu à la B.U.
- OK. Bon, bah passe un bon aprèm.
- Merci toi aussi. Au fait, t’es bien dans le cours de média de 18h30, non ?
- Oui oui.
- Bon, bah à tout à l’heure alors. Et tu essaieras de ne pas envoyer trop de messages pendant le cours. ! Au moment où je disais ça, je lui fais un clin d’œil.
Il répond un peu gêné :
- Euh ouais, c’est ça.
Avant de se reprendre :
- Et toi de ne pas arriver en retard ! A toute !! dit-il en me rendant mon clin d’œil.
Je le vois partir, plutôt intrigué par ce clin d’œil d’un mec qui n’aurait pas froid aux yeux. Au bout de 15 secondes, il se retourne et revient vers moi.
- Excuse-moi, tu me dépannes un repas et je te lèche comme ça… je te lâche comme ça, enfin je t’abandonne sans
même te proposer de passer l’aprèm avec mes potes.
J’esquisse un sourire.
- Joli lapsus !
- Rhô ouais, quel boulet je fais des fois.
- Mais non, ça arrive ! Répondis-je.
Un blanc s’installe. Il le rompt aussitôt :
- Alors pour ma proposition ? Sauf si tu tiens vraiment à passer à la BU et à la muscu bien sûr.
Je lui en demande donc un peu plus sur ses plans de l’aprèm avant le cours de média. Il me répond :
- Wii, jeux de carte, dvd, ça dépend de nos envies.
- OK. Ça me va ! Un petit écart de temps en temps, ce n’est pas dramatique !
Et là, je suis sur le cul. Il me dit :
- ouais, d’autant que tu es déjà bien foutu, donc ce n’est pas une fois qui va changer la donne !
Je ne dis rien. Mais je le suis, de plus en plus intrigué par ce mec qui a roulé une galoche à sa copine à la pause et qui est maintenant à la limite de me faire des avances !
5 minutes plus tard, on arrive chez lui. Il me dit de me mettre à l’aise. Je sors un bouquin de façon nonchalante en m’installe sur le canapé. Il me propose un café et vient s’asseoir sur le canapé à côté de moi.
- Qu’est-ce que tu lis ? me demande-t-il.
- Fiesta pour trois : un bouquin d’un auteur argentin sur les relations compliquées entre 3 personnages pendant la dictature Perron.
- Intéressant !
- Ouais c’est assez bien fait… et il y a des passages assez chauds dedans en plus.
- Ah bon ? Quel genre ?
- Genre, à la limite de l’érotisme.
- Ah ouais, et t’as pas peur d’avoir la trique en lisant ça ?
Je lui réponds :
- En quoi ce serait gênant ?
- Bah, si t’es dans le métro par exemple…
Je lui dis alors que ça m’est arrivé une fois mais que personne n’avait rien remarqué, le large manteau d’hiver aidant à dissimuler ma raideur. Je lui propose ensuite de lui prêter le bouquin une
fois achevé. Il approuve.
A ces mots, sa sonnette retentit. Il décroche l’interphone et appuie sur le bouton situé en haut à gauche de l’appareil. Il se retourne et m’annonce que 2 potes arrivent. Un autre suivra.
Les amis de Benjamin sont maintenant tous arrivés et nous avons commencé une partie de tarot à 5. On s’amuse bien et le jeu aidant j’apprends à faire leur connaissance. Il y a d’abord Franck, 22 ans, petit, brun ténébreux et plutôt stylé rugbyman. Il y aussi Jean-Baptiste, 23 ans, châtain foncé, les cheveux longs à la Justin Bieber, très looké « Paris 16ème », 1m79 et environ 65kg tout mouillé. Pas une crevette, mais pas loin. En tout cas, tout à fait minet. Et il y a enfin et surtout Raphaël, 24 ans, un des membres de mon groupe de muscu. J’ignorais qu’il connaissait des gens de mon amphi. Il étudie la géographie. Toujours bien habillé mais plutôt cool, il est super bien foutu, des abdos à tomber par terre, des pecs ultras bien dessinés, des fesses bien rebondies, une petite fossette furieusement charmante quand il sourit, des cheveux bruns et courts, une barbe de 3 jours et des petits yeux verts à faire fondre n’importe qui.
