Je vais vous raconter mon dernier plan cul avec un beur. Au cours des derniers mois, j’ai croisé plusieurs fois un beau rebeu près de chez moi. Je n’ai jamais rien tenté, mais j’ai souvent remarqué qu’il me regardait dans les yeux lorsque nous nous croisions.

Je suis toujours méfiant avec les rebeus, même si je voyais bien qu’il avait l’air gentil et très sympa. Bref, j’ai fini par me décider à passer à l’action pour essayer de me taper ce beau rebeu. La semaine dernière, je l’ai croisé une nouvelle fois, et je l’ai abordé franco. Je lui ai sorti un baratin en lui disant que j’étais photographe pour un site de mode. C’est un type qui a une très belle gueule, donc ça restait crédible. Il n’a pas été franchement chaleureux durant la discussion, mais il a quand même pris mon numéro de téléphone, et m’a donné son prénom ‘”Aziz”. Nous en sommes restés là et chacun est parti de son côté.

A peine arrivé à mon domicile, Aziz m’a appelé sur mon portable. On a parlé un peu, et on s’est fixé un rendez-vous pour une séance photo le lendemain, à l’endroit où nous avons discuté à 18h. J’ai commencé à douter. Je ne savais pas dans quoi je m’étais mis car je n’étais absolument pas photographe… mais j’ai décidé de copier des photos de beurs sur le net pour faire un book afin de lui présenter mon travail.

Le lendemain, je me suis rendu au rendez-vous fixé à 18h, j’étais dans tous mes états car je n’avais rien préparé pour enchainer avec la présentation de mon book. Aziz est arrivé avec 10 minutes de retard, ne s’est pas excusé, et m’a posé direct des questions sur les photos que je voulais faire. Je lui ai dit qu’on pourrait trouver un endroit où nous asseoir pour en discuter et je lui ai proposé de manière anodine d’aller à mon appartement à deux rues de notre lieu de rendez-vous.

Sur la route, je lui ai dit qu’il avait un beau visage et qu’il pourrait facilement poser pour se faire du fric. Je lui ai proposé de faire des essais chez moi. Il m’a demandé combien j’allais lui donner pour la séance photo… Je lui ai répondu qu’on en était au stade des essais, et que j’étais simplement étudiant mais que je pourrais parler de lui à des professionnels. Il a grogné mais n’a pas rebroussé chemin.

Il était donc intéressé ! Ce type venait de Tunisie et vivait en France depuis 5 ans. Il avait été ouvrier dans différents chantiers mais il cherchait du boulot depuis quelques temps. Il devait penser que gagner de l’argent en faisant des photos ne demanderait pas un gros effort. Arrivé chez moi, je lui ai demandé s’il pouvait me montrer son torse pour voir son potentiel. Il a relevé et enlevé son t-shirt. Il était plutôt bien fait, musclé avec des hanches saillantes, un beau ventre dessiné et des poils. J’en ai profité pour mater son paquet. Il m’avait l’air bien épais dans son jogging Adidas gris.

J’ai sorti mon appareil photo en lui demandant de poser torse nu pour faire des essais et je lui ai conseillé de se mettre à l’aise devant l’objectif. Il m’a réclamé des précisions sur le genre de photos que je voulais faire. Alors je lui ai dit que ces photos serviraient à un site de sous-vêtements et que je ne ferais pas de clichés de son visage. Il m’a paru soulagé à l’idée de ne pas être reconnaissable sur les photos...

Après quelques photos de ce beau beur, torse nu et en jogging qui avaient déjà commencé à me chauffer, je suis allé dans ma chambre et j’ai sorti quelques uns de mes boxers en lui demandant de les essayer pour les photos. Au début, il était gêné et surpris de la situation mais rapidement il s’est foutu à poil devant moi et a essayé les caleçons que je lui avais passé.

Je ne m’étais pas trompé, il avait une très belle queue, déjà imposante au repos et je l’imaginais déjà en train de me limer le cul… J’avais la bite dure dans mon boxer.