Soudain, Benjamin touche apparemment enfin un bon jeu. Même un excellent jeu selon ses dires. Il annonce alors, triomphant, « garde sans ». Je passe les détails pour les non joueurs de tarot mais c’est un gros risque qui ne se prend qu’en présence d’un jeu tout bonnement excellent. Et, il en rajoute :
- Les mecs, si je ne la fais pas celle-là, je vous suce la queue jusqu’à la fin de mes jours !
- Chiche ! répondit Raphaël.
On se regardait tous et on acquiesçait.
L’enjeu était donc simple : le faire perdre !! J’en mourrais d’envie.
Le jeu suit son cours et il commence à jouer. Il débute plutôt bien. Au bout de 3 plis, Franck se lève :
- Je vais pisser les mecs, je ne tiens plus !
- Oh non ! Pas maintenant !! lui répond Jean-Baptiste.
- Désolé, mais là c’est urgent. » En prononçant ces mots, il se touchait la bite. J’avais l’impression qu’elle avait pris un peu de volume. Visiblement je n’étais pas le seul à l’avoir remarqué.
Une fois Franck dans les chiottes, Raphaël dit à la tablée :
- Je crois qu’il est allé se vider les
burnes.
Je ne dis rien. Benjamin, qui prenait son jeu visiblement au sérieux, rétorquait :
- Les mecs, ça suffit de vouloir me déconcentrer avec des histoires de bite. Je vais vous enculer de toute façon. Mon jeu est trop bon.
- Et bien montre-nous ça alors ! Je suis certain qu’on a tous hâte de voir ça » répondit JB.
- Tu vas voir, t’inquiète pas.
Franck revient des chiottes. Les remarques fusent dans tous les sens. Franck ne dément pas être allé se vider les couilles. La partie reprend. L’atmosphère du jeu est plutôt tendue. Mon slip ES
aussi.
Arrive la fin du jeu. A la surprise générale, une faute de jeu a été commise. Tout le monde a deux cartes dans les mains sauf Benjamin qui n’en a plus qu’une ! Les joueurs râlent. A cet instant,
Raphaël annonce :
- alors comme ça monsieur Benjamin voulait nous enculer et n’est même pas capable de jouer correctement !! Bah bravo monsieur l’expert. Je vous félicite. Vous avez gagné l’autorisation de me
sucer la bite jusqu’à la fin de vos jours. Et sans toucher votre boxer rouge monsieur.
Visiblement, Raphaël aussi a reçu le mms du matin.
A la surprise générale, Benjamin dit :
- ça ne serait pas la première fois que tu te fais sucer la queue par un mec toi !
- ah oui tu crois ça ?
- exactement. Tes plans avec Fabien…
Raphaël semble un peu gêné de cet outing. Mais les autres le mettent tout de suite à l’aise. Le temps de cette courte conversation, je comprends donc enfin la situation. Mais je suis en émoi. J’ai super envie de découvrir en vrai ce qui se cache dans le boxer rouge de Benjamin et dans le jean de Raphaël. Sans oublier JB et Franck.
Jean-Baptiste claironne alors :
- Bon bah dans ce cas, je vous propose une paluche générale avant le cours de Ben et de Gaétan.
- OK répond Benjamin. Je vais chercher mon PC pour nous mettre en appétit.
Les mecs s’installent alors autour de la petite table de salon qui trône au milieu du tout petit appart de Benjamin. Pendant ce temps, Franck ferme les volets. Benjamin revient avec son PC alors que Raphaël et JB sont déjà en boxer. Je déboutonne aussi doucement libérant au passage ma bosse et je m’assois tranquillement sur le canapé lit. Franck s’installe sur une chaise à côté de nous. Et Benjamin installe son ordi.
- Bon, les mecs, vous voulez quoi comme vidéo ? demande-t-il.
- Peu importe répondit Raphaël. Mais fais-nous vite voir ton boxer rouge.
- Ça va ! Détendez-vous, j’arrive.
- Non, non au contraire, on est très tendu, dis-je.
Vu que je n’avais pas dit grand-chose depuis le début de l’aprèm, les 3 mecs se retournèrent vers moi et leurs yeux glissèrent rapidement vers ma bosse. Effet, immédiat, ils se touchent le paquet avec des yeux qui virent au vicieux.
Benjamin, nous demanda alors de nous faire une place sur le petit canapé. Je me décale donc sur la droite laissant un espace entre JB et moi. A ma droite, Raphaël commence des va – et –vient.
Franck aussi est déjà très affairé alors que le film vient seulement de commencer. C’est un porno gay anglais d’assez bonne qualité. Nous voilà donc tous les 5 en train de nous branler en plein
milieu de l’après-midi. C’est méga excitant comme situation. A un moment, je constate que des mains se promènent. JB et Ben sont en train de se branler mutuellement alors qu’ils ont leurs boxers
CK et Armani aux chevilles. Franck n’en perd pas une miette. Moi non plus. C’est bien plus intéressant que le film malgré des mecs divinement bien montés.
A ce propos, je ne vous ai pas présenté l’anatomie de mes compères de branlette. Franck a une bite très épaisse, assez poilu et un bon 17cm. Celle de JB est plus fine mais plus longue aussi. Environ 20cm. Comme je m’en doutais, Ben est bien monté, bien proportionné : 18cm à mon avis. Enfin, à ma droite, Raphaël a un vrai monstre entre les cuisses avec deux belles couilles rondes et dures. Un braquemard comme celui-là, ça ne s’évite pas. Aussi décidai-je de glisser lentement ma main vers son engin fièrement tendu.
Quelques petites minutes plus tard, le film ne semble plus intéressez grand monde. Raphaël, qui a d’abord pris ma bite en main en instant, s’est levé face à moi me tendant son gros chibre déjà mouillé. Ni une ni deux, ma bouche s’est jetée dessus. Pendant ce temps, Benjamin suçait aussi. Il avait le dard de Franck dans la gorge alors que JB suçait Benjamin en me branlant. Méga excitant. Il a fallu me contrôler bien plus d’une fois pour ne pas exploser tout de suite.
En même temps que je suçais Raphaël, il massait les fesses de rugbyman de Franck d’une main. Moi je lui pétrissais les têtons sans jamais relâcher son membre. Les autres continuaient aussi leur petite affaire. Je ne voyais pas grand-chose de leurs ébats tant je me donnais à Raphaël. A un moment, Benjamin changea de bite, faisant décaler tout le monde, pour enfourner mon chibre chaud bouillant dans les profondeurs de sa bouche. Je cru jouir immédiatement tant c’était bon. Mais je lui ai relevé la tête à temps, cessant de sucer Raphaël un instant. Raphaël décida donc de changer les rôles et se mis sur le canapé pour me sucer. A présent, Benjamin et Raphaël, visiblement assez complices, s’échangeait ma bite à tour de rôle. Puis Jean-Baptiste et Franck s’installèrent juste à côté en commençaient un 69. La grande et longue langue de JB lui permettait d’aller chercher les boules de Franck à chaque coup de langue. Ça devait être trop bon.
Le porno continuait à défiler. Les acteurs avaient déchargé la purée et une deuxième scène commençait. Deux footballeurs montaient dans un appart de banlieue et commençait à se toucher en s’embrassant goulument. Les shorts se tendant fortement, l’ébat devenait plus direct. Jusqu’à ce qu’un 3ème larron fasse son apparition et qu’ils baisent sauvagement.