Je me suis résolu à regarder Aziz dans les yeux, tout en donnant des coups d’œil appuyés sur son paquet. Il a reçu le message, et m’a demandé cash de me mettre à genou. Il a baissé son boxer, sorti sa teub et me l’a foutu sous le nez. Je l’ai approché et j’ai reniflé ses odeurs. Sa queue sentait fort ce qui m’a chauffé illico. J’ai sorti ma langue et j’ai léché toute la longueur de sa bite. Je l’ai senti gonfler doucement jusqu’à atteindre une belle érection d’au moins 20cm. J’ai pris son gland circoncis dans ma bouche, et je l’ai senti prendre encore plus de volume.

Il avait une queue superbement longue avec une épaisseur impressionnante. Il m’a demandé si sa pine était à mon goût. Je lui ai répondu oui, comme toujours dans ce genre de situation. Il a alors pris de l’assurance et m’a pris la tête avec une main pour enfoncer sa queue dans ma bouche. J’avais seulement son gland en bouche, et j’ai senti sa tige s’engouffrer jusqu’au fond de ma gorge. Ce mec était un sale macho. Il a commencé à me piner la bouche. J’essayais de l’ouvrir bien grande pour prendre entièrement sa bite. Il me parlait en arabe, je ne comprenais rien mais ça m’avait tout l’air d’être des insultes.

J’ai repris l’initiative en agrippant sa bite avec ma main droite pour la pomper mais j’avais du mal et j’ai vite fatigué car sa teub était vraiment large. J’avais mal à la bouche mais j’avais bien envie de faire ma pute sur ce bel engin de rebeu.

Je le suçais en le regardant droit dans les yeux, et d’une main, j’ai réussi à sortir des capotes et du gel de mon sac. Il m’a souri avec un regard vicieux et m’a traité de vide-couille de lascar. J’ai posé une capote sur sa grosse tige bien raide et je me suis foutu du gel sur le cul. Il m’a dit de m’allonger sur le dos et de mettre les jambes en l’air. Il a posé sa pine à l’entrée de mon trou.

Je savais à ce moment là qu’il allait me défoncer la chatte sans ménagement. J’ai donc fait en sorte de détendre mon cul, il était bien chaud et bien mouillé. Aziz a alors rentré sa pine brutalement jusqu’aux couilles. Il a été surpris de la facilité avec laquelle sa longue tige s’est glissée dans mes entrailles. Je lui ai dit que mon cul était habitué à se prendre des grosses bites de beurs et de blacks car je faisais souvent des plans avec eux.

Ma réponse l’a excité et il s’est mis à se déchainer sur mon cul. J’avais l’impression d’être campé sur un gros gode. Je suis toujours impressionné par les grosses teubs de rebeux et la sensation qu’elles me procurent. Je caressais ses couilles en même temps qui me démontait le cul. Ça l’a excité davantage encore et il m’a demandé de me mettre en levrette. Je me suis exécuté.

Voilà déjà 20 bonnes minutes que je me faisais ramoner la chatte par Aziz. Ma prostate était prête à exploser. J’avais la tête qui tournait. Il me baisait comme un sauvage, en me tenant le cou. Tête posé au sol en position de soumis, j’écartais les fesses à l’aide de mes deux mains pour exciter mon rebeu tout en le regardant dans les yeux.

Il matait mon trou complètement déchiré par son énorme queue. Cette position l’excitait à fond, il me baisait comme un fou et m’insultait de vide couille à rebeux. Je le regardais s’épuiser sur mon cul. Il s’est mis à me cracher de gros molards sur la gueule. J’ai senti qu’il accélérait. Il allait bientôt décharger son foutre. Soudain, il s’est retirer et est venu au dessus de ma gueule pour se branler à genou. J‘ai sorti la langue et bien ouvert la bouche, toujours en me cambrant comme une pute. Il a commencé à grogner, et a craché la purée.

La quantité de foutre était impressionnante. Je me suis demandé s’il n’avait pas juté depuis longtemps. En tout cas, il m’a rempli la bouche. Quand il a fini, il s’est essuyé le gland sur ma joue et m’a ordonné d’avaler le jus que j’avais en bouche. J’ai fermé la bouche, l’ai regardé et j’ai dégluti tout son sperme chaud. Il a souri, et m’a dit qu’il se cassait. Il s’est rhabillé vite fait, et puis il est parti. J’ai juste eu le temps de lui dire que je me tenais à sa disposition pour lui servir de vide couille.

Christophe