Revenons à la réalité, je ne savais plus où donner de la tête. Mes deux suceurs s’en donnaient à cœur joie. Les autres se suçaient et se branlaient mutuellement. D’un seul coup, JB se leva, et se plaça derrière Raphaël et commençait à lui lécher l’anus. Franck vint alors vers moi en tenta de décrocher Ben et Raph de ma bite. Il ne réussit pas son coup et alla donc se mettre derrière JB. Une belle brochette était en préparation et j’avais toujours la langue de Ben sur mon gland, ma hampe et mes couilles.
Mais moi aussi je voulais sucer aussi. Alors je repris en bouche la bite de Raph, si bonne et si grosse. Raphaël gémissait de plus en plus fort. Mais visiblement, je n’étais pas le seul responsable de ses râles. Il semble que les deux doigts de JB dans son intimité faisaient aussi son petit effet. Franck demanda alors à Ben un peu de gel. Il lui indiqua le tiroir du haut de sa table de chevet dans sa chambre. Franck revint, toujours au garde à vous et fièrement habillé d’une capote et se mis un peu de gel dans la main, puis sur sa bite. Il se branlait avec le gel et se plaça derrière JB qu’il avait humecté durant de longues minutes pendant leur 69. Il l’empalait ensuite calmement. JB soupirait de bonheur et commença à se branler. Il attrapa le tube de gel, et en mit une noisette sur l’anus de Raphaël pour continuer de le doigter.
Raphaël prenait visiblement grave son pied avec les doigts de JB. Surtout que les doigts bougeaient tous seuls sous les coups de semonces de Franck. JB décida donc de passer à l’action. Il demanda une capote à Benjamin. Benjamin alla chercher la boîte de capotes et lui en tendit une. Il s’en enfila une sur la bite et sans plus attendre, pénétra Raphaël. Jamais je ne me serais douté que ce beau mec que je voyais à la muscu se faisait enfiler, et aimait ça qui plus est ! A présent donc, JB était pris en sandwich par Franck qui lui ramonait les entrailles et prenait fermement Raph qui râlait de plus en plus fort. A l’écouter, il aimait grave ça. Ça me donnait des envies à moi aussi. J’avais lâché sa bite pour me concentrer sur les bonnes sensations que me donnait Benjamin.
Benjamin comprit alors ce que j’attendais de lui et je revis dans ses yeux la malice que j’avais aperçue lors du clin d’œil de la sortie du resto U. Il prit un peu de gel, s’en badigeonna la rondelle, se mettant au passage deux doigts, puis trois et se mit à 4 pattes, se pencha en avant en posant ses mains sur la table basse. Il me tendit un préservatif. Je l’enfilais rapidement mais délicatement pour ne pas le déchirer et j’entrais alors dans ce trou. L’extase. Il eut un petit cri au moment où ma bite est entrée puis rapidement, il a commencé à remuer le bassin me faisait comprendre qu’il voulait que je le lime.
Je lui attrapais donc les hanches fortement et commençait à le pilonner. D’abord calmement mais franchement puis au bout de quelques minutes à ce rythme, je ralentissais, m’arrêtais, le branlais en même temps, lui pinçais doucement les têtons, puis je repris un rythme plus soutenu. Là, il me dit : « Vassy p’tit mec, bourre-moi bien à fond ». Il fallut d’abord m’arrêter pour ne pas remplir tout de suite le préservatif. Mais après une dizaine de seconde de pause, je repris au rythme qui m’avait été indiqué. Je le bourrais donc violemment faisant claquer mon bassin contre ses fesses musclées. J’allais jouir lorsqu’il m’indiqua qu’il voulait que je lui jouisse à la figure. Je stoppais donc net mon déhanchement, retira ma bite de son cul, arrachais la capote et lui déversais une bonne rasade de jus sur les épaules, le front, les joues, le nez, la bouche et le menton. Il en avait vraiment partout. Jamais je n’aurais imaginé ça le matin même.
Il continuait à se branler énergiquement. J’interviens alors pour l’aider à balancer la purée. Je lui léchais les têtons et lui passais la main sur ses couilles. La réaction ne se fit pas attendre. Il déchargea tout sur mon torse, m’emmêlant les poils au passage. On était tous les deux salement dégoulinant de sueur et de foutre. Mais c’était secondaire. Ma bite se regonfla quasiment aussitôt à la vue de Raphaël se faisant prendre par JB. C’était trop excitant de voir ce beau mâle viril se faire prendre. Franck, dans le cul de JB, vint le premier. Il remplit alors la capote dans le trou de JB. Il se retira et fit sortir le jus de la capote pour la faire tomber dans un verre. Je fus assez surpris de voir ça. JB, maintenant libéré du gourdin de Franck, continuait à s’agiter. Mais en fait, on s’aperçut rapidement, que c’était plus Raph qui bougeait que JB. Raph demanda à Franck d’apporter le verre. Il y versa des quantités de foutre astronomiques. Je bandais encore grave en voyant tout ça. Je recommençais à m’astiquer. Benjamin aussi l’avait dure de nouveau. JB décula, enleva la capote et commença à se branler énergiquement. Entre temps il avait lui aussi pris le verre. Benjamin s’approcha et le suça, alternant la bite et les couilles. JB ne mit pas longtemps à éjaculer et vida sa semence, du moins, une partie, dans le verre. L’autre partie de son foutre avait atterrit directement sur l’écran de l’ordi, déclenchant un fou-rire nerveux général.
On avait donc tous les 5 évacuer un trop plein de nos couilles. Mais je bandais encore. J’en voulais encore. Je voulais moi aussi me faire prendre par l’un d’eux. Par Raphaël de préférence ou Benjamin de préférence. Mais visiblement, ce n’était pas du tout à l’ordre du jour. Il était déjà 18h et il fallait qu’on parte assez rapidement à la fac, avec une douche à prendre pour enlever le jus blanc et collant de nos corps.
5 minutes après, JB et Franck étaient déjà repartis. J’étais véritablement épuisé de mon après-midi. Mais en même temps, j’avais reçu une telle dose d’adrénaline que je ne pouvais calmer les battements de mon cœur. Je demandais à Benjamin de me filer vite fait une serviette pour m’essuyer après la douche. Il m’accompagna dans la salle de bain. Il m’indiqua le placard sous le lavabo. Je me baissais pour ouvrir le placard et attraper la serviette. A ce moment-là je le sentais contre moi. Et il l’avait encore dure. Un bon bâton. Quelle agréable sensation. Je me relevais et il continuait de se coller et de se frotter à moi. Il me serrait fort tout en baladant mes mains sur mon torse, sur mes pecs et en appuyant fort, il glissait un doigt de haut en bas de mes abdos, sentant chaque tablette de chocolat. Ça y est je l’avais de nouveau dure moi aussi. Je décidais alors de m’abandonner complètement à lui.
Je profitais bien des caresses de Ben lorsque Raph arriva. « Merde, j’avais oublié qu’il était encore là lui » pensais-je, avant de me raviser, « on pourrait tenter une douche à 3 ». Encore une fois, j’étais loin de penser ce qui allait arriver. Dans l’encablure de la porte, il y avait non seulement Raph, mais aussi un autre mec que je n’avais jamais vu et qui tenait le verre à foutre dans la main. Raphaël fit les présentations :
- Gaétan, je te présente Fabien. Tu en as entendu parler tout à l’heure. Il vient juste d’arriver, il sort du boulot.
- Enchanté, dis-je bêtement alors que le chibre de Benjamin se frottait toujours à ma raie à travers son boxer Armani rouge.
Le tissu de mon slip était ultra tendu. Fabien vit ça dans le reflet du miroir. Ça avait l’air de beaucoup lui plaire. Ses grands yeux bleus, ses pecs gonflés dans son petit pull, et son petit sourire en coin ne me laissaient pas indifférent du tout. Au contraire, ce beau gosse me plaisait grave. Benjamin continuait de me chauffer et de m’exciter. Je voyais dans le miroir derrière moi les deux autres mecs s’embrasser et se caresser. Très rapidement le miroir de la salle de bain s’embua.
D’un seul coup, Raphaël nous bouscula pour se hisser précipitamment dans la baignoire. Fabien l’imita alors. Il se mit à genou dans la baignoire et commençait à caresser fortement la queue de Raphaël à travers son boxer. Bientôt il aspirait les boules de Raphaël à travers son boxer gris Diesel. Je contemplais tout ça alors que je pouvais sentir que Ben mouillait grave. Il me demanda de me mettre dans la baignoire aussi. Je regardais donc travailler Fabien sur le corps de Raph. Et d’un seul coup, je vis le boxer gris de Raph devenir gris foncé. Merde ! Il se pissait dessus le con ! Et Fabien avait l’air d’apprécier. Raph sortit ensuite sa bite de sa prison et pissait alors directement sur Fabien, m’arrosant au passage de quelques gouttes. Je n’ai pas forcément apprécié, ça m’a d’ailleurs fait un peu débander. Mais je trouvais malgré tout la situation cocasse. Je l’avais demie-molle, et une minute plus tard, je me mis moi aussi à me pisser dessus. Mon slip commençait à être tout détrempé. Fabien, la bouche légèrement entre-ouverte, passait alors ses lèvres inférieures le long de mon slip mouillé. Je me lâchais complètement. C’était chaud et étrange en même temps. Ça coulait le long de mes jambes. Soudain, je sentis alors un liquide me couler au niveau des reins jusqu’au pied, arrosant au passage complètement le derrière de mon slip. Je ne bougeais pas, mais le laissais faire, intrigué et quand même un peu dégouté. Ben pris alors le pommeau de douche et commença à faire couler l’eau. On se passait alors le pommeau de douche pour se rincer petit à petit. Entretemps, Fabien était sorti de la baignoire pour évacuer ses fringues dégueulasses puis était ensuite re-rentré pour se retrouver alors comme nous, entièrement nu, laissant sa bite de 19cm x 5 bien droite. Il avait le verre de foutre dans la main, mis quelques gouttes d’eau chaude dedans et devant nos yeux écarquillés, il but la semence des 3 mecs. Il posa le verre sur le rebord de la baignoire et nous regarda fièrement : « ça y est je suis prêt à baiser toute la soirée maintenant que j’ai bu mon white bull ».
A 4 dans la baignoire, c’est étroit. Mais pour se savonner, on a juste à se frotter les uns aux autres. Très rapidement, nos dards se sont gonflés de nouveau. On commençait à se branler entre nous. Ben reprit la position avec sa bite le long de ma raie et d’une main me branlait. Fabien et Raph, eux, s’embrassaient. La main de Raphaël branlait les deux bites en même temps.
On sortit ensuite de la baignoire et nous nous sommes dirigés vers la chambre. Fabien s’est alors jeté sur moi :
- Alors le petit nouveau, tu te débrouilles plutôt bien !
- Euh ouais, béh ce n’est pas mes premières expériences, loin de là, mais ma première touze oui !
Benjamin intervint alors :
- Je l’ai ramené de la fac, il n’arrêtait de me mater et il m’a payé à bouffer à midi, alors je me suis que pour le remercier, il pourrait me bourrer le fion.
C’est alors que je compris que tout était déjà prévu. Il n’a fait que me proposer de me joindre à eux tout en montant un stratagème. Les vicieux !! Mais ça me plait grave. Je m’éclate carrément.
On était donc tous les 4 sur le lit et les mains se baladaient dans tous les sens. Les langues étaient de sortie et les bites dressées au max. Benjamin était alors sur le dos. Je décide alors de lui proposer mon cul à lécher. Il ne se fait pas prier et se met à l’action. Dans le même temps, Fabien suce goulument Benjamin et moi alternativement. Et Raphaël s’est mis derrière Fabien pour lui lécher l’anus. Encore une bonne baise qui s’annonce.
On s’est sucé tour à tour chacun la bite, les couilles, les têtons, les fesses, la rondelle, le torse… Un pied d’enfer. Après m’être remis à califourchon au-dessus de la tête de Benjamin, de nouveau sur le dos, je décide de passer aux choses plus sérieuses. Et je me décale et m’empile sur sa bite très raide. C’est moi qui contrôle les va-et-vient et je prends grave mon pied. De son côté, lui peut voir sa bite entrer et sortir de mon cul. Les deux autres s’enculent aussi. Cette fois, Raphaël est actif. Il y va d’ailleurs sauvagement. Il le déboulonne carrément. Ça m’excite. J’en ai envie moi aussi. Je sors de Benjamin et de demande à Raph de me prendre si Fabien est d’accord. Immédiatement, il se retire de Fabien, enlève sa capote, en met une autre, ajoute une noisette de gel qui répartit bien sur son membre et s’approche de mon cul que lui tend avec gourmandise. Il entre alors sans ménagement et se déhanche laissant sa bite ressortir presqu’entièrement une fois sur 5. Je n’en peux plus. Je suis sur un nuage. C’est trop bon. Pendant que mon trou prend cher, Benjamin encule Fabien. Des petits coups secs labourent le cul du buveur de sperme. Il gueule un peu. Il se branle. Il se branle même très fort. Moi aussi je me branle. Benjamin décide de changer de position. Fabien et moi nous mettons alors en levrette et les deux autres nous bourrinent l’anus en cœur. Fabien me sourit. Il est trop excitant. Je l’embrasse à pleine bouche alors que Raph m’encule toujours à bon rythme. Ça dure quelques longues et exquises minutes. Je suis complètement ouvert. Je vais bientôt jouir.
Je signale ma jouissance approchante à mes 3 partenaires de baise. Raph se retire, Ben aussi. Et on s’installe tous les 4 en étoiles, à genoux sur le lit. Chacun branlant la bite de son voisin de gauche et en essayant de s’embrasser à 4. On ne tarde pas à lâcher de nouveau la purée. D’abord moi, puis ensuite Benjamin, enfin Raphaël et après Fabien. La housse de couette de Ben est maculée de jus. Fabien se baisse alors immédiatement et aspire les gouttes blanches présentes sur le tissu rouge.
On s’allonge un peu, les uns sur les autres, par manque de place et on s’endort comme des bienheureux. Soudain, Benjamin se lève. Je me réveille aussi et vois l’heure : 21h. Merde j’ai loupé mon cours de média !! Je dis à Benjamin :
- Eh beau gosse, on a loupé le cours de média.
- Tu regrettes ?, me répond-il.
- Non, absolument pas !! Ça vaut mieux ça qu’une heure et demie de blablas !
- Mais au fait,
continuais-je, t’as pas une copine ?
- Si ! dit-il. Mais elle est un peu coincé niveau sexe, alors, je
me lâche avec des mecs.
Interloqué je lui demande alors :
- Mais tu es bi du coup ou un hétéro qui baise occasionnellement les mecs ?
Là, il me répond :
- J’étais hétéro, j’ai découvert le sexe entre mec avec Fabien, qui lui est 100% gay et même trash, comme t’as pu le voir. Et depuis, je baise de temps en temps avec lui parce que j’ai aimé. Il
m’a présenté Raphaël il y a un an et c’est avec eux que j’ai testé la sodomie. Depuis je baise avec eux quand ils sont dispos. Quant à JB et Franck, ce sont aussi des hétéros comme moi qui
baisent entre mecs de temps en temps. Mais à force, je crois bien que je vais arrêter avec ma copine. Ce n’est pas super honnête et en plus je ne prends plus mon pied avec des chattes.
- Ah ! » C’est tout ce que j’ai trouvé à dire !
- Et toi, tu n’es pas hétéro, n’est-ce pas ? demande-t-il.
- Non loin de là !
Vous pouvez retrouver les aventures de Gaétan dans un nouvel épisode en cliquant ici "Sexe au club de gym de Miami"
FAB DS